Algeria



Équipe Nationale : Feghouli-M’bolhi : s’agit-il d’un boycott ?

Le sélectionneur national, Rabah Madjer, a convoqué les deux éléments du Paradou AC, Farid El Mellali et Toufik Moussaoui, pour suppléer la défection de l’attaquant Sofiane Feghouli et le portier Raïs M’bolhi, en prévision des deux matchs amicaux
El Watan - Sports

Équipe Nationale : Feghouli-M’bolhi : s’agit-il d’un boycott ?

Le sélectionneur national, Rabah Madjer, a convoqué les deux éléments du Paradou AC, Farid El Mellali et Toufik Moussaoui, pour suppléer la défection de l’attaquant Sofiane Feghouli et le portier Raïs M’bolhi, en prévision des deux matchs amicaux, face au Cap-Vert le 1er juin à Alger et au Portugal le 7 juin à Lisbonne. En plus de Feghouli et M’bolhi, on enregistre aussi la défection du défenseur Rafik Halliche pour cause de blessure. C’est dire que les trois joueurs qui devaient marquer leur retour en sélection nationale, sous l’ère Madjer, seront absents. L’ancien axial du NAHD va toutefois se présenter au stage des Verts qui aura lieu du 28 mai au 8 juin prochain, pour se faire examiner par le médecin de l’équipe nationale et confirmer son indisponibilité pour les deux matchs. Ce n’est pas le cas de Feghouli qui a juste annoncé son indisponibilité pour cause de blessure et demandé à être dispensé du stage. Idem pour le portier M’bolhi qui a demandé, à travers un bref communiqué adressé à la FAF, de reporter son retour en équipe nationale sans donner de raisons. Le comportement de ces deux joueurs qui faisaient partie, dans un passé récent, des cadres et de l’ossature de l’équipe nationale, a été commenté différemment par les observateurs. Si certains se sont montrés plutôt prudents, préférant attendre pour être mieux fixés sur les véritables intentions des deux joueurs, d’autres en revanche estiment qu’il s’agit d’une manière de décliner poliment la convocation du sélectionneur Madjer et de lui lancer un signal pour être dispensé de la sélection. A rappeler que les deux joueurs n’ont jamais été convoqués en équipe nationale depuis la nomination de Madjer à la tête de la sélection en octobre 2017. Une mise à l’écart qualifiée de sanction de la FAF pour manquement à la discipline de groupe. Le patron des Verts a pourtant toujours soutenu qu’il n’avait aucun problème personnel avec les deux joueurs et que leur non-convocation lors des précédents stages était un simple choix du staff technique, sans plus.

Djokovic, à la recherche du succès perdu

5 juin 2016 : Novak Djokovic embrasse, enfin, la tant convoitée coupe des Mousquetaires. Deux ans plus tard, le Serbe,  ex-n°1 éjecté du Top 20, cherche désespérément à retrouver la recette du succès. Quand il soulève le trophée de Roland-Garro
El Watan - Sports

Djokovic, à la recherche du succès perdu

5 juin 2016 : Novak Djokovic embrasse, enfin, la tant convoitée coupe des Mousquetaires. Deux ans plus tard, le Serbe,  ex-n°1 éjecté du Top 20, cherche désespérément à retrouver la recette du succès. Quand il soulève le trophée de Roland-Garros ce dimanche de juin, Djokovic (31 ans depuis mardi) est à l’apogée de sa carrière. N°1 mondial irrésistible ou presque, il vient de compléter sa collection de titres en Grand Chelem et détient même les quatre dernières couronnes (sur deux saisons), un exploit rarissime. C’est pourtant le point de départ d’une longue descente aux enfers, entre crise de motivation, panne de confiance et blessure. Sa finale Porte d’Auteuil est alors sa douzième sur les quinze dernières en Grand Chelem. Depuis, il n’en a plus disputé qu’une. Et n’a remporté que trois tournois mineurs. En juin 2016, son triomphe sur la terre battue parisienne couronne une première moitié de saison phénoménale, ponctuée de six titres (dont aussi l’Open d’Australie, Indian Wells, Miami et Madrid) et seulement trois défaites. La deuxième partie ne lui ressemblera en rien : Djokovic ne s’imposera qu’à Toronto. Il connaîtra encore quelques hauts (deux finales perdues, à l’US Open, contre Wawrinka, et lors du Masters, contre Murray), mais surtout des bas (défaite au 3e tour à Wimbledon, d’entrée aux JO). Des résultats en berne qui lui ont coûté en fin de saison sa place sur le trône du tennis mondial, qu’il occupait depuis juillet 2014, au profit d’Andy Murray. Blessure 2017 ne réserve pas d’embellie au Serbe. Il n’empoche que deux tournois mineurs (Doha et Eastbourne), mais n’y arrive plus dans les grands rendez-vous. A Melbourne, il cède dès le deuxième tour. A Paris, où il se présente dans la peau du tenant du titre, il est étrillé en quarts de finale par l’Autrichien Dominic Thiem, qui lui inflige même un 6-0 dans le troisième set. Il s’est séparé quelques semaines plus tôt de l’ensemble de son entourage de longue date, Marian Vajda (entraîneur), Gebhard Gritsch (préparateur physique) et Miljan Amanovic (physiothérapeute). Puis s’est offert les services d’Andre Agassi peu avant Roland-Garros. Mais l’électrochoc destiné à lui permettre de «retrouver l’étincelle sur le terrain» fait long feu. A Wimbledon début juillet, Djokovic est contraint d’abandonner en quarts de   finale (contre Berdych). Coude droit en vrac, mais aussi (surtout ?) tête à l’envers, il met un terme prématuré à sa saison. Pour le corps, pour l’esprit aussi. Mais 2018 ne s’ouvre pas sous les meilleurs auspices. Pour son retour sur le circuit, Djoko chute en 8es de finale de l’Open d’Australie et finit par se résoudre à se faire opérer de son coude récalcitrant. Son retour précipité lors de la tournée américaine est calamiteux (deux revers d’entrée). «Je n’étais pas prêt à jouer à ce niveau physiquement», reconnaît-il. De nouveau, le Serbe fait le ménage dans son entourage : exit Agassi et Radek Stepanek, avec lequel il ne collaborait que depuis fin novembre, rebonjour Vajda, au moins le temps de la saison sur terre battue. Force Une campagne sur ocre au cours de laquelle l’ex-n°1 mondial, éjecté du Top 20 pour la première fois depuis douze ans (22e), a semblé retrouver, au moins épisodiquement, des couleurs. Deux ans après son dernier succès de prestige, il n’est toujours pas à l’abri de passages à vide, n’a pas débarrassé son jeu de toutes ses scories, mais joue «enfin sans avoir mal» et connaît quelques moments encourageants. A Rome, il est ainsi venu à bout du Japonais Kei Nishikori, avant de tenir tête à Rafael Nadal le temps d’un set de haute volée, pour sa première demi-finale depuis près d’un an. La bonne nouvelle, c’est que sa soif de vaincre transparaît de nouveau. La moins bonne, c’est qu’il apparaît encore à la peine sur le plan physique. Djokovic l’assure, devant la presse comme dans les messages qu’il partage   régulièrement sur les réseaux sociaux, sa détermination à retrouver les sommets, elle, ne faiblit pas. «Personne ne me force à jouer, soulignait-il dernièrement à Madrid. Je joue parce que j’aime ça, parce que je veux jouer. C’est de là que je tire ma force. Et aussi longtemps que je serai passionné par ce sport, je continuerai.»

Vissel Kobe déroule le tapis rouge Iniesta

Andrès Iniesta «joue le plus beau football du monde» : le propriétaire du Vissel Kobe Hiroshi Mikitani a officialisé hier en grande pompe l’arrivée de l’icône espagnole de 34 ans, dont 22 à porter les couleurs du FC Barcelone. «J’ai le plais
El Watan - Sports

Vissel Kobe déroule le tapis rouge Iniesta

Andrès Iniesta «joue le plus beau football du monde» : le propriétaire du Vissel Kobe Hiroshi Mikitani a officialisé hier en grande pompe l’arrivée de l’icône espagnole de 34 ans, dont 22 à porter les couleurs du FC Barcelone. «J’ai le plaisir d’annoncer qu’Andrés Iniesta va signer pour jouer avec Vissel Kobe après sa carrière historique au Barça», a déclaré M. Mikitani au cours d’une conférence de presse à Tokyo avant de signer avec le joueur. Ce départ de l’emblématique capitaine catalan, après 22 ans passés dans son club de toujours, était attendu depuis ses adieux en larmes dimanche au Camp Nou. «C’est un jour très particulier pour moi. C’est un défi très important dans ma carrière», a déclaré le joueur, qui devrait percevoir, selon les médias, un salaire de 30 millions de dollars. «Je suis convaincu que l’esprit de leadership d’Iniesta et son ADN seront une formidable inspiration non seulement pour Vissel Kobe mais pour le monde du football japonais», a ajouté M. Mikitani, patron du géant japonais du commerce en ligne Rakuten, sponsor maillot du Barça. Beau football «En route pour ma nouvelle maison avec mon ami H. Mikitani», avait écrit mercredi le milieu de terrain, au-dessus d’une photo le montrant dans un avion, visiblement un jet privé, aux côtés d’Hiroshi Mikitani. Alors que de nombreux footballeurs choisissent plutôt la Chine pour finir leur carrière, ce transfert représente un gros coup du Japon. Si le championnat japonais a attiré le Brésilien Zico ou l’Anglais Gary Lineker dans les années 1990, il a peiné à attirer de grands noms ces dernières années. A Kobe, Iniesta rejoindrait dans la cité portuaire japonaise l’ex-star du football allemand Lukas Podolski, arrivé l’an dernier en provenance de Galatasaray. Andrés Iniesta avait annoncé, fin avril, qu’il quitterait en mai le FC Barcelone, le seul club professionnel où il a évolué depuis son arrivée à 12 ans. Après avoir laissé planer le doute sur sa destination, il avait indiqué la semaine dernière hésiter entre la Chine et le Japon. Iniesta, producteur de vin dans sa région natale de Castille-La-Manche et désireux de trouver des débouchés à l’export, a reconnu que l’aspect économique de l’offre était «relativement important». 32 titres Qualifié de «patrimoine de l’humanité» par son ancien entraîneur Luis Enrique, le natif de Fuentealbilla est une icône à Barcelone qui lui avait offert en octobre le privilège de signer un contrat «à vie», pratique rarissime dans le football lui permettant de choisir lui-même quand tirer sa révérence. Au total, Iniesta aura remporté 32 titres sous le maillot blaugrana, dont 9 Liga en incluant la dernière et 4 Ligues des champions. Son départ dimanche avait été chargé en émotions au Camp Nou. «C’est un jour, mais ces 22 années ont été merveilleuses. Cela a été une fierté et un plaisir de défendre et de représenter ce blason, qui est pour moi le meilleur du monde», avait déclaré le joueur. Resté célèbre pour son but en finale de la Coupe du monde 2010 face aux Pays-Bas (1-0), Iniesta a, par ailleurs, réalisé un triplé historique avec la Roja, en remportant ce Mondial et deux titres de champion d’Europe en 2008 et 2012. En Russie, Iniesta disputera sous le maillot espagnol la dernière compétition en sélection de son immense carrière. Avant de dire définitivement adieu à l’Espagne.

Guardiola veut boucler le transfert de Mahrez avant le Mondial

Selon le Manchester Evening New, le coach de Manchester City, Pep Guardiola, voudrait ficeler les transferts de Riad Mahrez et le milieu de terrain de Napoli, Jorginho, avant le début du Mondial. Le technicien espagnol espère ainsi boucler l’opératio
El Watan - Sports

Guardiola veut boucler le transfert de Mahrez avant le Mondial

Selon le Manchester Evening New, le coach de Manchester City, Pep Guardiola, voudrait ficeler les transferts de Riad Mahrez et le milieu de terrain de Napoli, Jorginho, avant le début du Mondial. Le technicien espagnol espère ainsi boucler l’opération dans les meilleurs délais cette transaction avant de préparer la nouvelle saison où que l’équipe sera appelée à défendre son titre de champion d’Angleterre arraché haut la main avec une avance très confortable. Il envisage même les amenés avec lui en tournée aux Etats-Unis, d’autan plus que les deux joueurs ne sont pas concernés par les matches de coupe du monde, prévu en Russie. Pep Guardiola serait prêt de mettre sur la table 137 millions d’euros. Le prix du joueur brésilien tourne autour de 68 millions d’euros. Concernant Mahrez, comme à leur habitude, les dirigeants de Leicester veulent tirer le meilleur prix de leur joueur vedette, auteur de 12 buts et 10 passes cette saison. Leicester exige la somme de 85,5 millions d’euros (68,5 millions pour le transfert et 17 millions sous forme de bonus) précise un autre journal anglais, The Guardian. Le champion d’Angleterre espère conclure la venue du joueur algérien en incluant dans la transaction le jeune attaquant Patrick Roberts (21 ans) qui évoluait sous forme de prêt au Celtic Glasgow. Pep Guardiola semble faire de la piste du joueur algérien sa priorité, reléguant au second plan les options Mbappe du PSG et Hazard de Chelsea. Constatant que Manchester City a éprouvé plus de difficultés lors de certains matchs à domicile face à des formations qui ferment le jeu, l’ancien entraîneur du Bayern Munich considère que Mahrez a la capacité de faire la différence en individuel. Ceci permettra à coup sûr à Sane et Sterling d’avoir plus d’espace. C’est ce qu’indiquait le journal anglais Metro. Mais avant il faudra convaincre les dirigeants de Leicester City, qui se sont montrés intraitables jusque-là sur le dossier Mahrez.

NA Hussein Dey : La piste africaine pour renforcer l’effectif

La cellule de recrutement, composée du staff technique et de dirigeants, poursuit ses démarches en vue du renforcement de l’effectif par de nouveaux éléments susceptibles d’apporter un plus au jeu de l’équipe. L’entraîneur Dziri qui a été reco
El Watan - Sports

NA Hussein Dey : La piste africaine pour renforcer l’effectif

La cellule de recrutement, composée du staff technique et de dirigeants, poursuit ses démarches en vue du renforcement de l’effectif par de nouveaux éléments susceptibles d’apporter un plus au jeu de l’équipe. L’entraîneur Dziri qui a été reconduit veut donner une autre dimension à l’équipe qui est appelée à représenter l’Algérie en Coupe de la CAF, la saison prochaine. C’est ainsi que des joueurs ayant brillé cette saison en championnat sont sur la liste de ladite cellule pour, éventuellement, rejoindre les rangs des Sang et Or. A l’image de Bouguelmouna (USMBA), Selmi (CRB) et Gacha (USMB), entre autres. Mais, selon notre source, la direction ne veut pas se contenter de joueurs du cru. Notre source affirme que la direction envisage de recruter au moins deux joueurs africains qui répondent aux exigences de la compétition africaine, sans préciser le poste ni la nationalité. Le recrutement des nouveaux joueurs répond aux besoins de l’équipe. La cellule de recrutement veut d’ailleurs éviter les erreurs commises les deux dernières années par les responsables qui avaient opté pour un recrutement massif jusqu’à chambouler tout l’effectif. Dziri et son staff veulent travailler dans la continuité et avec la même ossature. C’est pour cela qu’il a été décidé de prolonger les contrats de Gasmi et El Orfi et bientôt celui d’El Ouartani. Le staff technique aurait décidé également de libérer cinq joueurs, dont le portier Boussouf, Herrida, Ouali, El Amalli et probablement Zeghnoune. Par ailleurs, on apprend que le stage de préparation d’intersaison se déroulera cet été à Lisbonne (Portugal) à une date non précisée. La reprise des entraînements n’est pas encore fixée, mais elle aura lieu probablement fin juin ou début juillet.

L’horaire, pomme de discorde

Le match Portugal-Algérie, qui débutera à 20h15, heure de Lisbonne, continue de faire des vagues. La Fédération et le sélectionneur national se rejettent la balle et la responsabilité sur le choix de l’horaire. Rabah Madjer a clairement affiché s
El Watan - Sports

L’horaire, pomme de discorde

Le match Portugal-Algérie, qui débutera à 20h15, heure de Lisbonne, continue de faire des vagues. La Fédération et le sélectionneur national se rejettent la balle et la responsabilité sur le choix de l’horaire. Rabah Madjer a clairement affiché son désaccord sur ce chapitre. Il avance l’argument suivant : «L’horaire va handicaper nos joueurs qui dans leur majorité observent le jeûne. On va leur demander d’entamer le match alors que la rupture du jeûne ne sera pas consommée,  ils n’auront pas mangé et seront  déshydratés pendant plus de 19 heures. Ce déséquilibre risque de pénaliser l’équipe contre le Portugal, un mondialiste et champion d’Europe en titre.» Ce paramètre aurait dû être posé au moment de la négociation des conditions entourant la tenue du rendez-vous de juin 2018 à Lisbonne. Il y a un peu plus de trois mois, la Fédération portugaise et son homologue algérienne se sont retrouvées pour discuter de tous les points avant de finaliser l’accord. Sur ce point, une source fédérale précise :  «Avant de partir à Lisbonne pour négocier l’accord, la FAF avait convié les principaux intéressés (le secrétaire général, le sélectionneur, le manager général, le médecin fédéral et d’autres membres pour arrêter conjointement la feuille de route de cette manifestation). Il n’y a pas eu d’objection majeure concernant l’horaire du match dont le début sera donné avant la rupture du jeûne. On savait à l’avance que ce match aurait lieu en plein Ramadhan. Sur la capacité des joueurs jeûneurs à pouvoir jouer, le médecin fédéral a été consulté et a donné un avis favorable.» Des informations ont fait état, il y a quelques heures, d’une demande formulée par le sélectionneur national exhortant la FAF à solliciter son homologue portugaise pour décaler d’une heure le rendez-vous afin de permettre aux joueurs algériens de rompre le jeûne avant d’entamer la rencontre. Le président de la Fédération a clairement affiché son opposition à cette demande et a signifié à Rabah Madjer que le match débutera à l’heure fixée par les deux parties. La question du jeûne ou pas des joueurs sera posée et réglée durant le stage à Sidi Moussa. Il y a peu de chance de voir les joueurs sacrifier la journée pour donner la réplique à Cristiano Ronaldo et ses équipiers. Gorge profonde révèle : «Madjer a proposé au président Zetchi d’annuler le match contre le Portugal à cause de l’horaire, ce à quoi ce dernier a répliqué par un niet ferme.» Bien sûr que cela aurait fait désordre, à quelques jours du début de la Coupe du monde 2018. La même source ajoute : «Avant le tirage au sort de la Coupe du monde Russie 2018, la Fédération sud-coréenne a sollicité la FAF pour un match amical entre les deux sélections à Séoul à des conditions très avantageuses (prise en charge totale en sus du versement d’une très forte prime). Le président Zetchi a refusé l’offre. Il ne voulait pas imposer aux joueurs un voyage harassant (14 heures de vol Alger-Séoul) en plein Ramadhan. Il a privilégié leur santé à l’argent.» Il reste à souhaiter que ce nuage se dissipe très vite pour ne pas perturber la préparation des matchs face au Cap-Vert le 1er juin à Alger, et au Portugal, le 7 juin à Lisbonne.      

M’bolhi, Halliche et Feghouli rappelés

Raïs M’bolhi, Sofiane Feghouli et Rafik Halliche signeront leur retour en équipe nationale à l’occasion du stage de la sélection qui débutera le 28 du mois en cours et qui sera ponctué par deux rencontres amicales, le 1er juin à Alger, face au Cap-
El Watan - Sports

M’bolhi, Halliche et Feghouli rappelés

Raïs M’bolhi, Sofiane Feghouli et Rafik Halliche signeront leur retour en équipe nationale à l’occasion du stage de la sélection qui débutera le 28 du mois en cours et qui sera ponctué par deux rencontres amicales, le 1er juin à Alger, face au Cap-Vert, et le 7 juin à Lisbonne contre le Portugal. Le staff technique national a établi une liste de 24 éléments. Raïs M’bolhi et Sofiane Feghouli n’ont disputé aucun match avec les Verts sous l’ère Madjer, qui a commencé en octobre dernier. Halliche, par contre, n’a pas été convoqué en sélection depuis mars 2015. Outre ces trois «nouveautés», il y a lieu de citer également la réapparition de Mokhtar Belkhiter (Club Africain, Tunisie) et la première convocation de l’attaquant du CR Belouizdad, Sid Ali Lakroum, censé remplacer Sofiane Hanni, du Spartak Moscou, non convoqué. Si certains choix peuvent éventuellement être facilement justifiés, d’autres, par contre, le sont a priori moins. Lakroum, âgé de 30 ans, ne fait pas l’unanimité au sein du Chabab. D’autant plus que celui-ci a été convoqué alors que le buteur du championnat, Oussama Derfalou (USM Alger), avec 18 réalisations, ne l’est pas. En tout cas, le staff donnera sûrement plus de détails sur la composante de cette liste lors d’une conférence de presse qui sera animée dans les tout prochains jours. Du côté des absences, comme attendu, le milieu défensif Saphir Taider ne figure pas dans l’effectif concerné par le prochain stage. Le joueur de l’Impact de Montréal (Canada) avait exprimé, lors du précédent stage, qui a eu lieu au mois de mars dernier, son mécontentement de ne pas avoir été utilisé lors des deux rencontres (Tanzanie et Iran), en quittant le banc cinq minutes avant la fin du match face à l’Iran (défaite par 2 à 1). Belkalem (JS Kabylie), Abdenour Belkheir et Mohamed Amine Abid (CS Constantine) et Farid El Mellali (Paradou AC), présents lors du dernier stage, n’ont pas eux non plus été convoqués. A noter que parmi ces 24 joueurs, 9, dont les deux gardiens Chaouchi et Salhi, évoluent dans le championnat national. Le compartiment le plus «représenté» est celui de la défense avec Islam Arous, Mohamed Naâmani, Farouk Chafaï et Mokhtar Benmoussa. Enfin, il est utile de rappeler que ces deux rencontres amicales entrent dans le cadre de la préparation des Verts pour les éliminatoires de la CAN-2019 qui reprendront à partir du mois de septembre prochain. L’Algérie est dans le groupe D en compagnie du Bénin, de la Gambie et du Togo, qu’elle a battu, en juin 2017, pour le compte de la première journée, par un but à zéro. En septembre, les Verts se déplaceront en Gambie, avant de jouer, en octobre, et en aller et retour face au Bénin. La cinquième journée est prévue quant à elle en novembre (Togo-Algérie) alors que la sixième se jouera en mars 2019 (Algérie-Gambie).  

JS Kabylie : Plusieurs cadres sur le départ

La formation de la JSK, qui fait face à une crise financière aiguë et qui ne cesse de cumuler les dettes, malgré les promesses de jours meilleurs faites par le président Cherif Mellal, ne risque pas de voir de sitôt le bout du tunnel. Et pour cause
El Watan - Sports

JS Kabylie : Plusieurs cadres sur le départ

La formation de la JSK, qui fait face à une crise financière aiguë et qui ne cesse de cumuler les dettes, malgré les promesses de jours meilleurs faites par le président Cherif Mellal, ne risque pas de voir de sitôt le bout du tunnel. Et pour cause : loin d’avoir les moyens de sa politique et de disposer des 50 milliards de centimes qu’il annonce pouvoir injecter à la JSK pour préparer la nouvelle saison, Cherif Mellal, par ses différentes attaques à l’endroit des joueurs, alors qu’il n’a toujours pas honoré ses engagements envers ces derniers, en ne régularisant pas leur situation salariale, fait fuir les cadres. En effet, à voir l’évolution de la situation au sein de la JSK, ils seront plusieurs joueurs à changer d’air cet été. On citera, entre autres, Belkalem et Asselah, qui ont décidé de quitter la JSK. Idem pour Ferhani, qui serait sur le point de rejoindre la Turquie, au moment où Benaldjia évoque des pistes dans le Golfe pour préparer le terrain de son départ. Une situation qui poussera d’autres éléments à demander eux aussi à quitter le club, las visiblement des promesses sans lendemain de leur président quant à une régularisation de leur situation financière, avec plusieurs salaires toujours impayés. Sans argent et sans concret, il sera difficile pour la direction de la JSK, à sa tête Cherif Mellal — qui devra user de diplomatie —, de convaincre les cadres restants de rempiler, au risque de réviser les ambitions affichées en prévision de la nouvelle saison.  

USM Bel Abbès : Tabti prolonge pour deux saisons

Très convoité, le meneur de jeu de l’USMBA, Larbi Tabti, a prolongé lundi soir pour deux autres saisons. En fin de contrat, Tabti a eu des offres de la part de plusieurs clubs de l’élite, mais il a été convaincu par l’actionnaire majoritaire Hadj
El Watan - Sports

USM Bel Abbès : Tabti prolonge pour deux saisons

Très convoité, le meneur de jeu de l’USMBA, Larbi Tabti, a prolongé lundi soir pour deux autres saisons. En fin de contrat, Tabti a eu des offres de la part de plusieurs clubs de l’élite, mais il a été convaincu par l’actionnaire majoritaire Hadj Hasnaoui Okacha, qui semble décidé à garder l’ossature de l’équipe, voire la renforcer pour maintenir l’USMBA dans sa courbe ascendante. Une clause dans le nouveau contrat du joueur stipule qu’il sera autorisé à quitter le club en cas d’offre intéressante d’un club étranger. La décision du joueur de rempiler a été très bien accueillie dans l’entourage du club et des supporters, impatients de voir le maintien des joueurs cadres de leur équipe adulée s’effectuer au plus vite. Le joueur Tabti voue un grand respect aux fans du club, notamment depuis la visite rendue à son domicile à Oran par un groupe de supporters pour s’enquérir de la santé de son père malade. Après le renouvellement du contrat, Larbi Tabti a évoqué la forte insistance de ses coéquipiers de l’USMBA pour qu’il reste et puis celle, encore plus forte, des fans qu’il a tenu à remercier ainsi que les différents dirigeants du club qui voulaient le voir prolonger. Tabti a également déclaré : «Je m’efforcerai avec mes camarades de continuer à procurer de la joie à notre cher public en honorant l’USMBA et la ville de Sidi Bel Abbès où je me sens très bien.»  

L’horaire du match contre le Portugal divise la FAF et Madjer

La liste des joueurs retenus pour les deux prochains matchs de l’équipe nationale contre le Cap-Vert et le Portugal sera rendue publique aujourd’hui. Le sélectionneur national, Rabah Madjer, déchargé de la mission de driver de la sélection A’,
El Watan - Sports

L’horaire du match contre le Portugal divise la FAF et Madjer

La liste des joueurs retenus pour les deux prochains matchs de l’équipe nationale contre le Cap-Vert et le Portugal sera rendue publique aujourd’hui. Le sélectionneur national, Rabah Madjer, déchargé de la mission de driver de la sélection A’, a établi une liste de 23 joueurs qui seront regroupés à Sidi Moussa à partir du 28 mai. Selon des indiscrétions, il a convoqué le gardien Ouahab Raïs M’bolhi qui joue en Arabie Saoudite, le défenseur Rafik Halliche qui a retrouvé une seconde jeunesse au Portugal, ainsi que Sofiane Feghouli qui vient de remporter le titre de champion de Turquie avec Galatasaray. Ces trois joueurs étaient fortement pressentis pour retrouver les Verts après une fin de saison remarquable avec leurs clubs respectifs. Les deux premiers, le gardien M’bolhi et le défenseur Halliche, vont apporter leur expérience au réseau défensif qui en a bien besoin. Stabiliser la défense est l’un des chantiers prioritaires du staff technique. Rayon joueurs locaux, ils seraient 5 ou 6 à avoir trouvé grâce aux yeux du sélectionneur qui, selon ses propos, a fait le tour du propriétaire au cours des derniers mois et après la sortie contre l’Arabie Saoudite (0-2). A l’ouverture du stage, le sélectionneur animera une conférence de presse à Sidi Moussa au cours de laquelle il s’étalera sur ses choix et les objectifs de l’équipe nationale en prévision de la reprise des éliminatoires de la CAN-2019 en septembre prochain. Une source fédérale a indiqué : «Le match face au Cap-Vert aura lieu le 1er juin au stade du 5 Juillet à partir de 22h30 et non pas à Constantine, comme l’ont rapporté des médias», dont El Watan dans l’édition d’hier. Par ailleurs, les responsables de la fédération et le sélectionneur national sont partagés sur l’horaire de la rencontre Portugal-Algérie, le 7 juin prochain à Lisbonne. L’horaire arrêté (20h15, heure de Lisbonne) n’arrange pas le sélectionneur et ses joueurs qui seront obligés d’entamer la partie alors qu’ils jeûnent encore. Madjer pas content de l’horaire du match à Lisbonne Rabah Madjer aurait souhaité que le coup d’envoi fût retardé jusqu’à 22h afin de permettre aux joueurs de rompre le jeûne avant de débuter le match. L’autre proposition formulée par le patron des Verts était d’avancer la partie à 15h. Aucun des deux vœux de Rabah Madjer ne sera exaucé. Au cours de la négociation entre les deux parties, Fédérations portugaise et algérienne, tous les aspects liés à l’organisation de ce rendez-vous ont été abordés et arrêtés en commun accord. A priori, le sélectionneur n’a pas été associé au chapitre technique et plus particulièrement à l’horaire du coup d’envoi. Le sélectionneur semble avoir tâté le pouls des joueurs au sujet de l’observation ou non du jeûne le jour du match et la réponse était positive. L’équipe nationale a été souvent confrontée à cette situation. La première fois, c’était contre l’Autriche (0-2) en Coupe du monde 1982, et la dernière lors du Mondial 2014 au Brésil, à l’occasion du match contre l’Allemagne (1-2) en 8e de finale, sans oublier les autres fois, comme en Afrique du Sud à l’occasion de la CAN-1996 qu’a organisée le pays de Nelson Mandela. Interrogé, Rabah Madjer répond : «Jouer contre le Portugal, un mondialiste et champion d’Europe en titre, j’étais pour à fond. Mais pour l’horaire, c’est une autre histoire. Il a été programmé au terme de la journée de jeûne. Les joueurs l’aborderont vidés de leurs forces. J’aurais souhaité que ceux qui ont pris cette décision tiennent compte de cet aspect. Je comprends les Portugais qui organisent le match sur leur sol et le programment à une heure de grande écoute et ou tout le monde sera branché sur le petit écran, sans oublier les retombées financières qui feront du bien au compte en banque de la Fédération portugaise. Sur le plan physique, la partie s’annonce inégale. Je ne cherche pas de prétexte, mais alors pas du tout. Mais je dis qu’on aurait pu trouver un terrain d’entente lors de la négociation qui ne lèse aucune partie. Surtout la partie algérienne», a conclu le sélectionneur national.

USMA : Du pain sur la planche pour Serrar

Le directeur général de l’USM Alger, Abdelhakim Serrar, aura du pain sur la planche lors des tout prochains jours, étant donné qu’il doit se pencher, dans les plus brefs délais, sur plusieurs chantiers, à commencer par celui de l’entraîneur. E
El Watan - Sports

USMA : Du pain sur la planche pour Serrar

Le directeur général de l’USM Alger, Abdelhakim Serrar, aura du pain sur la planche lors des tout prochains jours, étant donné qu’il doit se pencher, dans les plus brefs délais, sur plusieurs chantiers, à commencer par celui de l’entraîneur. En plus du recrutement d’un successeur à Miloud Hamdi, Serrar doit convaincre certains cadres de l’équipe, à l’image du goleador Derfalou, de rester, tout comme il est censé renforcer l’effectif par deux ou trois éléments pour pallier les départs. Et ceci doit se faire éventuellement lors des deux prochaines semaines puisque le club, concerné, faut-il le rappeler, par la Coupe de la CAF, a fixé la date de la reprise des entraînements au 5 juin prochain, au stade Omar Hamadi de Bologhine. Il serait, à cet effet, préférable, que la direction règle le problème du staff avant cette échéance. Il faut dire que malgré la qualification à la phase de poules de la compétition africaine, les résultats réalisés cette saison (6e place avec 42 points en championnat et élimination en 8es de finale de la coupe d’Algérie) sont en deçà des attentes des amoureux du club, qui, au vu des moyens mis en place, et par conséquent des objectifs tracés, s’attendaient à beaucoup mieux. La mise en place donc d’un staff «convaincant» aiderait certainement à rassurer les fans. Il faut noter que dès sa prise de fonction, il y a un peu plus de deux mois, Serrar avait entamé des recherches pour trouver un remplaçant à Hamdi, avec qui la direction avait décidé de se séparer «à l’amiable» en fin de saison. Les noms de Badou Zaki et Bertrand Marchand avaient circulé, mais en vain. Le club n’a pas encore réglé cette question. Par ailleurs, Derfalou, Mansouri et Beldjillali sont en fin de contrat. Benguit est, quant à lui, partant pour l’étranger. Jusque-là, seul le sort de Hamza et Hamzaoui semble avoir été scellé puisque la direction a décidé de les libérer. Il faut signaler, en dernier lieu, que le club a établi son programme de préparation estivale depuis déjà plusieurs jours. Deux stages sont donc au menu, dont le deuxième, prévu du 28 juin au 8 juillet, en Tunisie. L’USMA, première du groupe D (4 points) de la phase de poules de la Coupe de la CAF, va se déplacer, pour le compte de la troisième journée, le 17 juillet prochain, au Rwanda, pour y affronter Rayon Sports.  

JS Kabylie : Les choses sérieuses commencent cette semaine

La saison achevée samedi dernier avec le déroulement de la 30e et dernière journée du championnat professionnel de Ligue 1, la direction de la JS Kabylie, à sa tête son président Cherif Mellal, s’attellera dès cette semaine à préparer la nouvelle
El Watan - Sports

JS Kabylie : Les choses sérieuses commencent cette semaine

La saison achevée samedi dernier avec le déroulement de la 30e et dernière journée du championnat professionnel de Ligue 1, la direction de la JS Kabylie, à sa tête son président Cherif Mellal, s’attellera dès cette semaine à préparer la nouvelle saison avec un programme assez chargé. A cet effet, le patron de la JSK avait programmé pour hier soir, ou au plus tard ce soir, une réunion avec le premier responsable de la cellule de recrutement du club et néanmoins manager général, Karim Doudane, qui, pour rappel, forme la cellule de recrutement aux côtés des deux coachs adjoints, à savoir Mourad Karouf et Slimane Rahou.   Une première réunion durant laquelle les responsables kabyles devraient faire le point sur l’avancement de l’opération renforcement de l’effectif durant ce mercato estival, en cernant les joueurs ciblés, et surtout pour connaître l’avancement des négociations entamées avec quelques éléments. A ce sujet, on croit savoir qu’effectivement, seuls trois joueurs ont été officiellement approchés et avec lesquels les choses avancent bien, et qui seraient Frioui (USM Blida), Belmokhtar (DRB Tadjenanet) et le portier du CR Belouizdad, Salhi, qui constituent la priorité pour le moment. Mais outre la question des renforts, le plus gros des soucis pour la JSK demeure le renouvellement des cadres. Et pour cause : impayés depuis plusieurs mois pour certains, alors que d’autres sont en fin de contrat, l’actuelle direction de la JSK n’aura pas les coudées franches pour maintenir l’ossature du club la saison prochaine. Plusieurs cadres sont d’ailleurs très sollicités, même de l’étranger, à l’image de Benaldjia et Ferhani, qui ne devraient pas poursuivre leur aventure avec la JSK. En tout cas, et avant d’établir avec exactitude ses besoins en matière de joueurs à recruter, la direction devra d’abord régler la question des fins de contrat et des cadres de l’équipe. Une question qui sera traitée cette semaine, puisque les joueurs sont invités par la direction à se présenter au siège du club dès aujourd’hui, pour discuter de leur régularisation et de leur avenir. Un sujet épineux avec le retard que cumule la direction sur la question des salaires, et les dettes qui ne cessent de peser sur une trésorerie déjà fragile. Une trésorerie qui sera mise à rude épreuve, notamment avec les cadres qui menacent de recourir à la CRL pour réclamer leur argent, alors que la JSK n’est pas à l’abri de sanctions de la CRL, elle dont certains anciens joueurs viennent de revenir à la charge, à l’instar des Rial, Berchiche et autre Izenghouf, pour réclamer leur dû. Un grand chantier attend la nouvelle direction de la JSK cet été, et plus particulièrement son nouveau président, Cherif Mellal. Intronisé à la tête du club au début de cette année, Mellal s’est surtout distingué par ses nombreuses fausses promesses et les annonces tapageuses. Annonçant une «révolution» à la JSK pour la nouvelle saison, il est à se demander si le patron des Canaris a réellement les moyens de sa politique, lui qui affirme pouvoir injecter 50 milliards pour préparer la nouvelle saison, alors qu’il n’arrive pas à régulariser joueurs et staffs.

Football/Afrique Ligue des champions (3e journée): TP Mazembe-MC Alger le 17 juillet à 14h00 à Lubumbashi

Le match entre la formation congolaise du TP   Mazembe et l'équipe algérienne du MC Alger comptant pour la troisième   journée de la Ligue des champions se déroulera le mardi 17 juillet à 14h00   locales (13h00 algériennes) à Lubumbashi, selon l
El Watan - Sports

Football/Afrique Ligue des champions (3e journée): TP Mazembe-MC Alger le 17 juillet à 14h00 à Lubumbashi

Le match entre la formation congolaise du TP   Mazembe et l'équipe algérienne du MC Alger comptant pour la troisième   journée de la Ligue des champions se déroulera le mardi 17 juillet à 14h00   locales (13h00 algériennes) à Lubumbashi, selon le programme publié par la   Confédération africaine de football (CAF). De son côté, l'ES Sétif accueillera la formation marocaine du Difaâ   Hassani El-Jadidi le 17 juillet à 20h00 au stade 8-mai-1945 de Sétif.  A l'issue de la deuxième journée de la Ligue des champions, le TP Mazembe   est en tête du groupe B avec 6 points devant le MC Alger (4 pts). Le Difaâ   est troisième avec 1 point, tandis que l'ES Sétif ferme la marche avec 0   point.  Les deux premiers du groupe se qualifieront pour les quarts de finale de   la prestigieuse et lucrative  compétition africaine de la CAF.

Ligue 1 (30e J) : L’US Biskra retourne en Ligue 2

Le rideau est tombé sur le championnat professionnel de Ligue 1, cuvée 2017-2018 avec le déroulement de la 30e et dernière journée. Une ultime journée qui a rendu son verdict concernant la troisième et dernière place de relégable, qui sera finalem
El Watan - Sports

Ligue 1 (30e J) : L’US Biskra retourne en Ligue 2

Le rideau est tombé sur le championnat professionnel de Ligue 1, cuvée 2017-2018 avec le déroulement de la 30e et dernière journée. Une ultime journée qui a rendu son verdict concernant la troisième et dernière place de relégable, qui sera finalement pour l’US Biskra, qui rejoint donc l’USM El Harrach et l’USM Blida en Ligue 2. L’USB, qui retrouve la Ligue 2 une saison seulement après son retour parmi l’élite, était en lutte pour le maintien avec le DRB Tadjenanet et l’Olympique de Médéa. Bien que victorieuse face à l’USMH (2-0), l’USB rétrograde en Ligue 2 à la faveur du succès enregistré par ses concurrents directs. En haut du tableau, la JS Saoura, à la faveur de sa large victoire aux dépens du MCA, dans son temple du 5 Juillet, s’adjuge la place de dauphin, et s’assure ainsi une participation à la prochaine édition de la Ligue des champions d’Afrique, alors que le NA Hussein Dey retrouvera la Coupe de la Confédération africaine, en terminant à la troisième marche du podium.

La convention CSA – SSPA désormais obligatoire

La Fédération algérienne de football (FAF) a, dans un communiqué laconique publié hier sur son site officiel, indiqué que le bureau fédéral (BF) «a rendu obligatoire l’introduction de la convention liant le club amateur à la société sportive pa
El Watan - Sports

La convention CSA – SSPA désormais obligatoire

La Fédération algérienne de football (FAF) a, dans un communiqué laconique publié hier sur son site officiel, indiqué que le bureau fédéral (BF) «a rendu obligatoire l’introduction de la convention liant le club amateur à la société sportive par actions (SSPA) dans le dossier d’engagement des clubs». Une décision prise lors de la dernière réunion statutaire et mensuelle du BF, tenue le 15 mai à Sidi Bel Abbès, a noté le communiqué de la FAF, tout en précisant que «sans ce document (la convention, ndlr) le dossier d’engagement du club sera rejeté». Un communiqué qui fait surtout office de rappel à l’ordre aux clubs professionnels, et qui dénote que depuis l’avènement du professionnalisme dans le football en 2010, ou du moins depuis la promulgation du décret 15-37 du 16 février 2015 déterminant les dispositions applicables au club sportif professionnel et fixant les statuts-types des sociétés sportives commerciales (SSPA), la Ligue de football professionnel (LFP) et la Fédération algérienne de football (FAF) ont jusqu’ici accepté les dossiers d’engagement des clubs professionnels sans que ces derniers ne fournissent cette convention liant le club amateur, c’est-à-dire le CSA, au club professionnel, c’est-à-dire la SSPA, comme l’exige la loi. En effet, l’article 8 dudit décret indique clairement que «le club sportif amateur et la société sportive commerciale doivent signer une convention définissant les activités relevant du club sportif amateur et les activités relevant du domaine professionnel dont le club et la société ont respectivement la responsabilité. La convention mentionnée devra prévoir notamment : la répartition entre le club amateur et la société commerciale des activités liées à la formation sportive ; les modalités de participation de la société aux activités qui demeurent sous la responsabilité du club sportif amateur entre autres». En somme, plusieurs années plus tard, on se soucie enfin de la légalité et du respect des directives et des textes et lois régissant le football.

Le spectacle était dans les gradins

Comme à l’aller, le Paradou Athletic Club s’est avéré un coriace adversaire, se permettant le luxe de contraindre les Constantinois au partage des points, dans un stade Hamlaoui transformé en chaudron pour fêter dignement le titre acquis haut la mai
El Watan - Sports

Le spectacle était dans les gradins

Comme à l’aller, le Paradou Athletic Club s’est avéré un coriace adversaire, se permettant le luxe de contraindre les Constantinois au partage des points, dans un stade Hamlaoui transformé en chaudron pour fêter dignement le titre acquis haut la main par un CSC que personne n’attendait au départ de la compétition. Le ton a été donné dès la 3’, lorsque Messibah a failli, d’un puissant tir des 30 mètres, surprendre le gardien Rahmani lequel, de retour dans les bois pour cet ultime match de la saison, est parvenu à sortir le ballon d’une belle claquette. Le même Messibah, ainsi que Chahrour, sont revenus plusieurs fois à la charge, mais sans grand succès. Du côté des locaux, l’occasion la plus franche durant la première période a été celle de Abid qui, en position idéale, a tenté sa chance, mais a vu son ballon intercepté sur sa ligne par un défenseur adverse (16’). À noter également les deux tentatives de Belameïri, respectivement à la 11’ et à la 12’ : servi sur la gauche par Lamri, l’attaquant de poche constantinois a vu sa tête décroisée passer à côté de la cage de Moussaoui. Une minute après, il a trouvé sur son chemin le gardien algérois, lequel a évité à son équipe, d’un superbe réflexe du pied, d’être menée au score. Contrairement à ce qu’attendait le nombreux public présent, le jeu a perdu en intensité après la reprise, et les tentatives de Belameïri et Abid, qui ont buté encore une fois sur l’excellent Moussaoui (80’), d’un côté, et de Chahrour et d’El Mellali, de l’autre, n’ont rien changé au résultat de la rencontre. Si les débats sur la pelouse étaient plutôt ternes, il n’en était pas de même dans les travées de Hamlaoui, où quelque 40 000 supporters s’étaient entassés depuis le début de l’après-midi. Moment fort : au coup de sifflet final, ces derniers ont procédé à un magnifique craquage de fumigènes, lequel était accompagné d’un lancement de feux d’artifice. Le spectacle était bel et bien dans les gradins. Il est à noter que la fête s’est poursuivie au centre-ville, les joueurs ayant sillonné en bus les artères principales avant de présenter, aux premières lueurs de l’aube et devant une foule en délire, le trophée du balcon du théâtre Mohamed Tahar Fergani.   Zetchi et Madjer présents Si la présence du président de la FAF était attendue, en ce sens que Kheireddine Zetchi devait remettre le trophée de champion aux camarades de Yacine Bezzaz, celle de Rabah Madjer l’était un peu moins, celui-ci se faisant rare dans les stades algériens, même lorsqu’il s’agit de superviser les joueurs locaux. En tout cas, le sélectionneur national semblait beaucoup apprécier l’ambiance entourant la rencontre. Une haie d’honneur pour les champions Avant le début du match, les joueurs et le staff technique du PAC ont eu une marque d’attention pour leurs adversaires du jour, et ce, en effectuant une haie d’honneur pour les protégés de Abdelkader Amrani, particulièrement ému par ce geste. Yacine Bezzaz capitaine Peu utilisé cette saison, le plus ancien joueur clubiste a été honoré par l’entraîneur Amrani, qui a décidé non seulement de le titulariser d’entrée, mais également de lui confier le brassard de capitaine à la place de Walid Bencherifa.

USMA : Finir en beauté

C’est un groupe usmiste exténué par le long voyage qui l’avait conduit à Nairobi qui affrontera, aujourd’hui, au stade Omar Hamadi de Bologhine, l’USM Blida, pour le compte de la 30e et dernière journée de Ligue 1. Fort heureusement pour les j
El Watan - Sports

USMA : Finir en beauté

C’est un groupe usmiste exténué par le long voyage qui l’avait conduit à Nairobi qui affrontera, aujourd’hui, au stade Omar Hamadi de Bologhine, l’USM Blida, pour le compte de la 30e et dernière journée de Ligue 1. Fort heureusement pour les joueurs, la rencontre ne présente aucun enjeu, quoiqu’une quatrième place au classement final serait préférable à une cinquième, un scénario toutefois réalisable si le MC Alger perd son match chez lui face à la JS Saoura. Les Rouge et Noir sont rentrés de leur périple kenyan jeudi, après avoir imposé le nul (0-0) à Gor Mahia, pour le compte de la deuxième journée de la Coupe de la CAF. Un résultat qui a placé l’USMA à la première place du groupe avec 4 points, alors que le deuxième, le Rayon Sport (Rwanda), dispose de deux points seulement. Gor Mahia et Young Africans (Tanzanie) n’ont récolté qu’un seul point en deux matchs. Donc, malgré la fatigue, c’est avec un moral au beau fixe que les poulains du coach Miloud Hamdi vont affronter des Blidéens relégués en Ligue 2 depuis plusieurs semaines. Donc, tous les ingrédients pour terminer la saison avec une victoire à domicile sont là.

USM Bel Abbès : Un projet de 30 000 cartes d’abonnement

En plus des différentes réceptions et collations en l’honneur de l’équipe ayant remporté la coupe d’Algérie, il y a eu en cette fin de semaine, au sein de l’hôtel Beni Tala, un vibrant hommage rendu par le groupe citoyen Bessama NET, au dévou
El Watan - Sports

USM Bel Abbès : Un projet de 30 000 cartes d’abonnement

En plus des différentes réceptions et collations en l’honneur de l’équipe ayant remporté la coupe d’Algérie, il y a eu en cette fin de semaine, au sein de l’hôtel Beni Tala, un vibrant hommage rendu par le groupe citoyen Bessama NET, au dévoué Hadj Hasnaoui Okacha, en signe de reconnaissance à l’actionnaire majoritaire pour son constant soutien financier et moral à son club de toujours. Hasnaoui a tenu à dévoiler d’amères vérités sur la gestion catastrophique du club durant une quinzaine d’années, tout en faisant part des urgences de son projet sportif. «Le club devient grand avec cette participation africaine et l’on doit être à la hauteur sur tous les plans, administratif, technique et financier. Cela fait quinze ans que le club est mal géré. Nous sommes en train de payer très cher les conséquences négatives de cette période et cela ne peut continuer. Un assainissement radical sera entrepris et concernera en premier lieu l’administration du club : seules les compétences honnêtes qui travaillent pour son intérêt auront leur place à l’USMBA. Il faut que tout le monde soit derrière le club. Tout seul, je ne peux rien faire», dira-t-il. Poursuivant son intervention, il soulignera : «Même l’intervention des pouvoirs publics s’avérera insuffisante pour couvrir les grands besoins du club sur tous les plans, surtout avec la crise financière». A cet effet, Hadj Hasnaoui fera une proposition pour l’achat de 30 000 cartes d’abonnement. Pour concrétiser cette idée, Hadj Hasnaoui Okacha précisera : «Un compte spécial sera ouvert pour les abonnés du club où chacun versera 10 000 DA. Ce qui devra rapporter 30 milliards pour le club. Pour ma part, je suis partant pour 1000 abonnés de notre entreprise. Il faut un bon comité de supporters, très crédible et sérieusement impliqué pour pouvoir concrétiser ce projet. Un comité qui sera vite installé. Je suis persuadé que ce projet sera suivi et concrétisé par nos milliers de supporters et sympathisants qui ont le club dans les tripes comme moi. Les Scorpions sont un capital humain important, je les ai vus à Alger lors de la finale de la coupe d’Algérie. Nous avons vu également la joie des populations des 52 communes de notre wilaya. Tous ces gens-là ne vont pas hésiter, croyez-moi, à adhérer à notre projet, pour peu que la vulgarisation de cette idée réalisable se fasse dans la sérénité et connaisse la mobilisation de tous comme un seul homme afin que nous soyons matériellement et moralement au rendez-vous de nos futures échéances», soulignera-t-il devant une grande assistance qui a bien suivi la présentation du projet du président de l’USMBA.       

Pas plus de 2 mois de retard dans les salaires

La Fédération algérienne de football (FAF) a indiqué, jeudi, qu’elle était destinataire d’un courrier de la Fifa, dans lequel l’instance internationale informe toutes les associations membres, que plusieurs amendements vont être apportés au «Rè
El Watan - Sports

Pas plus de 2 mois de retard dans les salaires

La Fédération algérienne de football (FAF) a indiqué, jeudi, qu’elle était destinataire d’un courrier de la Fifa, dans lequel l’instance internationale informe toutes les associations membres, que plusieurs amendements vont être apportés au «Règlement du statut et du transfert des joueurs de la FIFA» à compter du 1er juin prochain. Les règles, pour ce qui est des aspects financiers, entre joueurs et clubs, seront plus strictes. Ainsi, d’emblée, l’article 14 amendé de ce règlement stipule désormais que «tout comportement abusif d’une partie visant à forcer l’autre partie à résilier ou à modifier les termes du contrat donne droit à cette autre partie (joueur ou club) de résilier le contrat pour juste cause». Allant plus loin, la Fifa a introduit un nouvel article (14 bis) qui impose un délai maximum (deux mois) pour ce qui est des retards des salaires. «Si un club venait à se retrouver dans l’illégalité en ne payant pas au moins deux salaires mensuels au joueur aux dates prévues, ce dernier serait alors considéré comme en droit de résilier son contrat pour juste cause sous réserve d’avoir mis en demeure par écrit le club débiteur et de lui avoir accordé au moins quinze jours pour honorer la totalité de ses obligations financières. Des dispositions contractuelles alternatives applicables au moment de l’entrée en vigueur du présent article peuvent également être prises en considération». De plus, «aucune clause contractuelle garantissant au club du temps supplémentaire (délai de grâce) pour verser au joueur des sommes dues conformément au contrat ne sera reconnue» (article 18 amendé). L’instance internationale signale toutefois que s’il existe dans un pays donné une convention collective «valablement négociée», c’est cette dernière qui est appliquée. Bien évidemment, la Fifa a été également regardante sur les intérêts des clubs. A cet effet, dans l’article 17 de ce règlement, il est signalé que «si le joueur a signé un nouveau contrat au moment de la décision (résiliation d’un contrat sans juste cause, ndlr), la valeur du nouveau contrat pour la période correspondant à la durée restante du contrat prématurément résilié sera déduite de la valeur résiduelle du contrat prématurément résilié (indemnité réduite)».   En dernier lieu, la Fifa a également introduit un autre nouvel article (24 bis) dans lequel il est est stipulé que «lorsqu’elles enjoignent une partie (club ou joueur) de verser à une autre partie (club ou joueur) une somme d’argent (montants impayés ou indemnité), les entités que sont Ia commission du statut du joueur, la CRL, le juge unique ou le juge de la CRL (selon le cas) devront aussi décider des conséquences qu’aurait un non-paiement de ladite somme dans Ie délai imparti». Il faut noter que ces amendements n’auront pas d’effet rétroactif. Seuls les contrats signés à partir du 1er juin seront concernés par les nouvelles mesures.  

L’AMA maintient la pression sur la Russie

A un mois de la Coupe du monde de football, l’Agence mondiale antidopage (AMA) maintient la pression sur la Russie, exigeant toujours qu’elle reconnaisse ses fautes dans le plus grand scandale de dopage de l’histoire du sport. L’affaire ressemble
El Watan - Sports

L’AMA maintient la pression sur la Russie

A un mois de la Coupe du monde de football, l’Agence mondiale antidopage (AMA) maintient la pression sur la Russie, exigeant toujours qu’elle reconnaisse ses fautes dans le plus grand scandale de dopage de l’histoire du sport. L’affaire ressemble à une impasse. Sans cet aveu par les autorités russes qu’un système de dopage institutionnel a bien existé entre 2011 et 2015, touchant tous les sports et des centaines d’athlètes, l’AMA refuse de lever la suspension de l’agence russe antidopage Rusada. Le comité exécutif de l’AMA, réuni mercredi à Montréal, est resté sur cette position, ont indiqué plusieurs participants. «Il n’y a pas eu besoin de vote (...), rien n’a changé», a confirmé le directeur général de l’AMA, Olivier Niggli, à quelques journalistes après la réunion, sans livrer plus de détails. Tout comme un autre scandale, plus récent, celui des accusations contre le président démissionnaire de la Fédération internationale de biathlon (IBU), le Norvégien Anders Besseberg, d’avoir touché des pots-de-vin pour protéger les intérêts russes dans ce sport. Neutralité La mise à l’index de Rusada est hautement symbolique pour la Russie, qui s’apprête à accueillir la Coupe du monde de football (14 juin-15 juillet). Pour cette compétition, la FIFA a déjà fait savoir qu’ «aucun Russe ne (serait) impliqué dans la mise en œuvre du programme antidopage» et que les analyses auraient lieu hors de Russie. Mais les conséquences sont aussi concrètes dans un autre sport : le retour à la conformité de Rusada est en effet l’un des critères pour que la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF) autorise à nouveau la Russie à participer à ses compétitions, comme les championnats d’Europe, en août à Berlin. En athlétisme, la Russie a déjà été privée des JO de Rio-2016 et des Mondiaux-2017 à Londres, l’IAAF n’acceptant qu’une sélection d’athlètes neutres triés sur le volet. La Russie, qui a fait du sport un outil majeur pour réaffirmer sa puissance, a aussi été privée de drapeau et d’hymne aux Jeux olympiques de Pyeongchang, où le CIO a imposé une sélection d’athlètes neutres. Depuis sa suspension en novembre 2015, Rusada a engagé des réformes et répond désormais à tous les critères exigés par l’AMA en termes de bonne gouvernance. Elle a ainsi été autorisée en juin 2017 à mener à nouveau ses programmes antidopage, sous supervision internationale. Mais l’AMA attend toujours l’acceptation claire par Moscou des conclusions accablantes de l’enquête McLaren. Ces travaux avaient levé le voile en 2016 sur un système à grande échelle, reposant sur la falsification des résultats des contrôles au laboratoire de Moscou et sur le trucage d’échantillons d’urine aux JO de Sotchi en 2014, avec la bénédiction de rouages de l’Etat, notamment le ministère des Sports. Mercredi, le directeur général de Rusada, Iouri Ganous, a donné un nouveau gage de bonne volonté en demandant aux autorités de son pays d’ouvrir les portes du laboratoire antidopage de Moscou à l’AMA, la seconde condition posée par l’agence pour lever les sanctions. En vain pour l’instant. «Rusada fait preuve de bonne volonté mais se retrouve prise en sandwich entre l’AMA et le pouvoir russe», observe l’un des patrons de l’Institut des organisations antidopage (Inado), le Canadien Doug Mac Quarrie. «Les premières victimes sont les athlètes russes honnêtes. Mais pour avancer, il faut que la Russie accepte de reconnaître ses fautes», a-t-il confié à l’AFP.

L’Atlético Madrid et Griezmann brisent le rêve de Marseille

Et de trois ! Après 2010 et 2012, l’Atlético Madrid a remporté mercredi une troisième Europa League en venant à bout sans trembler de Marseille (3-0), grâce notamment à un doublé d’Antoine Griezmann. L’attaquant français n’a pas ménagé ses
El Watan - Sports

L’Atlético Madrid et Griezmann brisent le rêve de Marseille

Et de trois ! Après 2010 et 2012, l’Atlético Madrid a remporté mercredi une troisième Europa League en venant à bout sans trembler de Marseille (3-0), grâce notamment à un doublé d’Antoine Griezmann. L’attaquant français n’a pas ménagé ses compatriotes et a vaincu la malédiction, après deux finales perdues en 2016, la Ligue des champions et l’Euro. Il a littéralement porté les Colchoneros, ses deux buts (21’, 49’) en finale s’ajoutent à ceux qu’il a marqués à chaque tour de C3 depuis les 16es de finale. Avec un dernier but du capitaine Gabi (89’), l’ «Atléti» ravale un peu sa peine des deux C1 perdues contre le Real Madrid en 2014 et 2016, mais l’OM l’a bien aidé en se sabordant pour perdre sa quatrième finale continentale sur cinq. Comme en 1999 contre Parme et 2004 contre Valence, les Marseillais ont, quant à eux, commis un petit suicide sportif. Frank Anguissa a rejoint sur les étagères de la boutique des horreurs de l’OM Laurent Blanc et Fabien Barthez : son contrôle complètement manqué sur une abominable relance axiale de Steve Mandanda a profité à Antoine Griezmann, qui a saisi l’occasion d’ouvrir le score et d’exécuter sa danse de Zébulon. Cruel pour le Camerounais, un des meilleurs sur la pelouse avant cet instant qui l’a laissé hébété un moment. L’OM a pourtant eu la première occasion, mais Valère Germain a gâché un bon ballon de Dimitri Payet en tirant au-dessus (4’). Ce sera le seul beau geste du capitaine marseillais, qui a dû abandonner la partie, en larmes, blessé à une cuisse dès la 35’. DRAME Les hommes de Rudi Garcia se sont retrouvés menés et privés de leur étoile... Dès le début de la seconde période, sous la pluie, l’OM a craqué, Mandanda s’inclinant une deuxième fois face à son coéquipier en bleu, servi dans la profondeur par Koke (49’). Dans un stade plus blanc que rouge, où les supporters de l’OM se sont fait rappeler à l’ordre pour avoir craqué beaucoup de fumigènes, le combat n’a jamais vraiment eu lieu. Comble d’amertume, Kostas Mitroglou, entré à la place de Germain, a vu sa tête frapper le poteau puis lécher la ligne de but (81’). Les supporters marseillais n’ont plus que leurs yeux pour pleurer, après les échecs de 1991 en Ligue des champions, puis de 1999 et 2004. Ils se raccrochent donc toujours au seul triomphe de 1993, mais Basile Boli est toujours le seul buteur marseillais en finale européenne. RISQUE L’épopée, qui a fait vibrer tout Marseille, surtout depuis le quart de finale retour contre Leipzig (5-2, 0-1 à l’aller), s’est fracassée sur la maturité des hommes de Diego Simeone, suspendu, qui a assisté au triomphe dans les tribunes. Ce succès revigore le projet de son Atletico, qui laisse le mistigri des finales perdues à l’OM. Les Matelassiers décrochent une troisième C3, après 2010 et 2012, et écrivent enfin une ligne à leur palmarès. Depuis le triomphe en Liga en 2014, le modèle du «Cholo» Simeone ne gagnait plus que des places d’honneur. Le charismatique entraîneur argentin a coupé la priorité à Rudi Garcia, en quête lui d’un trophée depuis le doublé coupe-championnat en France avec Lille en 2011. Il ne deviendra pas cette année le second technicien français vainqueur d’une C3, après Gérard Houllier en 2001 avec Liverpool. Maintenant l’OM doit ravaler ses larmes pour ne pas finir la saison tout nu : il reste une dernière chance d’aller chercher la Ligue des champions, mais il faut battre Amiens samedi pour la dernière journée du championnat de France, malgré l’acide lactique de la défaite, et compter sur Nice pour prendre au moins un point à Lyon. Ce sera le 61e match de la saison la plus longue. Celle d’Antoine Griezmann se prolongera avec la Coupe du monde en Russie, où il guidera l’équipe de France. Au moins «Grizzy» a-t-il appris à gagner une finale...

Coupes africaines : Bonnes opérations de l’USMA et du MCA

Après le MCA, l’USM Alger a réussi à revenir avec un point de son difficile déplacement au Kenya, où elle a tenu en respect le club local de Gor Mahia FC (0-0). Ce résultat nul obtenu dans des conditions climatiques difficiles, avec beaucoup de plu
El Watan - Sports

Coupes africaines : Bonnes opérations de l’USMA et du MCA

Après le MCA, l’USM Alger a réussi à revenir avec un point de son difficile déplacement au Kenya, où elle a tenu en respect le club local de Gor Mahia FC (0-0). Ce résultat nul obtenu dans des conditions climatiques difficiles, avec beaucoup de pluie et le vent, a permis à la formation de Miloud Hamdi de prendre la tête du groupe D avec 4 points, à deux longueurs de son adversaire du jour, le Gor Mahia FC, mais aussi du Rayon Sport FC du Rwanda. Ce dernier a tenu en respect, en déplacement, le club tanzanien Young Africans sur le même score de 0 à 0. Décevants dans les compétitions nationales, les Rouge et Noir semblent plus à l’aise en coupe de la CAF. L’USMA se trouve aujourd’hui bien placée afin de valider son ticket pour le stade des quarts de finale, surtout que les adversaires de son groupe restent tous à sa portée. Les Rouge et Noir reprendront la compétition le 17 juillet avec un second déplacement de suite. Cette fois-ci, ils affronteront le club rwandais Rayon Sport FC au moment où Gor Mahia FC accueillera les Young Africans. En Ligue des champions et dans le groupe B, le MC Alger a évité la crise en allant s’imposer dans le derby algérien au stade du 8 Mai 1945, dans les ultimes minutes de la partie, devant le club sétifien sur le score d’un but à zéro, à la faveur de la réalisation signée Karaoui. Cette victoire permet aux hommes de Bernard Casoni de se «remettre en selle» pour la course à la qualification après son nul concédé à domicile devant le club marocain du Difaâ Hassani El Djadidi (1-1). Les Mouloudéens ont ainsi mis fin à une longue série de matches sans victoire. Pour sa prochaine sortie dans la plus prestigieuse compétition africaine, le MC Alger ira défier l’intouchable club congolais du TP Mazembe, auteur de deux succès face à l’ES Sétif (4-1) et au Difaâ El Djedidi (2-0). Pour sa part, l’Entente de Sétif se trouve plus proche de l’élimination que d’une qualification aux quarts de finale, même si mathématiquement tout reste possible. Mais avec un seul point en deux matches, les Séfifiens doivent faire un sans faute lors des prochaines sorties. A commencer par la confrontation que jouera l’équipe à domicile le 17 juillet à domicile face au Difaâ El Djadidi. Ce sera le véritable défi du champion d’Algérie 2017, qui a tout perdu cette saison ou…presque. 

Gehad Zaghloul Gricha ou l’impartialité à toute épreuve

C’est l’arbitre égyptien Gehad Gricha (42 ans) mondialiste en force, connu pour sa bonne réputation chez le public sportif algérien, qui a été chargé par la CAF de veiller sur le deuxième match des poules de la LDCA en ce grand derby ou plutôt le
El Watan - Sports

Gehad Zaghloul Gricha ou l’impartialité à toute épreuve

C’est l’arbitre égyptien Gehad Gricha (42 ans) mondialiste en force, connu pour sa bonne réputation chez le public sportif algérien, qui a été chargé par la CAF de veiller sur le deuxième match des poules de la LDCA en ce grand derby ou plutôt le choc algéro-algérien entre l’ESS et le MCA, considéré comme à enjeu capital et ce par une bonne gestion arbitrale. Au bout du compte, il a été (comme à ses habitudes) de bout en bout impartial, voire magistral. La mission était très délicate du fait que les deux équipes jouaient leur destin, car n’ayant pas enregistré les résultats escomptés lors de la première journée. Par son arbitrage frappé de justesse, de mobilité, de clarté favorisant une agréable fluidité, il a semé entre tous les acteurs sur le terrain les grains de sportivité qui ont fleuri au fil des minutes pour sceller entre eux le sceau d’une noble fraternité. Même si, par moment, on sentait à travers certains contacts des éclats d’électricité. Doté par la nature d’une belle taille avec de bons et justes déplacements lui permettant de dominer et d’avoir à l’œil tous les mouvements à base d’engagement, tous les frottements pour prévenir les dépassements. L’arbitre avait une judicieuse sensation pour avoir tout senti avec un sifflet discret, mais qui à chaque fait qui mérite l’arrêt, retentit, car même les joueurs qui avaient de la fougue qui fut maladroitement convertie, ont été très logiquement avertis. Le but marqué était valable et était l’unique réalisation de la partie. Dans ce contexte, aucune réserve n’a de prétexte. 

Mouloudia d’Alger : Le Doyen sauve la face

C’est un véritable exploit que vient d’accomplir le Mouloudia d’Alger, en allant chercher un succès, mardi soir, à Sétif face à l’ESS (0-1), en match de la 2e journée de la phase de poules de la Ligue des champions d’Afrique. Traversant un
El Watan - Sports

Mouloudia d’Alger : Le Doyen sauve la face

C’est un véritable exploit que vient d’accomplir le Mouloudia d’Alger, en allant chercher un succès, mardi soir, à Sétif face à l’ESS (0-1), en match de la 2e journée de la phase de poules de la Ligue des champions d’Afrique. Traversant une mauvaise passe en cette fin de saison, avec une série de six matchs sans victoire, les Algérois ont renoué avec le succès, chassant ainsi la guigne qui les poursuivait à Sétif, avec un dernier succès qui remonte à plus de six ans, tout en se relançant dans la course à la qualification pour les quarts de finale de la prestigieuse compétition africaine. Un succès qui n’a pas manqué de faire réagir le coach français, Bernard Casoni. Ce dernier, qui avait boycotté la presse le week-end passé après sa grosse colère suite à la défaite concédée en championnat, face à une équipe de l’USM El Harrach reléguée, ne manquera pas de féliciter ses joueurs «qui ont su relever le défi, malgré la pression», pour avoir «mis du cœur à l’ouvrage pour aller chercher ce succès important, qui nous réconcilie avec nos supporters», notera le technicien. Un succès qui relance le MCA pour la qualification, même si pour le coach, rien n’est encore joué. «On n’a disputé que deux matchs, et il en reste quatre. Nos chances de qualification sont certes grandes, mais cela va se jouer jusqu’au dernier match de cette phase de poules», estime Bernard Casoni, qui n’aura pas le loisir de coacher son team, une dernière fois cette saison, étant suspendu pour l’ultime match du championnat, prévu ce samedi, à huis clos, face à la JS Saoura. Kaci-Saïd tient à Casoni Cette victoire face à l’ESS, qui relance sérieusement le MCA dans la course à la qualification en Ligue des champions d’Afrique, a conforté dans son souhait le directeur sportif du Doyen, en l’occurrence Kamel Kaci-Saïd, de maintenir son entraîneur à la tête de la barre technique pour une seconde saison de suite. Présent mardi soir à Sétif, où il a assisté au succès des siens, Kamel Kaci-Saïd a de nouveau mis fin aux spéculations sur l’avenir du staff technique, en renouvelant sa confiance à Bernard Casoni et son staff. Il dira à ce propos : «Je le dis et le répète : Casoni et son staff seront maintenus la saison prochaine, pour la simple raison que notre projet porte sur deux années. Je suis même persuadé qu’on sera encore meilleurs.» Il jette ainsi la balle dans le camp du Français, toujours aussi évasif sur son avenir, après avoir émis un certain nombre de conditions, il y a quelques jours, quant à la poursuite de son aventure avec le Mouloudia.  

ES Sétif : Les raisons d’une amère déconfiture

Le rêve d’aller loin dans le dernier tour de la plus prestigieuse compétition africaine des clubs cuvée 2018 vient de s’effondrer. I il est vrai que, mathématiquement, tout reste possible mais la défaite de mardi fait sauter en éclats les derniè
El Watan - Sports

ES Sétif : Les raisons d’une amère déconfiture

Le rêve d’aller loin dans le dernier tour de la plus prestigieuse compétition africaine des clubs cuvée 2018 vient de s’effondrer. I il est vrai que, mathématiquement, tout reste possible mais la défaite de mardi fait sauter en éclats les dernières illusions du club phare de Aïn Fouara, qui traverse un interminable passage à vide, qui perdure depuis le début d’une saison marquée par une préparation d’intersaison quelconque et un mercato raté. L’aventure des Ententistes en Ligue des champions d’Afrique s’est arrêtée, mardi, à l’issue du derby remporté par un Doyen réaliste, préparé et bien coaché par un technicien qui a su lire et gérer les péripéties d’une confrontation n’ayant pas atteint les sommets. Les puristes n’ont pas été emballés par les ratages des uns et les innombrables déchets techniques des autres. Laissant dans les vestiaires la «grinta», le propre des grands compétiteurs, les Ententistes n’ont pas fait le match attendu par le public venu nombreux. Cette sortie prématurée de la course aura de fâcheuses conséquences pour le club sétifien tablant sur la compétition pour booster son budget. Contrairement aux hommes de Casoni, qui ont trouvé les ressources mentales pour effacer les derniers revers, rebondir et prendre la deuxième place du groupe, l’Aigle noir ne s’est pas hissé à la hauteur de l’événement. Au grand désarroi de ses fans désappointés par ce qui arrive à leur club se trouvant plus que jamais en danger. Malik Zorgane, dont l’intérim prendra fin, nous dit-on, après le prochain ESS-USMBA, n’a pas pu relever le défi ; les circonstances et la crise secouant le club depuis un certain temps ont compliqué la mission du pigiste surclassé par son vis-à-vis. Soulignons que le crash de l’Aigle noir n’est pas une fatalité, il s’explique par différents facteurs et pas des moindres.   Une équipe de surcroît professionnelle faisant semblant de travailler ne peut rivaliser avec les compétiteurs dirigés par un coach attitré. La faillite technique et tactique de l’ESS est perceptible depuis le début d’une saison calamiteuse. L’Entente qui n’a pas marqué suffisamment de buts, en a encaissé beaucoup, ces derniers temps. Traînant depuis un bail, l’énigmatique problème des 12 joueurs blessés y met son grain de sel. La prise en charge médicale de certains joueurs, tel Nadji qui a préféré se soigner loin du contrôle du médecin de l’équipe, n’a pas arrangé les affaires d’une formation mal gérée. Le «potentiel» de certains joueurs n’ayant pas le niveau requis a handicapé l’Entente broyant du noir. L’hygiène de vie de certains «pros» tournant le dos à une nutrition saine et à la récupération (le sommeil s’entend) a non seulement fait le reste, mais donné le coup de grâce à l’Entente qui aura du mal à s’en relever. Dénoncé par de nombreux supporters, le retour de Madoui, partie prenante dans cet échec, n’arrange pas les choses.  

Démission collective du directoire et des actionnaires

Reléguée il y a quelques jours en Ligue 2, après une saison chaotique, l’USM El Harrach vit une situation délicate en cette fin de saison, et les choses risquent de se corser, avec la décision de démission prise par les membres du directoire qui gèr
El Watan - Sports

Démission collective du directoire et des actionnaires

Reléguée il y a quelques jours en Ligue 2, après une saison chaotique, l’USM El Harrach vit une situation délicate en cette fin de saison, et les choses risquent de se corser, avec la décision de démission prise par les membres du directoire qui gère les affaires du club depuis l’hiver dernier, ainsi que des actionnaires. Une décision prise lundi soir par les responsables de l’USMH, lors d’une réunion ayant regroupé les membres du directoire. C’est ce que nous confirmera le porte-parole du club et actionnaire, Djaâfar Bouslimani. «Après consultation, on a décidé de déposer une démission collective. Notre démission sera entérinée dans les prochaines heures, en la remettant par écrit au wali délégué d’El Harrach», indique le responsable, en précisant que la mission de l’actuelle direction s’achèvera officiellement le 3 juin prochain, avec la tenue d’une assemblée générale élective des actionnaires. «On est démissionnaires et notre décision est irrévocable. Aux membres de l’AG de désigner un nouveau conseil d’administration et un président. On a d’ailleurs arrêté la date du 3 juin prochain pour la tenue d’une assemblée générale extraordinaire et élective pour désigner nos successeurs». Pour ce qui est des raisons de cette démission, au moment où la direction avait affiché ses intentions de poursuivre sa mission, notamment le président Mohamed Laïb, allant même jusqu’à évoquer ses intentions de préparer la saison prochaine, notamment sur le plan effectif, le porte-parole de l’USMH avoue que se sont les difficultés financières que connaît le club qui en sont la principale cause. «On ne peut plus continuer dans ces conditions. L’USMH est victime de hogra. Comment expliquez-vous qu’on soit le seul club algérois à ne pas bénéficier des subventions de la wilaya et de la commune depuis 2010 ? C’est inadmissible, et c’est pour cela qu’on remettra les clés au wali délégué». Cela dit, Bouslimani a tenu tout de même à rassurer les joueurs, en précisant qu’il s’agit certes d’une démission, mais pas d’un abandon de l’équipe. «Ce n’est pas une fuite et on ne va pas abandonner le club à travers notre démission. On poursuivra notre mission jusqu’au 3 juin, et on s’attellera d’ici là à trouver une solution pour régulariser les joueurs. On a d’ailleurs prévu de les rencontrer. On ne va pas les abandonner, et c’est leur droit de réclamer leur dû. En tous les cas, on fera tout pour essayer d’assainir la situation, pour ne pas compromettre les préparatifs de la saison prochaine», conclut le responsable harrachi. A noter que l’USMH risque une véritable saignée après sa relégation en Ligue 2, avec des joueurs impayés depuis plusieurs mois et qui comptent saisir la CRL, en passant par le cumul de dettes, qui risque de priver l’équipe de recrutement, la saison prochaine et de facto, compromettre ses ambitions de retrouver l’élite.

Les Rouge et Noir veulent enchaîner

L’USM Alger affrontera, aujourd’hui à Nairobi, le club kenyan de Gor Mahia, pour le compte de la deuxième journée de la phase des poules de la Coupe de la CAF (groupe D). Lors de la première journée, les Usmistes s’étaient largement imposés face
El Watan - Sports

Les Rouge et Noir veulent enchaîner

L’USM Alger affrontera, aujourd’hui à Nairobi, le club kenyan de Gor Mahia, pour le compte de la deuxième journée de la phase des poules de la Coupe de la CAF (groupe D). Lors de la première journée, les Usmistes s’étaient largement imposés face aux Tanzaniens de Young Africans sur le score de quatre buts à zéro. Au même moment, Gor Mahia avait réussi à revenir de son déplacement du Rwanda, face à Rayon Sports, avec le point de l’égalité (1-1). Pour le représentant algérien, il est question d’enchaîner avec un deuxième résultat positif, cette fois-ci en déplacement, afin de prendre une option pour la qualification aux quarts de finale. La mission ne risque pas, éventuellement, d’être facile face à un adversaire «inconnu». D’autant plus que le club s’est déplacé au Kenya avec un effectif amoindri. En effet, le goleador de l’USMA, Oussama Derfalou, est suspendu pour cette rencontre, après avoir écopé d’un autre carton jaune lors de l’empoignade face à Young Africans. Kaddour Beldjilali, lui, est blessé. Par contre, Chita, Hamia, Hajhouj et Hamzaoui sont écartés soit pour des raisons d’insuffisance technique, soit pour cause d’indiscipline. Pour dire que le coach du club, le Franco-Algérien Miloud Hamdi, aura beaucoup de difficultés pour composer son groupe, notamment au niveau du compartiment offensif. Il faut noter, par ailleurs, que Gor Mahia, qui a disputé une rencontre amicale chez lui il y a tout juste trois jours, face au club anglais de Hull City, est leader du championnat kenyan après 12 journées. En dernier lieu, il est utile de signaler que cette rencontre sera arbitrée par un trio malien, dirigé par Mahamadou Keita, assisté de Moriba Diakité et Drissa Niare. L’autre match du même groupe, Young Africans-Rayon Sports, est prévu aujourd’hui également à partir de 19h (17h, heure algérienne).

Coaching gagnant de Casoni

Stade du 8 Mai 1945 (Sétif) Arbitres : Gehad (Egypte), Redounae Achik (Maroc) et Waleed Ahmed Ali (Soudan) But : Karaoui (89e) MCA Averts : Azzi (MCA) ESS : Zeghba, Ziti, Badrane, Haddouche, Oumbambou, Sidhoum, Rebiai, Aiboud (Benayad (84e), Nadji
El Watan - Sports

Coaching gagnant de Casoni

Stade du 8 Mai 1945 (Sétif) Arbitres : Gehad (Egypte), Redounae Achik (Maroc) et Waleed Ahmed Ali (Soudan) But : Karaoui (89e) MCA Averts : Azzi (MCA) ESS : Zeghba, Ziti, Badrane, Haddouche, Oumbambou, Sidhoum, Rebiai, Aiboud (Benayad (84e), Nadji (Banouh 68e), Djahnit, Bakir. Entr. : Zorgane MCA : Chaal, Demmou (Bouhena 85e), Azzi, Hachoud, Karaoui, Dieng, Derrardja, Nekkache, Sououibah (Bedbouda 77e), Balegh (Cherif El Ouazzani 63e), Amada.        Entr. : Casoni Le MC Alger s’est relancé dans la course pour la qualification après sa victoire, hier, sur l’ESS (0-1). Pris à la gorge par des Algérois ayant bien étudié la manière de faire de leurs vis-à-vis, les partenaires de Djahnit éprouvent toutes les difficultés du monde à garder le ballon et à faire trois passes. Les insuffisances des locaux « transparents » tout au long de la première mi-temps, font le bonheur des gars de Bab El Oued n’éprouvant aucune peine à égratigner Zeghba mis à rude épreuve. Il a fallu attendre l’ultime minute de la première mi-temps pour voir Nadji tenter un tir, repoussé par le poteau. Le score restera vierge. Sans Ait-Oumeur, Nessakh et Amokrane (blessés), les ententistes qui ont été, sans doute, recadrés par Malik Zorgane dirigeant, à l’occasion, son dernier match, reviennent avec de meilleures intentions, bousculent leurs vis-à-vis qui reculent d’un cran. Pressant le porteur du ballon, les mouloudéens ne mettent pas à profit, la monumentale bévue de Badrane qui se fait chiper la balle (66’). Omniprésent Zeghba efface non seulement un but certain, mais atténue l’ardeur des hommes de Casoni, moins fringants, au cours du second half. Le coach mouloudéen incorpore Cherif El Ouazani et Bedbouda, des joueurs à vocation défensive, renforce son « arrière-garde », permet à son équipe de gérer et de trouver le chemin des filets par Karaoui (88’) matérialisant l’excellent travail de Bedbouda et permet à son équipe d’y croire. A noter le mauvais comportement des supporters ententistes qui ont inondé le périmètre vert d’une montagne de bouteilles … A l’issue de la deuxième journée, TP Mazembé est toujours leader après sa victoire en terre marocaine devant Difaâ El Jadidi sur le score (0-2) et compte deux points d’avance sur le MCA qu’il accueillera chez lui lors de la 3e journée entre le 17 et le 18 juillet prochain. L’ESS recevra Difaâ El Jadidi.    

CR Belouizdad : Vers le départ de Taoussi

Le technicien marocain du CR Belouizdad, Rachid Taoussi, a attendu l’avant-dernière journée du championnat national de Ligue 1, soit après que son équipe eut assuré son maintien, pour vider son sac et évoquer les problèmes du club phare de Laâqiba.
El Watan - Sports

CR Belouizdad : Vers le départ de Taoussi

Le technicien marocain du CR Belouizdad, Rachid Taoussi, a attendu l’avant-dernière journée du championnat national de Ligue 1, soit après que son équipe eut assuré son maintien, pour vider son sac et évoquer les problèmes du club phare de Laâqiba. Recruté durant le mercato hivernal avec l’objectif de sauver le club de la relégation, l’ancien sélectionneur du Maroc a bien réussi sa mission malgré les difficultés financières et un effectif moyen, en plus d’un parcours honorable en Coupe de la CAF. Il a préféré cependant attendre la fin du match face au NAHD pour tout dévoiler. Invité à la Chaîne Dzair News, Taoussi n’y est pas allé avec le dos de la cuillère pour fustiger le président du club, Hadj Mohamed Boufahs. Les larmes aux yeux, il dira: « Bouhafs a sali l’image de marque du CRB. Je n’ai plus confiance en lui ». En effet, Bouhafs n’a plus donné signe de vie depuis l’élimination du CRB en Coupe de la CAF face à l’ASEC Mimosas, laissant le staff technique affronter seul les joueurs dont la plupart ne sont pas payés depuis plusieurs mois. Taoussi a affirmé en outre qu’il a lui-même payé ses adjoints face à l’ASEC pour les dissuader de démissionner. Les déclarations du coach belouizdadi dénotent, on ne peut mieux, la situation catastrophique que vit le club depuis l’arrivée de Bouhafs à la tête du club. Les jours du Marocain à la barre technique sont comptés. Taoussi va sans doute quitter l’équipe, surtout qu’il affirme avoir des touches de la part de plusieurs clubs de l’élite. En plus de l’entraîneur, au moins une dizaine de joueurs risquent de lui emboîter le pas. Certains d’entre eux, en fin de contrat, ont déjà signé des précontrats avec d’autres clubs. Les autres, non payés, vont certainement saisir la CRL pour avoir leur lettre de libération afin de pouvoir changer d’air.       CRB - DRBT au stade du 20 Août La Commission d’homologation de la LFP est passée, hier, au stade du 20 Août 1955 pour vérifier la levée des réserves émises sur la hauteur des bois, devenue par la force des temps et la multiplication des rencontres depuis leur installation il y a cinq, de 2,44m réglementaire à 2,42m, soit 2 cm de moins. La Commission était composée de Nacer Ouakli et Bedreddine et Attia (représentant de la LFP), Mustapha Laroussi (SG du CRB), Mohamed Benrezig (DAG du CRB), Mohamed Ammamra (P/APC Belouizdad), Amar Sahnoune (directeur du stade du 20 Août 1955) et IRS Beriche (entreprise chargée des travaux d’infrastructure et de revêtement). Cette dernière a donné des promesses aux membres de la LFP que les travaux seraient effectués aujourd’hui. Une autre visite est prévue aujourd’hui pour constater que la hauteur des bois est rétablie conformément à la norme. Ainsi, le match CRB – DRBT se jouera forcément au stade du 20 Août 1955.    

Le match à ne pas rater pour le Mouloudia

Restant sur une mauvaise série de cinq matchs sans victoire, dont un nul face aux Marocains de Difââ El Djadidi, lors de la première journée de la phase de poules de la Ligue des champions d’Afrique, et ratant tous ses objectifs à l’échelle nationa
El Watan - Sports

Le match à ne pas rater pour le Mouloudia

Restant sur une mauvaise série de cinq matchs sans victoire, dont un nul face aux Marocains de Difââ El Djadidi, lors de la première journée de la phase de poules de la Ligue des champions d’Afrique, et ratant tous ses objectifs à l’échelle nationale (coupe et championnat), le Mouloudia d’Alger est dos au mur, à l’occasion du choc algéro-algérien de la 2e journée du groupe B de la LDC, prévu ce soir à Sétif face à l’ESS. Sortant bredouille à l’échelle nationale, le MCA ne veut sous aucun prétexte se louper en Ligue des champions, avec cet objectif de passer l’écueil de la phase de poules pour se hisser en quart de finale de la Ligue des champions d’Afrique. Entamant mal cette phase de poules, en concédant le nul, il y a une dizaine de jours au stade du 5 Juillet face aux Marocains du Difaâ, Casoni et ses poulains n’auront pas le droit à l’erreur, ce soir face à l’Aigle noir. Les Algérois qui visent au moins un point de ce déplacement périlleux dans les Haut Plateaux, ont certes des atouts à faire valoir, mais leur mission sera loin d’être aisée. Déjà très affecté psychologiquement d’avoir raté le titre en coupe et en championnat, et même le podium, qui les prive d’une compétition africaine la saison prochaine, le coach Bernard Casoni aura quelques difficultés à composer son onze, pour cause de suspensions et de blessures. Privé des services de Mebarakou et Bendebka, suspendus, mais aussi d’Al Mouadhen, blessé, au moment où la participation de Chérif El Ouazzani et Bouhenna reste incertaine, Bernard Casoni devra opérer plusieurs remaniements, même si la seule satisfaction est d’avoir récupéré les Bedbouda et Amada. Mais une chose est sûre : avec un seul point au compteur, le technicien français a décidé de jouer la carte de l’offensive à Sétif, en misant sur le passage à vide des Sétifiens et de ses soucis internes, pour aller chercher l’exploit de battre l’Entente, et se relancer sérieusement dans la course pour les quarts de finale de la prestigieuse compétition africaine.

Le partage des points est interdit

Le onze sétifien broie du noir. Cette situation, qui perdure depuis des semaines, est marquée par des fausses notes. Salées, le plus souvent. Intervenant à un moment crucial de l’exercice, la traversée du désert qui a causé d’innombrables dégâ
El Watan - Sports

Le partage des points est interdit

Le onze sétifien broie du noir. Cette situation, qui perdure depuis des semaines, est marquée par des fausses notes. Salées, le plus souvent. Intervenant à un moment crucial de l’exercice, la traversée du désert qui a causé d’innombrables dégâts à ce château de sable, irrite au plus haut point des inconditionnels faisant du numéro un du club, le premier responsable de la maladie de l’Aigle noir. Lequel végète en salle de réanimation. Evoluant sans coach attitré, l’ESS, qui n’a pas connu pareille situation depuis plus d’une décennie, vit dans le doute et l’incertitude. La multiplication des problèmes attise les difficultés des partenaires de Djahnit n’ayant pas préparé comme il se doit la phase de poules de la Champions League d’Afrique. La prestigieuse compétition continentale des clubs est une affaire sérieuse, et génératrice d’une importante manne financière, en devises fortes de surcroît. Les «managers» de l’Entente ont le moins que l’on puisse dire relégué ces paramètres au second plan. Cela dit, la réception du Mouloudia d’Alger consommant lui aussi son pain noir, n’arrange pas les choses des Ententistes mis, plus que jamais, entre le marteau et l’enclume. L’absence d’un coach n’est pas le seul souci des Sétifiens, qui doivent une fois de plus composer avec ce problème de blessures indisposant les uns et fragilisant les autres. L’intérimaire Malik Zorgane ne figurant pas dans les plans de l’équipe de Madoui, il sera obligé de «raccommoder» un effectif blessé physiquement et moralement. Sachant que le moral des gars de la capitale des Hauts-Plateaux est à plat. La colère du public sétifien, exaspéré par les claques des derniers matches, ne plaide pas en faveur des Noir et Blanc devant fouler la pelouse du chaudron avec la peur au ventre. Les intentions de l’adversaire marquant lui aussi le pas font grincer des dents. Tenu en échec lors du premier round, le MCA se déplacera au 8 Mai 1945, qui sera à n’en pas douter plein à craquer pour rebondir, se refaire une santé et se racheter auprès d’un public à la fois connaisseur et exigeant. Se retrouvant dos au mur, les deux formations qui n’ont pas le droit à l’erreur et au partage des points connaissent le chemin à prendre. Pour une fois, Mouloudéens et Sétifiens seront, ce soir, sur la même longueur d’onde. Celle des trois points, rien que les trois points…  

ES Sétif : Madoui revient, Hamar «s’en va»

Comme annoncé dans l’une de nos précédentes éditions, Kheireddine Madoui qui dirige la formation tunisienne de l’Etoile du Sahel (Sousse) sera le prochain premier responsable de la barre technique de l’Entente de Sétif, traversant actuellement une
El Watan - Sports

ES Sétif : Madoui revient, Hamar «s’en va»

Comme annoncé dans l’une de nos précédentes éditions, Kheireddine Madoui qui dirige la formation tunisienne de l’Etoile du Sahel (Sousse) sera le prochain premier responsable de la barre technique de l’Entente de Sétif, traversant actuellement une dangereuse zone de turbulences. Madoui qui a été remplacé à la fin de la phase aller par Abdelhak Benchika, poussé vers la porte de sortie, comme on l’avait fait, une année auparavant, avec Abdelkader Amrani, revient au bercail, six mois après. L’ancien et nouveau coach ententiste débutera sa mission  après le match devant opposer demain (mardi 15 mai), l’ESS au MC Alger pour le compte de la deuxième journée de la phase de poules de la Ligue des champions d’Afrique (LDC), s’annonçant dure pour ne pas dire compliquée pour les deux formations algériennes qui ont complètement loupé leur première sortie. A l’instar des Mouloudéens, les Ententistes ont crié victoire avant l’heure, oubliant que le football se joue et se gagne sur une pelouse verte. Ceci est un autre débat, diriez-vous. Ayant  déjà travaillé avec Madoui héritant d’une situation difficile, l’ex-préparateur physique du onze sétifien, Kamel Boudjenane est à pied d’œuvre. Le staff technique sera, dans les prochains jours, renforcé par un adjoint et un entraîneur des gardiens (tout deux de Sétif, nous dit-on). Ne pouvant sans doute supporter la pression des supporters s’expliquant mal la chute libre de leur équipe, le président du club Hacen Hamar a annoncé hier sa démission. L’information a été donnée par l’attaché de presse du club, à travers un communiqué. Connaissant sa relation avec l’Entente, Hamar qui vient d’enrôler Demen Debbih (ASAM), Mellal (USMH) et le gardien Boultif (JSK), ne va pas franchir le pas. Pour de nombreux observateurs et initiés, cette énième démission, intervenant à quelques heures du big match ESS-MCA, est à la fois un leurre et une diversion.  

«Un tel parcours n’aurait pas été possible sans la stabilité »

Il n’y avait peut-être pas, samedi passé à Blida, d’homme plus heureux que Tarek Arama. Lui dont certains avaient décrié la nomination au poste de manager général du CSC, arguant qu’il manquait de savoir-faire et d’expérience, et qui a prou
El Watan - Sports

«Un tel parcours n’aurait pas été possible sans la stabilité »

Il n’y avait peut-être pas, samedi passé à Blida, d’homme plus heureux que Tarek Arama. Lui dont certains avaient décrié la nomination au poste de manager général du CSC, arguant qu’il manquait de savoir-faire et d’expérience, et qui a prouvé qu’au prix de beaucoup d’efforts, et surtout d’humilité, le miracle était tout à fait possible : « Au départ, l’objectif était de terminer dans les 5 premiers du championnat. Cependant, nous avons revu nos ambitions à la hausse après les victoires enregistrées en déplacement contre l’USMA et la JSK. C’est là que nous avons commencé à croire en nos capacités», a-t-il déclaré, en précisant qu’un tel parcours n’aurait pas été possible sans la stabilité qui a caractérisé le club cette année. « Après le sauvetage du CSC de la relégation, les propriétaires ont décidé de maintenir en place les staffs technique et administratif, et cette option a eu un impact des plus positifs, en ce sens que le climat au sein de l’équipe a permis aux joueurs de se concentrer pleinement sur leur travail. De mon côté, j’ai travaillé en étroite collaboration avec l’entraîneur Abdelkader Amrani, qui, de par sa longue expérience sur les terrains et ses capacités managériales avérées, a été le véritable artisan de ce titre. D’ailleurs, nous comptons prolonger son contrat incessamment», a affirmé celui qui était déjà là, en tant que joueur, lors du premier sacre de l’Aigle noir en 1997. Et de conclure : «Il nous reste le match face au Paradou AC, et nous allons faire en sorte que ce soit une véritable fête. Nous allons d’abord savourer ce succès, avant de nous replonger dans le travail, car il s’agit maintenant de rester sur cette lancée et de jouer le titre chaque année.»

CS Constantine : Un champion exemplaire

Bien que le plus optimiste des observateurs n’aurait pas misé, en début d’exercice, sur le club du Vieux Rocher, certains signes avant-coureurs avaient donné des raisons d’espérer à Abdelkader Amrani, déjà artisan du sauvetage du CS Constantine l
El Watan - Sports

CS Constantine : Un champion exemplaire

Bien que le plus optimiste des observateurs n’aurait pas misé, en début d’exercice, sur le club du Vieux Rocher, certains signes avant-coureurs avaient donné des raisons d’espérer à Abdelkader Amrani, déjà artisan du sauvetage du CS Constantine la saison d’avant, lequel avait demandé carte blanche aux propriétaires du club afin d’appliquer sa vision du football, bâtie sur l’effort, le mérite et la discipline. Ainsi, à l’issue de la préparation d’intersaison (deux semaines en Tunisie), le coach ne cachait pas sa satisfaction du rendement de son équipe, dont la valeur se confirmera dès la première journée face au NAHD à Constantine, et une victoire par 3 buts à 1, qui augurait d’un parcours moins banal qu’à l’accoutumée. Le premier déplacement des Vert et Noir s’étant soldé par une défaite, c’est à partir du voyage à Alger pour y croiser le fer avec l’USMH (1-1), suivi du match remporté à domicile face au MCA (1-0), lequel a permis au CSC de se hisser tout en haut du tableau, que les ambitions clubistes avaient commencé à poindre. Et les camarades de Yacine Bezzaz d’enchaîner les bonnes performances, aussi bien à l’extérieur (particulièrement les victoires contre l’USMA et la JSK) que dans leur jardin de Hamlaoui, avec notamment un face-à-face avec l’ESS lors de la 22e journée (2-1), considéré pour beaucoup comme leur match référence, en ce sens que les poulains d’Amrani, après avoir été lontemps été menés au score, avaient pu renverser le cours de la partie lors des toutes dernières minutes de jeu. C’est à partir de ce moment-là que les supporters ont commencé à vraiment y croire. Toutefois, même si le CSC a survolé la phase aller, avec un bilan de 9 victoires, 4 nuls et 2 défaites, terminant champion d’hiver avec 31 points au compteur (8 points de moins qu’à l’ultime journée de la saison d’avant !), de légers nuages sont venus assombrir le ciel clubiste à la fin de cette première manche. En effet, un mercato hivernal bâclé, de même que des productions de moins en moins convaincantes au fil des journées, ont failli avoir raison de la sérénité qui avait jusque-là prévalu dans la maison du doyen des clubs de l’Est. À cela, se sont ajoutés les incidents ayant émaillé le match de coupe d’Algérie JSK-MCA, certaines parties ayant manœuvré pour en faire porter la responsabilité aux supporters locaux. Cependant, c’était méconnaître la force de caractère de l’équipe qui, portée par son imposante galerie, a su trouver les ressources pour revenir en force et finir par entériner, à une journée de la fin de l’exercice, le titre qui fuyait les Clubistes depuis tant d’années. Pour les Constantinois, la fête ne fait que commencer…  

Le CS Constantine au firmament

Même s’ils n’avaient pas attendu le match face à l’USMB, lanterne rouge du championnat, pour entamer les festivités, les supporters du CSC étaient hier, pour leur majorité, suspendus aux lèvres des commentateurs sportifs des chaînes et des radio
El Watan - Sports

Le CS Constantine au firmament

Même s’ils n’avaient pas attendu le match face à l’USMB, lanterne rouge du championnat, pour entamer les festivités, les supporters du CSC étaient hier, pour leur majorité, suspendus aux lèvres des commentateurs sportifs des chaînes et des radios nationales, afin de donner le véritable signal des réjouissances, lesquelles rythmeront probablement toute la saison estivale des Constantinois. En effet, ce premier titre de champion depuis l’instauration du professionnalisme, le second dans l’histoire du club, a une saveur particulière, en ce sens où les camarades du buteur Abid culminent en tête du classement depuis la 5e journée, soit depuis la rencontre à domicile face au MCA, imprimant une cadence suffisamment soutenue pour éreinter favoris et outsiders. Malgré la fausse polémique ayant suivi le match de coupe d’Algérie JSK – MCA, joué à Constantine, les éléments de l’entraîneur Abdelkader Amrani ont su tirer leur épingle du jeu, privilégiant souvent le résultat à la manière. Ce côté laborieux, par opposition au « beau jeu » développé épisodiquement par certaines équipes, et quoi qu’en pensent certains «spécialistes», n’enlève rien au mérite des joueurs, lesquels ont su transcender leurs faiblesses afin d’offrir un autre titre à l’antique club. Pour sa part, le coach Amrani aura réussi à transformer un groupe moyen en machine à gagner, et ce, au prix d’une discipline de fer, et surtout de beaucoup de sueur. A l’instant même où Lamri avait converti son penalty, donnant l’avantage à son équipe, et entérinant le titre de champion tant attendu, toute la ville a laissé exploser sa joie, et il n’a fallu que quelques minutes pour que ses principales artères soient prises d’assaut par des dizaines de milliers de fans lesquels défileront longuement, avant de se rassembler au centre-ville, face à la maison de la culture Al Khalifa, tout comme un certain mois de juin 1997…

Get more results via ClueGoal