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Plusieurs bilans ont été établis au bout d’une année de règne et de gestion que le président de la FAF a accomplie. Et comme juste après son élection, le président de la fédération s’était lui-même engagé à piloter le chantier de l’arbitrQuel bilan d’une année de «gestion» de l’arbitrage sous Zetchi ?
Plusieurs bilans ont été établis au bout d’une année de règne et de gestion que le président de la FAF a accomplie. Et comme juste après son élection, le président de la fédération s’était lui-même engagé à piloter le chantier de l’arbitrage avec une action responsable car – de par son statut de président d’un club avec plus de 20 années d’expérience – il connaissait les rouages d’une manière palpable et devenait de facto devant la famille du football le seul comptable. De prime abord, il faut resituer le décor au préalable en revenant à la case départ et reconnaître que l’arbitrage souffrait de plusieurs pathologies déplorables et avait hérité d’un malade alité sur un brancard en rapport à plusieurs impairs moraux commis et autres écarts. Ensuite pour gérer le football avec l’arbitrage avec compétence, engagement et foi, il ne suffisait pas d’avoir sur sa liste certains qui se disputaient qui allait avoir le statut de subalterne ou de roi, ni avoir de la taille et du poids et comme il fallait se conformer aux textes et lois, celui qui fut candidat à la présidence de la FAF n’avait pas pour constituer sa liste un grand choix ! Ensuite, chemin faisant, affairé plus à faire face aux problèmes rencontrés à l’intérieur de la maison pour remettre de l’ordre et bien finir la précédente saison créés par moments par certains de ses pairs sans aucune raison. Heureusement que sur le plan de l’acte arbitral, le dernier tronçon (8 matchs pour chacune des deux ligues) de la compétition, en matière d’influence sur les résultats, n’a pas connu de scandales. Il fallait profiter de cette dynamique et ce climat propices pour préparer sous de bons auspices le nouvel exercice. Encore une fois, et c’était attendu que la composition de la CFA allait connaître un climat très tendu pour avoir été le «théâtre» en plein air où les malentendus furent de loin entendus. C’était beaucoup plus des conflits de leadership prétendus et là que de temps précieux fut perdu ! A posteriori, cette scission a rajouté sur le dos de la corporation une autre couche de suspicion. A noter que la nouvelle saison a commencé avec une habileté arbitrale considérée comme une réussite, car la désignation des arbitres a été reconduite d’une manière tacite. Seulement voilà, après quelques journées, l’enjeu s’enflamme et l’entêtement d’utiliser les mêmes arbitres depuis l’entame allait être pour tout le monde un vrai dilemme. Du coup, les clubs avec des plaintes motivées suivies d’accusations fusaient, les arbitres sur-utilisés étaient usés et multipliaient les «risques» d’être brisés. En revanche, d’autres arbitres titrés allaient sans cesse lancer des cris de détresse, car inexplicablement inutilisés. Faute de suivre un itinéraire suffisamment balisé avec une gestion bipolarisée, les feux braqués sur les arbitres sont devenus fortement attisés avec des observations aiguisées. Depuis leur «protestation» montrant qu’ils étaient scandalisés d’être constamment stigmatisés, il semble que les magistrats des terrains sont décidés d’être au-dessus des visées et sont revenus immunisés, car suffisamment sensibilisés ! Read more