newsare.net
Il n’y avait peut-être pas, samedi passé à Blida, d’homme plus heureux que Tarek Arama. Lui dont certains avaient décrié la nomination au poste de manager général du CSC, arguant qu’il manquait de savoir-faire et d’expérience, et qui a prou«Un tel parcours n’aurait pas été possible sans la stabilité »
Il n’y avait peut-être pas, samedi passé à Blida, d’homme plus heureux que Tarek Arama. Lui dont certains avaient décrié la nomination au poste de manager général du CSC, arguant qu’il manquait de savoir-faire et d’expérience, et qui a prouvé qu’au prix de beaucoup d’efforts, et surtout d’humilité, le miracle était tout à fait possible : « Au départ, l’objectif était de terminer dans les 5 premiers du championnat. Cependant, nous avons revu nos ambitions à la hausse après les victoires enregistrées en déplacement contre l’USMA et la JSK. C’est là que nous avons commencé à croire en nos capacités», a-t-il déclaré, en précisant qu’un tel parcours n’aurait pas été possible sans la stabilité qui a caractérisé le club cette année. « Après le sauvetage du CSC de la relégation, les propriétaires ont décidé de maintenir en place les staffs technique et administratif, et cette option a eu un impact des plus positifs, en ce sens que le climat au sein de l’équipe a permis aux joueurs de se concentrer pleinement sur leur travail. De mon côté, j’ai travaillé en étroite collaboration avec l’entraîneur Abdelkader Amrani, qui, de par sa longue expérience sur les terrains et ses capacités managériales avérées, a été le véritable artisan de ce titre. D’ailleurs, nous comptons prolonger son contrat incessamment», a affirmé celui qui était déjà là, en tant que joueur, lors du premier sacre de l’Aigle noir en 1997. Et de conclure : «Il nous reste le match face au Paradou AC, et nous allons faire en sorte que ce soit une véritable fête. Nous allons d’abord savourer ce succès, avant de nous replonger dans le travail, car il s’agit maintenant de rester sur cette lancée et de jouer le titre chaque année.» Read more