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Ramez Galal, pour ceux qui le découvrent, a déjà piégé Sylvester Stallone, Paris Hilton, Antonio Banderas, Samira Saïd, Khaled, Shah Rukh Khan, la star de Bollywood, ou encore Steven Seagal. Après Ramez Wakil Al Jaw, Ramez Ramez Kirch El Bahr, Ramez YaIl souffle le «show» et le froid
Ramez Galal, pour ceux qui le découvrent, a déjà piégé Sylvester Stallone, Paris Hilton, Antonio Banderas, Samira Saïd, Khaled, Shah Rukh Khan, la star de Bollywood, ou encore Steven Seagal. Après Ramez Wakil Al Jaw, Ramez Ramez Kirch El Bahr, Ramez Yalaâb Binar et Ramez Taht El Ard, après avoir joué avec le feu, surfé près d’un requin, plané dans les airs et avoir été tapi dans les entrailles d’un iguane géant, Ramez Galal, 45 ans, l’enfant terrible de la Télévision égyptienne récidive en soufflant le chaud et le froid. Avec Ramez Taht Sefr (Ramez en dessous de zéro) dont tout le monde parle, notamment en Algérie. Où il est très suivi. Collant à l’actualité planétaire et de son pays, l’Egypte, cet été-Mondial 2018 de football en Russie oblige-, Ramez Galal, grimé en Hector Cuper, sélectionneur de l’équipe d’Egypte participant à la Coupe du monde, la tête chenue et hilarant, piège ses victimes sur un manteau de neige. «GROUND ZERO» Et c’est la montagne russe. Une vertigineuse luge qui dérape et se renverse. Les piégés ne sont pas au bout de leurs surprises. Un tigre des neiges feule et sort ses griffes et puis un ours brun «mal léché» grogne et gronde. Les dresseurs, maculés de sang, maîtrisent parfaitement les cascades. Et cela fait froid dans le dos. Les ingénues sont Abdenaceur Zidane, Mohamed Abdou Rahamne, les joueurs de football Saâd Samir, Trezeguet, Walid Azaro, international marocain évoluant au Al Ahly SC, les actrices Rym Mostefa, Yasmine Sabri, Ghada Abderezak…, pour ne citer que ceux-là. Dans ce traquenard animalier, certaines victimes de Ramez Galal auront eu la frousse de leur vie, ou bien s’emporteront violemment en découvrant la supercherie. Le joueur de football égyptien Saâd Samir s’acharnera sur Ramez Galal et le rouera de coups… de pied. Et la comédienne Hana Zahed, à la vue du tigre, s’évanouira réellement. Et justement, une polémique a enflé dans les médias égyptiens. Les détracteurs de Ramez Galal et de sa caméra invisible lui reprochent de… pousser le bouchon un peu loin et d’«abuser» de la naïveté et la confiance de ses victimes. Et de les malmener. L’Autorité de régulation audiovisuelle et le Syndicat des médias, instances compétentes en Egypte, ont, dans un communiqué, déclaré n’avoir ni enregistré ni reçu aucun dépassement ou autre dérapage dans le programme Ramez Taht Sef par Ramez Galal et que cela est suscité plutôt par une «campagne publicitaire déloyale» de ses concurrents. Il faut rappeler que lors de ce mois sacré du Ramadhan, les sitcoms, les séries et les caméras cachées sont l’alibi par excellence à 90% de la manne publicitaire pour les chaînes télévisées. Une mine d’or qui crève les yeux et le petit écran. COUP DE THéâTRE Ramez Galal, acteur, diplômé de l’Académie des arts (Egypte), est le fils du directeur du théâtre Galal Tawfik. Il a étudié à l’école primaire de Kasr Al Tef et El Orman, à El Guiza. Il fréquentera l’Institut des arts dramatiques, section de théâtre et de direction. D’ailleurs, Ramez Galal montera sur les tréteaux avec la pièce théâtrale intitulée Djouz Oua Louz. Il incarnera des petits rôles dans divers feuilletons égyptiens. Et c’est avec la série Hayat Djawhari qu’il sera vraiment découvert par le public. Et depuis, Ramez Galal ne cesse de faire monter… la température, malgré que le mercure décline en-dessous de zéro. Read more