« J’ai obéi à une loi, de ces lois que personne n’a écrites, qui existent on ne sait depuis quand et qui sont éternelles. Ces lois dictent aux êtres humains de traiter leurs semblables avec humanité et de ne pas (...)
Un public nombreux a répondu à l'appel du Rassemblement de la Diaspora Burundaise de France (RDBF). Cette audience diversifiée comprenait aussi bien des jeunes que des compatriotes plus âgés. Un enseignement majeur à retenir de cette conférence à Paris est l'exigence des Burundais de comprendre ce qui s’est passé le 21 octobre 1993.
Un public nombreux a répondu à l'appel du Rassemblement de la Diaspora Burundaise de France (RDBF). Cette audience diversifiée comprenait aussi bien des jeunes que des compatriotes plus âgés. Un enseignement majeur à retenir de cette conférence à Paris est l'exigence des Burundais de comprendre ce qui s’est passé le 21 octobre 1993.
Dans la commune Gihanga, la localité de Buringa 2 est caractérisée par une sècheresse sans précédent. Aucun arbre, même pas pour une ombre, n’est visible. Le sol est fertile mais, deux jours de soleil suffisent pour détruire les graines fraichement plantées.
Les demandeurs de permis biométriques de conduire s’interrogent de plus en plus : leur requête n’est pas honorée. « Attendez ! », c’est la seule réponse donnée. Le commandant de la PSR tranquillise et promet une solution dans un bref délai.
Bien que le Burundi soit responsable de seulement 0,01 % des émissions mondiales, il figure parmi les vingt pays les plus vulnérables aux aléas climatiques. À la veille de la Conférence des Parties sur le changement climatique (COP29) à Bakou, en Azerbaïdjan, une mobilisation sans précédent de jeunes burundais pour le climat vise à alerter le monde sur l'urgence d'agir.
Pauvreté, famine, non scolarisation des enfants, inondations, vols récurrents, des bâches usées, tels sont les défis auxquels font face les déplacés victimes des inondations regroupés dans le village III sur la colline Mutambara, en commune et province de Rumonge.
Les relations entre le Burundi et le Rwanda, tendues depuis plusieurs années, semblent connaître un léger dégel. Les deux pays voisins seraient en passe de trouver un terrain d'entente sur la question épineuse de l'extradition des individus impliqués dans la tentative de coup d'État de 2015 au Burundi.
« Du retard, des promesses non tenues, des commissions sans rapport, … », dénoncent les acquéreurs des parcelles de Kizingwe-Bihara. Après plus d’une dizaine d’années d’attente, ils sont à bout de souffle et menacent de s’octroyer ces parcelles. Ils n’ont plus confiance aux responsables de leur association. De son côté, sans donner la date précise d’attribution, le gouvernement tranquillise toujours.
Les habitants de la colline Mutambara, commune et province de Rumonge fustigent des accusations mutuelles. Dans cette période préélectorale, ils appellent tous les politiques à la retenue.
Des cas de vol prennent une ampleur exponentielle dans tous les marchés modernes des communes de la province de Cibitoke à la suite du manque de courant électrique. Les usagers exigent leur électrification dans l’immédiat. L’administration étudie la question et promet une réponse.
Les Nations-unies viennent de renouveler le mandat de son rapporteur spécial sur les droits humains au Burundi. Il a accepté d’accorder une interview au Journal Iwacu. Selon lui, le renouvellement du mandat est un processus avec des objectifs assez précis. C’est une décision des Etats qui composent le Conseil des droits de l’Homme. Le mandat est encore nécessaire car la situation des droits de l’Homme au Burundi ne s’est pas améliorée. Telle est sa lecture.
Depuis sa création en 1998, la commune Nyarusange, située dans la province de Gitega, n'a jamais été desservie en électricité. Pour ses habitants, ce manque de courant électrique a limité les possibilités de développement économique et des services de base ainsi que l’amélioration du vécu quotidien de nombreuses familles.
En vue de la constitution d’un fichier électoral, l’enrôlement des électeurs a eu lieu au Burundi du 22 au 31 octobre 2024. Par moment, des gens ont été empêchés d’accéder à certains services ou d’obtenir des documents administratifs. Exhiber au préalable un récépissé attestant leur enregistrement au rôle d’électeurs était une condition sine qua non. Le ministre de l’Intérieur reconnaît les faits tout en précisant qu’il s’agit des mesures « incitatives » face à la faible affluence à l’inscription. Pourtant, les chiffres de la Ceni sont « satisfaisants ». Cette situation soulève des questions au sein de l’opinion. Reportages et témoignages.
3 mois après des communiqués du BBN, le Bureau burundais de normalisation et contrôle de la qualité interdisant la commercialisation de certaines boissons de qualité douteuse par conséquent nocives à la santé, le ministère de l’Intérieur, du Développement communautaire et de la Sécurité publique a sorti ce 29 octobre une note de suspension des certificats de certains produits alcoolisés. Les listes diffèrent.
Samedi 2 novembre, l’auteur du livre « Ma vérité sur l’assassinat de Ndadaye » rencontrera pour la première fois un public qui l’attend avec impatience. Une attente légitime tellement le sujet suscite des débats passionnés. Pour les Editions Iwacu, ces rencontres que (...)
Exemption du visa de court séjour pour les ressortissants des pays membres de la COMESA par le président de la République du Burundi, Evariste Ndayishimiye, lors du 23ème sommet du COMESA, ce 31 octobre 2024. Cette mesure vise à renforcer l’intégration et à favoriser la libre circulation des biens et des personnes.
Dans le cadre de la semaine de la diplomatie verte (EU Green diplomacy Week), l'Union européenne au Burundi a organisé au Jardin public de Bujumbura un événement autour de la sensibilisation environnementale le samedi 26 octobre 2024. C’est une activité organisée en partenariat avec les jeunes du Réseau pour la Promotion de l’Éducation Environnementale au Burundi (RPEEBU) et l’Action Ceinture Verte pour l’Environnement (ACVE).
Dans certains quartiers de la capitale économique Bujumbura, des enfants sillonnent les rues avec des chiens de chasse improvisés. D’autres ont même confectionné des pièges à chats. Plus d’un se posent alors la question sur le pourquoi de cette chasse. Les chats sont-ils devenus comestibles ?
Le campus Mutanga de l’Université du Burundi a accueilli les 22 et 24 octobre le lancement du tout premier concours inter-universitaire consacré aux Objectifs de Développement Durable (ODD). Initié par le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD), cet événement a rassemblé des étudiants de dix universités burundaises pour partager leurs idées et solutions en faveur de l’accélération la réalisation des ODD.
Le 23ème sommet des chefs d’État et de gouvernement du COMESA organisé à Bujumbura est une occasion pour le Burundi, pays hôte de ce grand rendez-vous, de renforcer son rayonnement international et élargir ses perspectives commerciales.
Une décision de suspension de la mesure portant sur la restriction des importations entre le Burundi et la République démocratique du Congo a été prise par le ministre du Commerce extérieur de la RDC, Julien Paluku Kahongya, lors du lancement officiel de RECOS du COMESA, tenu ce mercredi 30 octobre 2024 à la frontière de Gatumba.
Plus d’un mois vient de s’écouler après que le petit marché de Mutanga-nord, en mairie de Bujumbura ait été réduit en cendres. Au lendemain du drame, le maire de la ville, Jimmy Hatungimana a interdit la reprise des activités avant l’issue des enquêtes pour déterminer l'origine de l’incendie. Mais entretemps, les anciens exploitants désemparés réclament à cor et à cri sa reconstruction.
Le parti CDP (Conseil des Patriotes), représenté par son président Anicet Niyonzima, a vivement critiqué la gouvernance actuelle au Burundi, il accuse les autorités de restreindre les libertés et principes démocratiques en faveur d’un système proche du monopartisme. Il a tenu une conférence de presse ce mardi 29 octobre.
Le 29 octobre de chaque année, le Burundi se joint au monde entier pour célébrer la Journée dédiée à la lutte contre l’accident vasculaire cérébral (AVC). Pour l’OMS, l’AVC est une maladie dangereuse qui peut conduire à la mort si le dysfonctionnement cérébral dépasse 24 h sans l’intervention du médecin.
Vulnérabilité de la ville de Bujumbura ; menace du lac Tanganyika ; début violent de la saison pluvieuse ; … Sur ces questions et bien d’autres, Docteur Athanase Nkunzimana, enseignant chercheur à l’Université du Burundi et expert en prévention des risques et gestion des catastrophes hydrométéorologiques s’exprime. Il propose aussi des stratégies à adopter face aux phénomènes météorologiques extrêmes.
Le nouveau prix du sucre est fixé à 6 000 FBu le kilo au dernier consommateur d’après un communiqué du ministère ayant le commerce dans ses attributions qui date du 17 octobre 2024. Cependant, le sucre se vend toujours à 8 000 FBu sur le marché, un prix qui avait été fixé par la Sosumo quelques mois auparavant. La population de la mairie de Bujumbura se plaint toujours du prix car il reste au-dessus de son pouvoir d’achat.
Bujumbura a accueilli ce 28 octobre 2024 le 17ème Forum du COMESA, le Marché Commun de l’Afrique Orientale et Australe), réunissant les dirigeants et les experts autour de l’intégration régionale. Les discussions ont porté sur l'agriculture résiliente au climat, la transformation minière et le développement du tourisme, avec un appel à renforcer les chaînes de valeur pour garantir une croissance durable tout en protégeant l'environnement.
Des décisions tombent un peu partout au pays. Communes Mpanda, Kiremba, Mugina, Buyengero, Mairie de Bujumbura…, les administrateurs communaux, les chefs de zones, les directeurs provinciaux ou communaux de l’enseignement, les chefs de collines, … donnent des directives. Le mot (...)
Le 31 octobre 2024, Bujumbura accueille le 23e Sommet du COMESA, un événement majeur pour le Burundi. Selon l’économiste André Nikwigize, c’est une chance précieuse pour le pays, qui voit rarement des conférences de cette envergure en raison de défis politiques et logistiques. Pour lui, l’accent doit être mis sur la restauration de la paix et la facilitation des échanges commerciaux, car un commerce régional efficace nécessite un climat de paix durable, à la fois national et régional.
Le 31 octobre 2024, Bujumbura accueille le 23e Sommet du COMESA, un événement majeur pour le Burundi. Selon l’économiste André Nikwigize, c’est une chance précieuse pour le pays, qui voit rarement des conférences de cette envergure en raison de défis politiques et logistiques. Pour lui, l’accent doit être mis sur la restauration de la paix et la facilitation des échanges commerciaux, car un commerce régional efficace nécessite un climat de paix durable, à la fois national et régional.
Au moment où les citoyens appelés à se faire inscrire au rôle semblent ne pas y répondre au rythme voulu par l’administration et la Ceni, différentes autorités se sont mobilisées pour exiger à toute la population en âge de s’acquitter de ce devoir.
Des catastrophes naturelles du début de cette saison pluvieuse ont causé plusieurs dégâts matériels dans certaines communes de la province de Cibitoke. Les populations victimes sont dans le désarroi total. L’administration lance un appel vibrant à tout bienfaiteur pour leur apporter de l’assistance.
Les agriculteurs de la province de Rumonge peinent à avoir des boutures de manioc à planter. Le directeur du bureau provincial de l’Environnement, de l’Agriculture et de l’Elevage en province de Rumonge demande aux agriculteurs de se rabattre aux anciennes variétés de manioc en attendant que les recherches à l’Institut des sciences agronomiques du Burundi, Isabu, aboutissent.
Commencé comme des cas isolés, le vol des compteurs d’eau dans la ville de Gitega a pris un élan très inquiétant dans les ménages. Au cours des deux dernières semaines seulement, une centaine de ces instruments de comptage d’eau a été volée. La Regideso reste presque muette. Ce qui augmente encore plus les soupçons de collusion.