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USMA : Départ aujourd’hui pour Lagos

L’USM Alger s’envolera, aujourd’hui, pour le Nigeria, afin d'y rencontrer, samedi prochain, à partir de 16h (heure locale et algérienne), le club de Plateau United pour le compte des 16es de finale bis «aller» de la Coupe de la Confédération afric
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USMA : Départ aujourd’hui pour Lagos

L’USM Alger s’envolera, aujourd’hui, pour le Nigeria, afin d'y rencontrer, samedi prochain, à partir de 16h (heure locale et algérienne), le club de Plateau United pour le compte des 16es de finale bis «aller» de la Coupe de la Confédération africaine de football (CAF). Les membres de la délégation usmiste devront se rencontrer à l’aéroport d’Alger vers midi. Le vol vers la ville marocaine Casablanca, par laquelle ils devront transiter, est programmé à 15h. L’arrivée à Lagos, au Nigeria, devrait avoir lieu demain jeudi aux alentours de 3h du matin. La dernière séance d’entraînement de préparation en Algérie pour cette rencontre a eu lieu hier dans la matinée. Sur place, le groupe effectuera deux séances, la première  demain et la deuxième vendredi, la veille de la rencontre. L’entraîneur, Miloud Hamdi, a disposé pour préparer ce rendez-vous de l’ensemble de son effectif, abstraction faite du Marocain Reda Hajhoudj qui, même s’il est rétabli complètement de sa blessure, et par conséquent a repris les entraînements avec ses coéquipiers, ne fera pas le déplacement au Nigeria. Il faut noter que cette rencontre se déroulera au stade Agege de Lagos, qui est l’enceinte où reçoit habituellement un autre club, en l’occurrence Mountain of Fire and Miracles FC. Sauf que ce stade a apparemment une capacité de 4000 places. Le stade de Plateau United, le Rwang Pam Stadium, d’une capacité de 15 000 places mais se trouvant à Jos, ville distante de près de 1000 km de Lagos, a été déclaré par la CAF non conforme, fort heureusement pour les Usmistes. En dernier lieu, il est utile de signaler que cette rencontre sera arbitrée par un trio sud-africain dirigé par Victor Miguel de Freitas Gomes, qui sera assisté de Johannes Sello Moshidi et Athenkosi Ndongeni. Le match retour est prévu le 17 avril prochain au stade de Bologhine.

Les Canaris ont tenu leur promesse

Depuis le début du championnat, le stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou n’a jamais connu une affluence identique à celle vécue hier, lors du match retard (24e journée) qui a opposé la JSK au MCA. La rencontre a débuté sur les chapeaux de roues, not
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Les Canaris ont tenu leur promesse

Depuis le début du championnat, le stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou n’a jamais connu une affluence identique à celle vécue hier, lors du match retard (24e journée) qui a opposé la JSK au MCA. La rencontre a débuté sur les chapeaux de roues, notamment chez les Canaris qui ont essayé de surprendre leurs vis-à-vis dès les premières minutes des débats, et ce, par des contre-attaques qui se sont soldées par un but à la 7’. Djabout, d’une tête, a ainsi ouvert la marque sur un beau centre de Benaldjia. Dès lors, les visiteurs ont tenté de réagir par quelques tentatives d’incursion mais en vain. Il a fallu attendre la 18’ pour voir les poulains de l’entraîneur Casoni «s’offrir» un penalty transformé en but par Walid Derardja. Cette réalisation n’a pas découragé les hommes de Youcef Bouzidi qui ont accentué la pression sur la défense adverse qui, après quelques ratages successifs, a fini par céder. Ziri Hemar a ainsi réussi à surprendre le keeper adverse en inscrivant  le 2e but de son équipe, à la 32’. Les gars du MCA ont essayé de répliquer, notamment par Mebarakou  à la 40’ mais sans résultat. Au retour des vestiaires, les visiteurs ont  été mis à rude épreuve, plusieurs fois, par les locaux qui sont allés harceler les profondeurs de la défense adverse jusqu’à l’expulsion du gardien du MCA, Chaouchi, à la 52’ à la suite de son accrochage avec un «stadier» qui l’aurait «provoqué». Cela a grandement pesé sur le rendement des  Mouloudéens. Redouani a failli aggraver la marque, à la 70’, lors qu’il s’est retrouvé face à face avec le keeper adverse, Chaâl, qui a difficilement repoussé la balle. Mais, ce n’était que partie remise puisque, à la 76’, Benaldjia a inscrit un troisième but scellant ainsi le score de cette rencontre. Cette victoire a permis à la JSK de grimper à la 12e place avec 26 points. Le MCA reste 3e avec 40 points.

La FIFA fait de l’obstruction

Le Maroc a-t-il une chance d’organiser la Coupe du monde 2026 ? La réponse sera fournie en juin prochain, quelques heures avant le coup d’envoi de la Coupe du monde Russie 2018. A priori, la 3e tentative du Maroc pour abriter le grand-rendez-vous plan
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La FIFA fait de l’obstruction

Le Maroc a-t-il une chance d’organiser la Coupe du monde 2026 ? La réponse sera fournie en juin prochain, quelques heures avant le coup d’envoi de la Coupe du monde Russie 2018. A priori, la 3e tentative du Maroc pour abriter le grand-rendez-vous planétaire du football va connaître le même sort que lui ont réservé Joao Havelange et Joseph Sepp Blatter, ex-présidents de la FIFA. Leur successeur Gianni Infantino semble sur la même ligne. Il a procédé au changement de quelques critères de sélection des dossiers de candidature à deux jours du dernier délai de dépôt des dossiers. Le Maroc, par le biais du président de sa fédération de football, Fouzi Lekjaa, a vivement réagi à cette décision de modification du système de notation (scoring system) qui à l’évidence a pour objectif d’écarter la candidature du Maroc au profit de celle des Etats-Unis-Canada-Mexique. La FIFA impose que chaque ville hôte doit compter au moins 250 000 habitants. Les villes marocaines choisies pour abriter les matchs de Coupe du monde répondent toutes à ce critère. Mais la Fédération marocaine s’insurge contre l’introduction de ce point qui ne figurait pas dans le cahier des charges initial. Le second point introduit est celui qui fait obligation à chaque ville hôte de posséder une capacité aéroportuaire minimale de 60 millions de passagers/an. Le troisième point est que la distance maximale entre l’aéroport et la ville ne doit pas dépasser les 90 minutes. Une commission d’évaluation de la FIFA va se rendre au Maroc dans les tout prochains jours pour procéder à une évaluation du dossier Maroc 2026. Elle dispose du pouvoir d’écarter toute candidature qu’elle juge non conforme au cahier des charges. Le Maroc a toutes les raisons de penser que par cette manœuvre, la FIFA cherche à l’écarter de la course à l’organisation de la Coupe du monde 2026.  En fait, la FIFA a déjà choisi qui organisera la Coupe du monde 2026… et depuis longtemps. La candidature conjointe Etats-Unis-Canada-Mexique bénéficie des faveurs de la FIFA. Cette dernière a accordé les droits de retransmission de la Coupe du monde 2026 à un tarif qui défie toute logique. Tout simplement pour gagner la sympathie des Américains très fâchés contre la FIFA après le vote pour la Coupe du monde 2022. La FIFA étant une institution qui brasse des milliards de dollars et qui fait de la politique, contrairement à ce que stipulent ses statuts, elle ne perd jamais le nord lorsqu’il s’agit de business. Les grands networks américains ont déboursé plus de 1,5 milliard de dollars pour l’acquisition des droits de retransmission des Coupes du monde 2018-2022. Les Etats-Unis sont le premier client de la FIFA en matière d’achat des droits de retransmission et de publicité qui représente plus de 90°/° des ressources qui font tourner la «grande maison de verre». Sauf miracle, fort improbable, la Coupe du monde 2026 aura lieu aux Etats-Unis, au Canada et au Mexique. Le président de la FIFA, Gianni Infantino, laisse peu d’espoir au Maroc et au continent africain d’abriter une seconde fois un tel événement. Il ne veut pas entendre parler de rotation et compte, selon ses proches, faire revenir la Coupe du monde 2030 sur le vieux continent avant de quitter la FIFA.  

Le MCO très frileux en déplacement

Le MCO vient encore une fois de boire le calice jusqu’à la lie face à l’ESS après avoir pris la tasse devant le MCA à la faveur de deux sorties qui lui vaudront un zéro pointé avec huit buts, et non des moindres, pris dans ses filets face à ces der
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Le MCO très frileux en déplacement

Le MCO vient encore une fois de boire le calice jusqu’à la lie face à l’ESS après avoir pris la tasse devant le MCA à la faveur de deux sorties qui lui vaudront un zéro pointé avec huit buts, et non des moindres, pris dans ses filets face à ces derniers. Signe des temps, les Hamraoua, qui dictaient leur loi en dehors de leurs bases lors de la manche aller, ont renversé la tendance durant le retour en se faisant alpaguer à tout bout de champ, un vrai dilemme pour Bououkaz qui ne sait plus où donner de la tête pour cette équipe qui est en train de dilapider beaucoup de points à un moment crucial de la compétition, sachant que le MCO a pour objectif la 2e ou 3e place, synonyme de participation à l’un des deux challenges continentaux mis en jeu. Le comble de la déroute sétifienne verra pourtant les gars du président Belhadj s’offrir un stage du côté de Gammarth, où toutes les conditions étaient réunies. Ajoutons à cela que l’attaque hamraouie commence sérieusement à inquiéter l’entourage du club, nonobstant bien sûr les cinq buts inscrits à domicile face à une équipe biskrie pas du tout fortiche. Ce jour-là, Tiaiba et Chibane se sont permis le luxe d’inscrire un doublé chacun avant de devenir subitement muets face à l’ESS et même durant la joute contre le MCA. Le technicien oranais devra maintenant prendre les devants et trouver la faille dans ces déconvenues qui sont en train de prendre des proportions alarmantes, quand on sait que les prochains matchs vont se jouer à couteaux tirés, dont la joute du CRB, une équipe qui commence à sortir des sentiers battus et qui voyage bien du côté de Zabana. Ajoutons à cela que le MCA a de fortes chances de doubler ou de rejoindre les Hamraoua à la faveur de son match en retard qui se jouera aujourd’hui face à la JSK. Idem pour le NAHD qui lui aussi commence sérieusement à inquiéter le MCO, et ce, par le biais d’une remontée spectaculaire qui peut lui valoir un grand bonus pour le podium. Le président du MCO, Baba, semble très en colère contre ses poulains en mettant à l’index ces derniers à un moment charnière du championnat. Ce dernier a même menacé de geler les salaires et autres primes promis à ses joueurs et ne veut plus entendre parler d’échec pour la suite de la compétition. Du côté des fans du club, la smala hamraouie s’en est pris carrément aux joueurs durant presque toute la partie face à l’ESS, et ce, après le troisième but sétifien. Précisons enfin que le prochain match du MCO se disputera le 13 avril, un énième intermède qui risque encore une fois de jouer un vilain tour aux Hamraoua très frileux envers les trêves qui leur ont occasionné deux déroutes subies successivement face au MCA et à l’ESS. 

USM Alger : Badou Zaki, la piste de Serrar

C’est quasiment acquis. L’actuel entraîneur de l’USM Alger, Miloud Hamdi, va quitter la barre technique du club à la fin de la saison. Le président du directoire de l’équipe algéroise, Abdelhakim Serrar, est arrivé, selon toute vraisemblance
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USM Alger : Badou Zaki, la piste de Serrar

C’est quasiment acquis. L’actuel entraîneur de l’USM Alger, Miloud Hamdi, va quitter la barre technique du club à la fin de la saison. Le président du directoire de l’équipe algéroise, Abdelhakim Serrar, est arrivé, selon toute vraisemblance, à un accord définitif avec le Franco-Algérien (à l’amiable, nous dit-on) quant aux modalités de son départ. Pour le remplacer, le nouveau responsable des Rouge et Noir mise sur le Marocain Badou Zaki. Selon des informations, Serrar s’est rendu hier au Maroc pour régler les derniers détails avec l’ancien coach du Chabab de Belouizdad. «A 90%, Badou Zaki sera le futur entraîneur de l’USMA», a affirmé Serrar. Libre de tout engagement depuis son départ de l’Ittihad Riadhi de Tanger, le technicien marocain a même laissé entendre ces derniers jours, dans les médias marocains, que sa future destination pourrait être l’Algérie. En tout cas, Serrar veut régler tous les détails relatifs à la barre technique avant la fin de l’actuelle saison afin que le nouveau staff puisse entamer son travail au début de l’été, et se charger ainsi de la préparation du groupe pour la prochaine saison. L’ancien président sétifien a déjà entamé l’opération de recrutement de joueurs. Départ demain vers le Nigeria Par ailleurs, l’USMA se déplacera, demain, vers le Nigeria pour affronter le club de Plateau United pour le compte des 16es de finale aller de la Coupe de la CAF. Le groupe fera le voyage via un vol régulier. Il transitera par Casablanca (Maroc) avant d’arriver à la ville nigériane de Lagos le lendemain jeudi vers 3h. Le match est prévu samedi prochain, à partir de 16h (heure locale et algérienne), à Agege Stadium, de Lagos, une enceinte sportive d’à peine quelques milliers de place (4000 environ), indique-t-on. Celui-ci n’est pas le stade habituel de Plateau United qui reçoit ses adversaires en championnat au Rwang Pam Stadium, mais ce dernier a été déclaré «non conforme» par la Confédération africaine de football (CAF). En tout cas, les Rouge et Noir ont repris les entraînements, hier, après une journée de repos accordée aux joueurs. Pour ce déplacement au Nigeria, le staff disposera de tout son effectif, exception faite du Marocain Reda Hajhoudj, qui restera à Alger. Même s’il est complètement rétabli de sa blessure, le staff médical veut le préserver. Il faut noter, en dernier lieu, que cette rencontre des 16es de finale de la Coupe de la Confédération sera arbitrée par un trio sud-africain. Il s’agit de Victor Miguel de Freitas Gomes, qui sera assisté de Johannes Sello Moshidi et Athenkosi Ndongeni. Le match retour est prévu le 17 avril au stade de Bologhine.

Victoire inéluctable pour les Canaris

Les Canaris affronteront, aujourd’hui, au stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou (17h), leurs homologues du MC Alger dans une rencontre qui s’annonce difficile étant donné qu’un faux pas compliquerait davantage la situation de la JSK qui demeure toujour
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Victoire inéluctable pour les Canaris

Les Canaris affronteront, aujourd’hui, au stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou (17h), leurs homologues du MC Alger dans une rencontre qui s’annonce difficile étant donné qu’un faux pas compliquerait davantage la situation de la JSK qui demeure toujours relégable. Ainsi, les Jaune et Vert ont bien préparé ce match décisif. Ils feront certainement le tout pour le tout afin de réaliser un bon résultat. D’ailleurs, lors des séances d’entraînement aussi bien samedi que dimanche, le coach des Canaris, Youcef Bouzidi, a activement, dit-il, préparé cette empoignade. «L’essentiel est d’empocher les trois points de la victoire, surtout que nous allons jouer devant notre public. La JSK n’est pas relégable comme il a été écrit dans la presse. Nous avons un match de retard à jouer face au MCA et une victoire changera notre position au classement général», a-t-il souligné tout en précisant que l’objectif essentiel de cette rencontre est de s’imposer devant l’adversaire. Selon lui, ses poulains ont préparé ce match dans de bonnes conditions. «L’état psychologique de mes joueurs est au beau fixe», a-t-il estimé tout en refusant de parler, d’ores et déjà, du match des demi-finales en coupe d’Algérie puisque, a-t-il dit, chaque rencontre a sa propre préparation. «Nous parlerons du match de la coupe d’Algérie après avoir joué les prochaines rencontres du championnat face au MCA et à l’ESS», a souligné le coach des Jaune et Vert, qui exhorte les supporters de la JSK à venir massivement, aujourd’hui, prêter main-forte à leur club. «J’espère que le public sera au rendez-vous et que le match se jouera dans un esprit sportif total et un fair-play admirable», a-t-il ajouté reconnaissant qu’en cette fin de saison, tous les matchs sont difficiles, surtout quand il s’agit de jouer pour assurer le maintien. Le clasico JSK-MCA est très attendu, notamment par les inconditionnels des Canaris. «On est toujours derrière la JSK, surtout en ces moments difficiles qu’elle traverse. On doit la soutenir pour sortir de la zone rouge et se prémunir de la relégation. Les enfants et les supporters de la JSK doivent se solidariser avec le club qui ne mérite pas d’être relégué en division inférieure», nous a confié un supporter de la JSK, hier, à Tizi Ouzou où le match des Canaris face au MCA était au centre des discussions.

Une quarantaine de blessés, 30 interpellations et des questions

Le match ayant opposé, samedi dernier, le club local, la JSMS, à l’équipe de l’ASO Chlef, s’est terminé par des heurts, qui se sont vite transformés en émeutes. Jusqu’à hier, le bilan de ces événements n’avait toujours pas été officiel
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Une quarantaine de blessés, 30 interpellations et des questions

Le match ayant opposé, samedi dernier, le club local, la JSMS, à l’équipe de l’ASO Chlef, s’est terminé par des heurts, qui se sont vite transformés en émeutes. Jusqu’à hier, le bilan de ces événements n’avait toujours pas été officiellement arrêté et le nombre de blessés variait d’une source à une autre. Au moment où des sources proches des services de sécurité avancent le nombre de 60 blessés, dont 38 policiers, le bilan rapporté, hier, par la Protection civile fait état de 39 blessés, dont 26 policiers. Devant l’absence de toute communication officielle, on avance, çà et là, que ces émeutes auraient également été ponctuées par l’interpellation d’une trentaine de jeunes émeutiers, des mineurs dans leur majorité. Pour revenir au scénario catastrophe de cette rencontre, dont le score de parité mettait fin aux espoirs d’accession du club local en Ligue 1, et selon des supporters présents au stade, tout a basculé à moins de deux minutes du coup de sifflet final. «On a d’abord eu à constater la chute de deux jeunes supporters des gradins et à leur évacuation vers l’hôpital. A cet instant, et déçus par le score de la rencontre, les supporters de la tribune se sont tous retournés vers la tribune des officiels pour s’en prendre au président du club à coup de slogans injurieux. Cet échange finira par mettre le feu aux poudres et la fin de la rencontre allait alors servir de starter à la violence des jeunes. Par mesure de sécurité, les supporters de l’équipe visiteuse ont été appelés à rejoindre le terrain pour éviter tout affrontement», témoignent plusieurs personnes ayant assisté à cette rencontre. Et d’ajouter :«Des dizaines de jeunes supporters locaux en furie se sont alors rassemblés devant l’entrée du stade et tentaient de rejoindre le centre-ville. Il était près de 19h lorsque l’affrontement entre jeunes émeutiers et forces de l’ordre commença. Au jet de pierres qu’ils essuieront, les policiers ont riposté par des bombes lacrymogènes. La foule en colère parviendra néanmoins à avancer sur plusieurs dizaines de mètres en direction du centre-ville. Les émeutiers saccageront sur leur passage des vitres du siège d’Algérie Télécom, les corbeilles à papiers, ainsi que les abribus qui jalonnent une partie des Allées du 20 Août, avant d’être stoppés dans leur élan, aux environs de 20h, à l’intersection des Frères Saker.»   Des jeunes en colère La circulation, fermée sur l’artère des Allées du 20 Août dès la fin du match, ne sera rouverte qu’après 20h et le dispositif de sécurité restait encore visible jusqu’à une heure tardive de la nuit. Les joueurs des deux clubs et le corps arbitral ont dû se cloîtrer dans les vestiaires, avant d’être escortés, vers 22h, par un cordon sécuritaire. Ces émeutes, et en dépit du nombre de blessés et d’interpellés, ne doivent cependant pas cacher l’interminable descente aux enfers du club chéri de Skikda. Une descente aux enfers soutenue et nourrie par un certain nombre de personnes et d’élus, qui profitent de l’amour que portent les jeunes à la JSMS pour nourrir leurs propres ambitions politiques et mercantiles. La JSMS n’a cessé depuis deux décennies déjà de servir de tremplin à des «begarra» et des vendeurs de sable sans relation aucune avec le football. La colère des jeunes, samedi dernier, n’était qu’un cri de désillusion. On leur a tellement vendu du vent et promis des chimères qu’ils ont fini par craquer et tenté même de mettre la ville à sac. Qu’ont donc apporté ces dirigeants qui se sont relayés depuis plus de 20 ans au club skikdi ? Absolument rien. Des centaines de milliards de centimes d’argent public ont été dépensés au nom de la JSMS et dans cette furie financière, on n’a même pas pensé à la doter au moins d’un siège digne d’un club historique. Ces dirigeants n’ont fait que profiter de l’aura de la JSMS pour renforcer leurs bulletins de vote, faire des affaires, accaparer de luxueux lots de terrain ou convoiter des postes de députés, à défaut de maire. La JSMS, créée par la crème intellectuelle d’une Skikda qui n’existe plus, est tombée depuis trop bas.  C’est désormais un club «bla moualin» (orphelin) qui vogue à la dérive, avec le silence complice de tout le monde. À croire qu’à Skikda, il ne reste plus de Skikdis !

Ces clubs qui empêchent la retransmission des matchs

Les dirigeants de la JSM Skikda ont empêché, avant-hier, l’équipe de la chaîne de télévision privée détentrice des droits télé de la Ligue 2, d’accéder au stade pour retransmettre la rencontre qui allait opposer leur équipe à l’ASO Chlef, p
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Ces clubs qui empêchent la retransmission des matchs

Les dirigeants de la JSM Skikda ont empêché, avant-hier, l’équipe de la chaîne de télévision privée détentrice des droits télé de la Ligue 2, d’accéder au stade pour retransmettre la rencontre qui allait opposer leur équipe à l’ASO Chlef, pour le compte de la 24e journée, et qui s’était terminé finalement sur le score de zéro  partout. Un match marqué, il faut le rappeler, par des incidents plus ou moins graves, qui se sont déroulés après le coup de sifflet final de l’arbitre. Plusieurs autres responsables des clubs des deux ligues professionnelles ont exprimé leur volontés d’«empêcher» la retransmission de leurs matchs en cette fin de saison. Pourtant, la réglementation est claire à ce sujet et les sanctions sont sévères dans le cas de l’empêchement d’une retransmission, que ce soit pour le direct ou le différé (pour l’enregistrement des extraits pour les émissions spécialisées). Les équipes des deux chaînes de télévision qui détiennent les droits du championnat professionnel (EPTV pour la Ligue 1 et Dzair TV pour la Ligue 2) ne doivent en aucune manière être empêchées d’accéder à un terrain. A cet effet, il faut rappeler que l’article 121 des règlements du championnat de football professionnel stipule que «l'empêchement ou le refus de retransmission télévisuelle, enfreignant ainsi les dispositions des contrats de la FAF et de la LFP relatifs aux droits de retransmission télévisuelle, constitue une infraction sanctionnée conformément aux dispositions prévues par le code disciplinaire en vigueur». Et ce dernier évoque dans son article 104 «un match sans attribution des points au club adverse» plus 2 500 000 DA d’amende (250 millions de centimes). Dans le cas où l’équipe de la télévision s’est déplacée au stade pour «la couverture destinée aux émissions spécialisées», la sanction est d’un match perdu sans attribution des points au club adverse et 200 000 DA d’amende (20 millions de centimes). Dans les deux cas, «le club fautif sera privé de la quote-part due au titre des droits de télévision». Dans le cas présent, si la réglementation est appliquée, en plus de la sanction financière, la JSMS perdrait le point qu’elle avait grignoté face à l’ASO. Le club occuperait toujours la 6e place mais avec 38 points et non 39. En somme, pour user de moyens extra-sportifs, dans un contexte où les enjeux sont énormes, certains dirigeants ne voudraient surtout pas de la présence des caméras de télévision.  

Plateau United - USMA avancé à samedi

Le match aller des 16es de finale bis, qui opposera l’USM Alger au club nigérian Plateau United, a été avancé de 24 heures, annonce la direction du club algérois sur son site officiel. Initialement prévu le dimanche 8 avril, le match aura lieu fina
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Plateau United - USMA avancé à samedi

Le match aller des 16es de finale bis, qui opposera l’USM Alger au club nigérian Plateau United, a été avancé de 24 heures, annonce la direction du club algérois sur son site officiel. Initialement prévu le dimanche 8 avril, le match aura lieu finalement samedi 7 avril à 16h (heure algérienne), au stade Agege de Lagos. Le formation de Soustara a communiqué son plan de vol pour rallier la ville nigériane. En effet, l’USMA se déplacera à Lagos ce mercredi, via Casablanca (Maroc) par un vol régulier. Le retour aura lieu le lendemain du match pour préparer la manche retour, prévue mardi 17 avril au stade Omar Hamadi de Bologhine. La Caf a également communiqué les noms des arbitres des deux matches. L'aller sera officié par un trio sud-africain, conduit par le directeur de jeu Victor Miguel de Freitas Gomez, lequel sera assisté de ses deux compatriotes Johannes Sello Moshidi et Athenkosi Ndongeni. En revanche, le match retour sera dirigé par un trio sénégalais composé de Maguette Ndiaye (directeur de jeu) et ses deux assistants Ababacar Sene et Nouha Bangoura. Entre les deux rencontres, l’USMA disputera le 13 avril un match contre l’Olympique de Médéa comptant pour la mise à jour du calendrier du championnat de Ligue 1 (25e journée). L’autre représentant algérien en Coupe de la CAF, le CR Be-louizdad en l’occurrence, jouera le match aller dimanche 8 avril à Abidjan (Côte d’Ivoire) contre l’ASEC Mimosas. Le Chabab qui reste sur une précieuse victoire en championnat contre l’USMA (1-0) se déplacera jeudi prochain, via Casablanca à bord d’un vol régulier. Tout comme l’USMA, le match retour aura lieu le mardi 17 avril au stade du 20 Août 1955. Les deux matches seront entrecoupés par un match retard de la 25e journée contre le MCO, prévu le vendredi 13 avril.  

USMH 2 – PAC 1 : El Harrach en seconde période

L’USM El Harrach a remporté hier une précieuse victoire dans sa lutte pour le maintien en Ligue 1, en battant le Paradou AC sur le score de 2 à 1. Les camarades de Bouguèche étaient menés au score en première période grâce à un but signé Naïd
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USMH 2 – PAC 1 : El Harrach en seconde période

L’USM El Harrach a remporté hier une précieuse victoire dans sa lutte pour le maintien en Ligue 1, en battant le Paradou AC sur le score de 2 à 1. Les camarades de Bouguèche étaient menés au score en première période grâce à un but signé Naïdji à la 40'. Malgré l’absence de quelques joueurs, à l’image de l’attaquant Younès, suspendu, la bande à Aziz Abbès a su renverser la situation en seconde période. L’omniprésent Hadj Bouguèche a d’abord nivelé la marque à l’heure de jeu avant que Daoud ne délivre les nombreux supporters à sept minutes de la fin en ajoutant un deuxième but salvateur pour l’équipe qui quitte provisoirement la zone des relégables à six journées de la fin du championnat et surtout avant son prochain derby face au NAHD, prévu samedi prochain au stade du 20 Août 1955. L’USM El Harrach doit bien négocier ses prochains matchs, notamment face à ses concurrents directs le DRBT, l’USMBA et l’US Biskra, si elle veut se maintenir en Ligue 1.

ESS 4 - MCO 1 : Zeghba décourage les Oranais

Les traditionnelles retrouvailles entre Sétifiens et Oranais ont débuté sur les chapeaux de roues. Les points de la confrontation obligent les 22 acteurs à entrer dans le vif du sujet, suivis par une foule nombreuse. Les aléas d’un long déplacemen
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ESS 4 - MCO 1 : Zeghba décourage les Oranais

Les traditionnelles retrouvailles entre Sétifiens et Oranais ont débuté sur les chapeaux de roues. Les points de la confrontation obligent les 22 acteurs à entrer dans le vif du sujet, suivis par une foule nombreuse. Les aléas d’un long déplacement n’ont pas dissuadé les inconditionnels du MCO, surpris par l’action individuelle de Rebiai (5’) qui a déconcerté et la défense et Nateche ne pouvant que constater les dégâts. Au grand bonheur des présents venus pour assister à un spectacle et des buts. L’ouverture du score a non seulement changé les choses mais obligé les visiteurs à se découvrir, ouvrir le jeu, prendre des risques et laisser des espaces à leurs vis-à-vis qui ont excellé dans les contres. Cette manière de faire a fait mouche puisque l’Entente a corsé l’addition (23’) par Haddouche, qui a transformé le penalty accordé. Cette réalisation a libéré quelque peu les Sétifiens qui se sont distingués par la maîtrise du ballon et une bonne fraîcheur physique qui leur ont permis d’inscrire un très beau 3e but à l’actif par Aït Ouameur, matérialisant de fort belle manière l’excellent centre de Djahnit. Soulignons que les approximations de la défense adverse ont facilité la tâche des hommes de Benchikha croyant avoir plié le match avant l’heure. Bien embusqué à l’intérieur des six yards sétifiens, Tiaiba (40’) a sauvé la mise et relancé ainsi son équipe qui pouvait boucler la première mi-temps avec un bien meilleur résultat, mais l’intervention de Zeghba (45'+1) a découragé Chibane et ses partenaires qui ont buté sur un grand gardien annihilant à lui seul trois buts nets en seconde période, marquée par la réalisation de Banouh (84’) qui venait de remplacer Benayad, malchanceux une fois de plus.

«Il faut soustraire l’équipe nationale aux manipulations»

- M. Madjer, commençons par le dernier chapitre, celui de la rencontre face à l’Iran et les commentaires qui ont suivi cette sortie (défaite 1-2 concédée à Graz). Votre avis sur ce match et tout ce qui a été dit et écrit sur ce rendez-vous. Pou
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«Il faut soustraire l’équipe nationale aux manipulations»

- M. Madjer, commençons par le dernier chapitre, celui de la rencontre face à l’Iran et les commentaires qui ont suivi cette sortie (défaite 1-2 concédée à Graz). Votre avis sur ce match et tout ce qui a été dit et écrit sur ce rendez-vous. Pour être franc, j’ai noté que beaucoup de réactions et commentaires étaient disproportionnés par rapport au contenu et résultat du match. Certes, l’équipe nationale a concédé une courte défaite devant un mondialiste, faut-il le rappeler, mais il n’y a pas le feu comme certains ont voulu l’accréditer aux yeux de l’opinion publique. Dans le même temps, beaucoup de grandes sélections, à l’instar de l’Argentine et du Portugal, champion d’Europe en titre, ont essuyé de lourdes défaites, 1-6 pour l’Argentine devant l’Espagne et 0-3 pour le Portugal face aux Pays-Bas. Sans qu’Argentins et Portugais ne convoquent de tribunaux populaires pour juger et condamner joueurs et sélectionneurs. J’assume la responsabilité de cette défaite contre l’Iran en tant que premier responsable technique de la sélection. Il y a eu une dramatisation disproportionnée après la défaite. Comme si l’Algérie était championne du monde en titre et qu’elle avait concédé une défaite cinglante et humiliante devant une équipe d’inter-quartiers. Dans ce que j’ai parcouru dans des articles sur ce match, je n’ai relevé aucune note positive. Le tableau a été assombri totalement sans aucune retenue. Ce n’est pas mon avis. Comme si l’équipe nationale n’avait pas le droit de perdre un match, même amical. - D’une manière générale, l’opinion sportive n’aime pas lorsque l’équipe nationale perd un match, fût-il amical. D’accord, mais il ne faut pas exagérer aussi. Où est l’humiliation de perdre par un but d’écart contre un mondialiste ? On ne gagne pas toujours en football. Parfois, on peut bien jouer mais ne pas gagner. En football, très souvent, la vérité tient à peu de choses. Dans le contexte actuel marqué par les attaques contre la personne de Madjer, l’homme, et non pas le sélectionneur, même une victoire ne m’aurait pas épargné le déluge de dénigrement que je subis depuis les premières heures de ma nomination comme sélectionneur. Je ne suis pas surpris. Mieux, j’accepte cette situation à condition qu’elle ne touche pas les joueurs et ne déteint pas sur le groupe. Des cercles font le forcing pour créer et alimenter une polémique très dangereuse, dont l’objectif est de créer la division entre les enfants d’un même pays. Mon message est le suivant. Attention, vous jouez avec le feu. Attaquez-moi avec la férocité que vous voulez, mais laissez les joueurs de côté. Ne vous servez pas d’eux dans un combat qui n’est pas le leur. Eux, ils viennent jouer en équipe nationale pour défendre les couleurs de leur pays quelle que soit l’identité du sélectionneur. Dois-je rappeler que Madjer est en poste depuis 7 mois seulement ? Mon collègue Carlos Queiroz est à la tête de l’équipe d’Iran depuis 7 ans. Je ne dis pas cela pour éluder la question, mais pour fixer le contexte de ce rendez- vous. Je saisis cette occasion pour affirmer que je ne me plains pas. Tous ceux qui sont passés avant moi à la tête de la sélection ont tous été confrontés à la même situation. J’ai suffisamment de caractère pour continuer à travailler, avancer pour atteindre les objectifs fixés par la fédération - La tâche ne s’annonce pas facile. Je le savais avant de prendre mes fonctions. L’équipe nationale est chère à tous les Algériens. Il faut juste la soustraire aux manipulations. Tout le reste est normal. C'est-à-dire les critiques, les observations, les avis et le débat contradictoire, j’y souscris complètement. - Il vous a été reproché, à juste titre, de ne pas aller à la rencontre des journalistes, d’avoir boycotté la conférence de presse lors de l’annonce de la liste des joueurs retenus pour le match face à l’Iran. Cet épisode a failli tourner au drame national parce que Madjer n’a pas tenu de conférence de presse. Ceux qui ont tout fait pour donner ce cachet à cette péripétie ont subitement perdu la mémoire. Ils n’ont pas rué dans les brancards lorsque des sélectionneurs avant moi ont boycotté des conférences de presse lors de matchs officiels. Ils ont retrouvé la voix qu’ils avaient perdue quand leurs confrères ont été interdits d’accès à des conférences de presse. Il ne faut pas se méprendre sur mes propos. Ils visent essentiellement ceux dont le credo est «tolérance zéro pour les coachs algériens». Ils se reconnaîtront. Pour les étrangers, tout était permis. Les journalistes et citoyens algériens prenaient connaissance des informations sur l’équipe nationale via des médias et supports étrangers sans provoquer de vagues. Je réaffirme ma totale disponibilité vis-à-vis des journalistes algériens. Aucune des deux parties (presse-sélectionneur) ne peut exister sans l’autre. Je réitère ce que j’ai déclaré lors de ma première conférence de presse, je suis là pour collaborer avec la presse. Je reste toujours sur cette ligne. - C'est-à-dire que le contact avec la presse sera renoué ? C’est une relation de travail normale entre deux parties appelées à collaborer ensemble pour offrir aux Algériens toutes les informations sur l’équipe nationale. Comme tous les sélectionneurs du monde, je me soumettrai à toutes les exigences et conditions liées à l’exercice de la fonction de sélectionneur et cela dans le respect mutuel et de tous les acteurs du football, dont la presse demeure une partie incontournable. Le contraire de la part des médias doit aussi être vrai. La relation ne peut pas être à sens unique. - Beaucoup d’encre a coulé sur vos choix et décisions lors du match contre l’Iran. La non-titularisation de Taider, la sortie de Hanni avant l’heure de jeu et le remplacement de Mahrez dans le dernier quart d’heure. J’ai convoqué Taider sans aucun engagement initial de ma part pour qu’il soit titulaire. C’est un joueur pour lequel j’ai beaucoup de respect et de considération. Il y a quelques semaines encore, il jouait en Italie. Durant le stage à Sidi Moussa, j’ai constaté, avec le staff technique et médical, qu’il n’était pas au niveau physique qu’on lui connaissait. J’ai fait un choix. Il n’a pas joué les deux matchs mais cela ne signifie nullement qu’il est en dehors de mes calculs. Lorsqu’il sera en possession de tous ses moyens, je ne vais pas me priver de ses services. Pour Hanni, ce n’est pas la même chose. A l’approche de la demi-heure de jeu contre l’Iran, j’avais deux options. Maintenir le même dispositif tactique, alors qu’on perdait 0-2, ou opérer un réajustement tactique qui passait obligatoirement par la sortie d’un joueur du milieu. J’ai remplacé Hanni par Benmoussa et cela m’a permis de faire glisser 4 joueurs (Ferhat, Mandi, Medjani, Bensebaini) dans l’optique de revenir au score. La suite, chacun peut se prononcer. Le remplacement de Riyad Mahrez n’est ni une insulte à son immense talent et encore moins à un manque de respect à ce grand joueur. Des parties ont exploité le remplacement de Mahrez pour en faire presqu'une affaire d’Etat. S’en est suivie bien sûr une dramatisation dont seuls les auteurs connaissent les motivations et mobiles. Ronaldo a vécu la même situation lors du Portugal-Pays-Bas sans que cela ne suscite un déchaînement de la part des commentateurs et analystes portugais. Mahrez est une valeur sûre de l’équipe nationale. Je ne suis pas fou pour me passer des services d’un si grand joueur. - Contre l’Iran, l’équipe nationale a bouclé un parcours de 5 matchs sanctionnés par 3 victoires, 1 nul, contre le Nigeria transformé en victoire sur tapis vert, et une défaite. Votre commentaire sur le parcours des Verts ? J’ai pris l’équipe nationale dans des circonstances très difficiles, marquées par une élimination de la Coupe du monde 2018, de multiples changements de sélectionneurs durant la dernière phase des éliminatoires de la Coupe du monde (Rajevac, Leekens, Alcaraz, Madjer). Les joueurs, et c’est tout à fait normal, ont mal vécu cette période. Ce sont des compétiteurs et il s’agissait de la Coupe du monde, une compétition qui fait rêver tous les joueurs du monde. Petits et grands. L’objectif principal était de remonter la pente, de sortir la tête de l’eau. Les attentes sont toujours grandes lorsqu’il s’agit de l’équipe nationale. Après 7 mois à la tête de la sélection, je crois que nous sommes sur la bonne voie, mais que le chemin sera encore long, semé d’embûches, avant d’atteindre notre objectif principal qui est de revenir au premier plan. La qualification à la CAN-2019 est le premier objectif. Atteindre le dernier carré est le second. Remporter le trophée au Cameroun figure en bonne place de nos priorités durant la période à venir. Cela demandera du temps, beaucoup d’efforts et de travail. On ne bâtit pas une grande équipe nationale en quelques mois. Nous avons alterné le bon avec de larges victoires avec une qualité de jeu qui augure d'une bonne suite, mais aussi un rendement qu’on peut améliorer. Tous les joueurs auront leur chance et ce sont les meilleurs qui seront retenus et joueront. Contre le Nigeria (1-1), j’ai aligné une équipe amoindrie par l’absence de la moitié des cadres. La période était difficile après la consommation de l’élimination de la Coupe du monde 2018. La sélection était dans le trou. Je salue au passage le professionnalisme et l’engagement des joueurs. Quelques jours plus tard, le Nigeria a écrasé l’Argentine (4-2). Il y a eu ensuite le match contre la Centrafrique, qu’on a battu avec la manière à l’occasion du retour de l’équipe nationale au stade du 5 Juillet. L’équipe nationale appartient à tous les Algériens qui ont le droit de la voir évoluer partout en Algérie. Jouer au stade du 5 Juillet ne m’a jamais fait peur. Le public, il faut le gagner en jouant bien, en remportant des matchs et ne pas le craindre. Une équipe qui a peur de son public, qui le fuit, n’ira pas loin. - Vos commentaires après les sorties contre le Rwanda, la Centrafrique et la Tanzanie n’ont pas apaisé le climat autour de l’équipe nationale. Je n’ai rien dit de mal. J’ai simplement fait remarquer, après Rwanda-Algérie (1-4) joué avec une équipe composée uniquement de locaux, que lorsqu’on ne voit pas un match (il n’était pas retransmis), il faut s’abstenir de commenter son contenu. Cela n’a pas plu à certains, mais j’ai dit ce que je pensais. La victoire contre la Centrafrique a été obtenue avec la manière. On a rétorqué que c’était une équipe faible. Les mêmes commentaires ont suivi Algérie -Tanzanie (4-1). - C’est ce que vous disiez en tant que consultant lorsque vous commentiez les matchs des Verts. Effectivement, j’ai dit à la fin du match Algérie-Tanzanie (7-0 à Blida) qu’il fallait relativiser le jugement du fait que l’adversaire n’était pas un foudre de guerre. Me suis-je trompé au sujet d’une équipe qui a encaissé 7 buts ? Pour en revenir au match du 5 Juillet, le contexte n’était pas le même. Les Verts sont à la recherche du niveau qui était le leur à l’époque du match de Blida. Mes déclarations de l’époque ont été exhibées pour m’apporter la contradiction. C’est de bonne guerre. - Quel bilan faites-vous des 7 premiers mois passés à la tête des Verts ? Je qualifie le bilan de positif, même si je suis conscient qu’on pouvait faire mieux. Nous sommes dans les temps avec la feuille de route arrêtée par le staff technique en accord avec la fédération. Les contours de la sélection se dessinent de jour en jour. Elle sera prête lors des échéances officielles. Elle a une âme. Je suis critiqué sur mes choix. C’est normal. C’est le lot de tous les sélectionneurs et entraîneurs dans le monde. Je suis optimiste et même confiant en ce qui concerne l’avenir de la sélection. Le courant passe très bien avec toute la composante de la sélection. J’ai beaucoup de respect pour les joueurs. Aucun joueur absent lors des 2 derniers matchs n’est banni de la sélection. Comme aucun de ceux qui ont fait le stage et joué contre la Tanzanie et l’Iran ne jouit du droit d’être titulaire s’il n’est pas en forme et compétitif. Je ne fermerai jamais la porte de la sélection à ceux qui le méritent. J’ai beaucoup de respect et d’estime pour les joueurs. J’ai été joueur et je sais ce que représente la sélection pour eux. Je suis un coach qui ne demandera à personne la permission de convoquer ou faire jouer un joueur. Les plus méritants seront toujours récompensés. Ensuite, j’accorde le droit à chacun d’apprécier ou non mes décisions, de les commenter. Le dernier mot revient toujours au sélectionneur. Il faut respecter ses choix et, bien sûr, les commenter ensuite. Je suis un homme qui accepte la critique. Elle fait partie du quotidien professionnel de tous les entraîneurs du monde. Madjer ne déroge pas à la règle. - Il vous est reproché, entre autres, de faire la part belle aux joueurs locaux au détriment des professionnels évoluant à l’étranger. Ceux qui propagent ce discours haineux insultent l’intelligence des supporters algériens. Pour moi, le seul point qui compte au moment d’établir la liste des sélectionnés ou de composer l’équipe c’est le niveau des joueurs, leurs qualités, leur forme, leur degré de compétitivité, la complémentarité entre les éléments et les compartiments où ils sont appelés à évoluer. Je ne fais aucune différence entre un joueur qui évolue en Algérie et un autre qui joue à l’étranger. J’étais un joueur formé en Algérie, j’ai joué à l’étranger et j’ai porté plusieurs fois le maillot de l’équipe nationale. Je ne pourrais jamais faire de différence entre deux joueurs algériens. Qui n’est pas content que des joueurs qui jouent en Algérie et d’autres qui évoluent à l’étranger forment la sélection nationale ? La dichotomie joueurs locaux- joueurs pros est un cancer que des esprits malveillants propagent à des fins qui n’ont strictement rien à voir avec le sujet et l’objet de l’heure. Tous les joueurs sont des Algériens sans aucune restriction. Les seuls points qui les départagent, ce sont la valeur, la qualité, la forme et le rendement. - On termine cet entretien sur la relation Madjer-presse. J’ai toujours entretenu de bonnes relations avec la presse algérienne. Cela date du temps où je jouais au NAHD et en équipe nationale. Durant mes deux carrières (joueur-sélectionneur) je n’ai jamais eu de problème avec les journalistes. Ma disponibilité envers eux n’a jamais été prise en défaut. Même lorsque j’ai essuyé de virulentes critiques, je n’ai jamais dévié de ma ligne de conduite. Malheureusement, le contraire n’a pas toujours été vrai. Le respect doit être mutuel et pas à sens unique. Je continue à considérer que les journalistes doivent jouir d’une totale liberté dans leurs appréciations et jugements du fait footballistique mais sans toucher à la dignité d’un homme. Les critiques, les avis contradictoires ne m’offusquent nullement quand c’est fait avec objectivité et professionnalisme. Qui peut nier que je fais l’objet, depuis des mois, d’attaques personnelles qui n’ont rien à voir avec mon rôle et ma mission ? Après ma nomination, de nombreux titres de la presse étrangère m’ont sollicité pour des entretiens. J’ai refusé. J’ai dit, mes premières sorties médiatiques seront réservées aux journalistes algériens. J’ai tenu cet engagement. Madjer restera toujours disponible pour la presse algérienne.

OM – CSC : Victoire impérative à Médéa

Aujourd’hui au stade Imam Lyes de Médéa, les Clubistes auront peut-être rendez-vous avec leur destin, la rencontre face à l’Olympique local prenant, notamment de par son timing, des allures de tournant décisif. En effet, en perte de vitesse depui
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OM – CSC : Victoire impérative à Médéa

Aujourd’hui au stade Imam Lyes de Médéa, les Clubistes auront peut-être rendez-vous avec leur destin, la rencontre face à l’Olympique local prenant, notamment de par son timing, des allures de tournant décisif. En effet, en perte de vitesse depuis la fin de la phase aller, les camarades de Hocine Benayada, même s’ils sont arrivés à se maintenir en tête du championnat, à 4 points du poursuivant immédiat (le MCO), doivent se rassurer, et rassurer leurs fans, face à une équipe coriace laquelle, de surcroît, leur a toujours posé problème, preuve en est le nul enregistré à Hamlaoui en octobre. Conscient de la difficulté de la tâche, l’entraîneur Abdelkader Amrani a procédé à une préparation des plus rigoureuses, laquelle avait été ponctuée par deux matchs amicaux (respectivement face au CA Bordj Bou Arréridj et au NRB Teleghma), et ce afin que les joueurs ne pâtissent pas du manque de compétition imposé par la programmation, et surtout que l’équipe parvienne à bien négocier ses deux déplacements consécutifs (Médéa et Béchar). Côté effectif, le coach devrait pouvoir compter sur tous ses éléments, à l’exception de l’international Mohamed Lamine Abid, suspendu, que devra remplacer au pied levé l’avant-centre malien Moctar Cissé, auteur de trois buts lors de rencontres de préparation, et sur lequel beaucoup d’espoirs sont fondés, et de Rebih, qui n’a pas encore récupéré de sa blessure. Concernant Khadir, reparti chez lui à Oran pour assister aux obsèques de sa grand-mère, il devrait tenir sa place sur le flanc droit de la défense, et ce selon le souhait d’Amrani qui lui a demandé de rejoindre ses coéquipiers à Blida où une mise au vert a été programmée. Conscient de l’importance du match, la direction du club a fixé le montant de la prime de la victoire à 25 millions de centimes, ce qui devrait constituer une motivation supplémentaire pour le groupe. Enfin, l’inauguration du nouveau siège du CSC, attenant au complexe Hamlaoui, aura lieu la semaine prochaine, en présence de ministres, des autorités locales, ainsi que de nombreuses personnalités du monde sportif, économique et culturel.

USMBA 0 – NAHD 1 : El Khadra replonge dans le doute

L’USM Bel Abbès a concédé hier sa quatrième défaite à domicile cette saison, après celles face au PAC, le CSC et le MCO. Cette fois, les gars de la Mekerra sont tombés sur leur terrain face à la coriace formation du NA Hussein Dey qui n’a plu
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USMBA 0 – NAHD 1 : El Khadra replonge dans le doute

L’USM Bel Abbès a concédé hier sa quatrième défaite à domicile cette saison, après celles face au PAC, le CSC et le MCO. Cette fois, les gars de la Mekerra sont tombés sur leur terrain face à la coriace formation du NA Hussein Dey qui n’a plus perdu en 17 journées. Les poulains de Chérif El Ouazzani, auréolés de leur victoire face au PAC, lors de la précédente journée, espéraient rester sur leur lancée pour s’éloigner définitivement de la zone de turbulences, mais ils sont tombés encore une fois sur une équipe difficile à manier. Les Sang et Or qui n’ont plus gagné à Bel Abbès depuis l’année 2000 (match de coupe d’Algérie remporté par le Nasria sur le score 1-0), l’ont refait cette fois sous la conduite de Billel Dziri. L’unique but de la victoire des Algérois a été inscrit par le jeune défenseur Khacef d’un joli retourné suite une passe lumineuse de Harrag (23e). Les gars de la Mekerra parviendront ensuite à créer plusieurs occasions nettes de scorer, notamment par Zouari et Tabti, mais l’excellent portier husseindéen Merbah veillera au grain. L’entrée de Sougueur et de Mebarki au cours de la deuxième période n’a pas apporté le plus escompté, même si les locaux ont pratiquement joué dans la moitié de terrain des visiteurs. Le portier Merbah, sans doute l’homme du match, a arrêté plusieurs occasions permettant du coup à son équipe de revenir avec les trois points de la victoire, la première cette saison en dehors de leurs bases (excepté les derbys, ndlr) et de se propulser à la 4e place au classement général. Après cette défaite, l’USMBA est condamnée à remporter ses matchs à domicile devant la JSS, l’USMH et l’USB, et naturellement de négocier ses déplacements, notamment face au DRBT lors de la prochaine journée pour assurer le maintien en Ligue 1.  

CRB 1 - USMA 0 : Victoire salutaire pour le Chabab

Le CR Belouizdad a remporté hier son derby face à l’USM Alger en s’imposant sur le score de 1 à 0. But inscrit par Belaïli sur penalty. Cette victoire est très importante pour le Chabab dans sa lutte pour le maintien et surtout avant son déplacem
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CRB 1 - USMA 0 : Victoire salutaire pour le Chabab

Le CR Belouizdad a remporté hier son derby face à l’USM Alger en s’imposant sur le score de 1 à 0. But inscrit par Belaïli sur penalty. Cette victoire est très importante pour le Chabab dans sa lutte pour le maintien et surtout avant son déplacement à Abidjan (Côte d’Ivoire) pour disputer la manche aller des 8es de finale (bis) de la coupe de la CAF face à l’ASEC Mimosas. En effet, les poulains de Taoussi s’éloignent de la zone de turbulences et occupent provisoirement la 10e place avec 27 points. Les «Rouge et Blanc» de Laâqiba ont d’emblée affiché leurs intentions à s’emparer des points de la victoire, notamment avec cette reprise de la tête de Aribi, déviée in extremis par Zemmamouche en corner (10e). Une alerte qui secoua les Usmistes ayant vite répliqué par Benmoussa dont le coup franc bien botté sera repoussé  difficilement par le portier Salhi (13e). Les Belouizdadis, plus volontaires, continueront à pousser jusqu’à la 32e minute où il bénéficieront d’un penalty que transformera le défenseur Belaïli. Les Usmistes auraient pu niveler la marque peu avant la pause par Meftah, mais sa reprise de la tête passera au-dessus. En seconde période, Aribi ratera le KO à l’heure de jeu. Seul face au gardien de but Zemmamouche, il tire à côté. L’attaquant Aribi était complètement hors coup dans ce derby ce qui a contraint l’entraîneur Taoussi à le remplacer par Lakroum. En procédant par des contre-attaques, les Belouizdadis auraient pu ajouter un deuxième but, en vain. Cependant, l’action la plus dangereuse est à mettre à l’actif des Usmistes. Chafaï, bien servi par Yaya, ne parviendra pas à redresser la trajectoire du ballon et tire à côté, laissant passer une bonne occasion de niveler la marque.

La finale de la coupe d’Algérie le 1er mai

Dans sa réunion tenue hier, le bureau fédéral de la Fédération algérienne de football a pris plusieurs décisions. Il a d’abord validé la date de la finale de la coupe d’Algérie, programmée pour le 1er mai prochain, très probablement au stad
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La finale de la coupe d’Algérie le 1er mai

Dans sa réunion tenue hier, le bureau fédéral de la Fédération algérienne de football a pris plusieurs décisions. Il a d’abord validé la date de la finale de la coupe d’Algérie, programmée pour le 1er mai prochain, très probablement au stade du 5 Juillet. Les matches de demi-finale sont programmés pour les 13 et 14 avril prochain Il a aussi confirmé les dates de la fin du championnat de Ligue 1 pour le 19 mai et Ligue 2  pour le 11 mai. Parmi les autres décisions, il faut relever la tenue de l’AG ordinaire de la FAF pour le 23 avril. Le BF a également confirmé l’annulation de la construction de l’hôtel, auquel tenait tant l’ex-président de la FAF, Mohamed Raouraoua. Par ailleurs, le bureau fédéral a  annoncé que l’Union arabe de football a accepté d’octroyer une troisième place à l’Algérie. L’on se rappelle que l’instance du football arabe avait invité l’ES Sétif et l’USM Alger à prendre part à la prochaine édition de la Coupe arabe des clubs. Toutefois, c’est la FAF qui se chargera de désigner le troisième club, qui va accompagner l’ESS et l’USMA dans cette compétition.   Programme:  Ligue 1 24e journée : aujourd’hui et demain 25e journée : vendredi/ Samedi 6/7/8 avril 2018 26e journée : samedi 21 avril 27e journée : mercredi 25 avril   Match avancé de la 28e journée ESS-NAHD le samedi 28 avril Match avancé de la 28e journée MCA-USMBA le samedi 28 avril (en cas d’élimination en 1/2 finale de la coupe d’Algérie) 28e journée : vendredi 4 mai Match retard de la 28e journée MCA-USMBA le mardi 8 mai (en cas de qualification en finale de la coupe d’Algérie) 29e journée : samedi 12 mai   30e journée : samedi 19 mai Ligue 2 24e journée : aujourd’hui et demain 25e journée : vendredi 6 avril 2018 26e journée : vendredi14 avril 27e journée : vendredi 20 avril 28e journée : vendredi 27 avril 29e journée : samedi 5 mai 30e journée : vendredi 11 mai   La coupe d’Algérie Demi-finale 13/14 avril Finale le mardi 1er mai   Matches retard JSK – MCA le mardi 3 avril  (reprise de la 23e journée) USMA –OM et MCO – CRB le vendredi 13 avril (reprise de la 25e journée) MCA- USMBA le mardi 8 mai (reprise de la 28e journée)

Ligue 1 : Le Chabab veut sa revanche face à l’USMA

Cinq matches sont au programme de cette journée avec en vedette deux rencontres à enjeu, à savoir CR Belouizdad – USM Alger et US Biskra – JS Kabylie. Onzième du classement avec 24 points, le Chabab est toujours menacé par la relégation, d’auta
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Ligue 1 : Le Chabab veut sa revanche face à l’USMA

Cinq matches sont au programme de cette journée avec en vedette deux rencontres à enjeu, à savoir CR Belouizdad – USM Alger et US Biskra – JS Kabylie. Onzième du classement avec 24 points, le Chabab est toujours menacé par la relégation, d’autant plus que trois points seulement le séparent des premiers reléguables, l’USM El Harrach et le DRB Tadjenanet (21 points). Les coéquipiers de Naâmani n’ont pas aussi oublié la sévère défaite du match aller à Omar Hamadi, où ils ont été baladés avec une lourde défaite sur le score de 4 buts à 0. Cette confrontation est aussi importante pour l’USM Alger, troisième du classement à 7 points du leader, le CS Constantine. C’est peut-être vrai que le titre va être difficile à décrocher, mais les poulains de Miloud Hamdi visent, au pire, la seconde place du classement, qualificative à la Ligue des champions d’Afrique. Du coup, la formation de Soustara est condamnée à gagner au stade du 20 Août 1955. Les Usmistes ont les moyens d’arriver à leur fin, surtout qu’ils restent la meilleure équipe hors de ses bases avec 20 points récoltés en déplacement avec seulement une défaite concédée en 11 sorties. L’autre confrontation qui retiendra l’intérêt des puristes sera celle qui opposera les mal-classés, l’US Biskra à la JS Kabylie, qui comptent le même nombre de points (22). Les Biskris restent sur trois défaites de suite, dont un sévère 5 à 0 à Oran devant le MCO. Ce revers a fini par emporter le coach Nadir Leknaoui. Aujourd’hui, c’est El Hadi Khezzar qui sera sur le banc de touche. Et pour son entame de mission, l’ancien coach de l’ASO veut les trois points de la partie. La JS Kabylie vise aussi un bon résultat après avoir réussi à se qualifier en demi-finale de la coupe d’Algérie la semaine dernière devant l’USM Blida. Le DRB Tadjenanet est condamné à la victoire devant la JS Saoura, qui vise toujours une place sur le podium. Le problème avec l’équipe de l’entraîneur Hamadi Edou est que celle-ci reste fragile même à domicile, comme le prouve le revers devant le PAC (1-2). Cet après-midi, l’équipe se doit de s’imposer afin de pouvoir sortir la tête de l’eau. La Saoura veut réussir, pour sa part, un troisième bon résultat de suite après la venue du coach Nabil Neghiz. La journée sera également importante pour le MC Alger, qui recevra la lanterne rouge, l’USM Blida. Sur le papier, les Vert et Rouge partiront largement favoris surtout au stade du 5 Juillet, où ils ont l’habitude d’étouffer tous leurs adversaires. Mais dans cette partie, les Blidéens joueront gros. Ils doivent impérativement réaliser un résultat positif afin de garder l’espoir du maintien intact. Enfin le club de la Mekerra vise devant le NA Hussein Dey un autre succès afin de bien préparer la demi-finale de la coupe d’Algérie devant le CR Zaouia. Quant au NA Hussein Dey avec 35 points, il voudrait bien aligner son seizième match de suite sans défaite cette saison.

Vers le retour de l’option des locaux !

Le coach Rabah Madjer a toujours affirmé, avant même de prendre en main la sélection nationale, qu’il envisageait de donner toutes leurs chances aux joueurs issus du championnat national. Cela s’est vérifié lors de la dernière rencontre amicale des
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Vers le retour de l’option des locaux !

Le coach Rabah Madjer a toujours affirmé, avant même de prendre en main la sélection nationale, qu’il envisageait de donner toutes leurs chances aux joueurs issus du championnat national. Cela s’est vérifié lors de la dernière rencontre amicale des Verts. Au coup de sifflet final du match Algérie–Iran, joué à Graz, ils étaient pas moins de 10 éléments ayant fait leurs premiers pas dans le championnat algérien sur le terrain. Seul Mandi, actuel joueur du Bétis de Séville, a été formé en France. Les autres, Chaouchi, Ferhat, Benmoussa, Chafaï, Bensebaïni, Boukhenchouche, El Melali, Slimani, Abid et Soudani, ont tous fait leurs classes au pays. On ne sait pas s’il y avait derrière cette option un message de Rabah Madjer adressé aux joueurs professionnels, qui sont de plus en plus mal à l’aise au sein de la sélection nationale. Les dernières «mésaventures» vécues par les Hanni, Mahrez et surtout Taïder en sont une parfaite illustration. Le dernier joueur a dû faire un voyage de 12 882 kilomètres en aller et retour entre Montréal et Graz pour 0 minute de jeu. Des joueurs comme M’bolhi, Feghouli et Boudebouz, qui évoluent pourtant régulièrement avec leurs clubs respectifs, ont été sciemment écartés de la sélection nationale. On affirme, par ailleurs, que Bentaleb et Brahimi, libérés du stage des Verts pour blessure, s’entraînent comme si de rien n’était avec leur club respectif en prévision des confrontations du week-end. Beaucoup d’Algériens s’étonnent aujourd’hui de ce choix qui, pour eux, ne fera qu’affaiblir encore plus la sélection nationale. En tout cas, nombreux sont les Algériens qui jugent cette option suicidaire, au moment où tous les autres pays sont en quête des meilleurs talents, surtout s’ils évoluent dans des championnats relevés. Le tout-professionnel avait été initié par l’ancien président de la FAF, Mohamed Raouraoua, qui avait été le grand artisan de la nouvelle loi sur les joueurs binationaux en 2009. L’Algérie a pu récupérer plus de 17 ex-internationaux français dans les jeunes catégories. L’ex-patron de la FAF vantait le mérite de tous ces joueurs dans les performances précédentes des Verts avec notamment deux participations aux Coupes du monde de 2010 et 2014 après plus 24 ans d’attente. Il semble aujourd’hui que le vent ait tourné. Le nouveau staff technique maintient toutefois son cap, même si les critiques fusent de partout.

Le compte bancaire du club bloqué

La situation financière que vit l’USM Draâ Ben Khedda (Tizi Ouzou) a fait l’objet d’une réunion d’urgence tenue récemment, en présence de Youcef Afir, en sa qualité de président de la section football, et de l’ensemble des dirigeants et du pr
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Le compte bancaire du club bloqué

La situation financière que vit l’USM Draâ Ben Khedda (Tizi Ouzou) a fait l’objet d’une réunion d’urgence tenue récemment, en présence de Youcef Afir, en sa qualité de président de la section football, et de l’ensemble des dirigeants et du président de l’APC de la localité. «Beaucoup d’efforts ont été consentis depuis le 1er janvier 2018 pour sauvegarder la stabilité du club et cela suite aux efforts du président de l’APC, Bouarour Mustapaha, qui est l’enfant du club, ainsi que les amis de l’USM Draâ Ben Khedda et les investisseurs de la région par le précieux soutien sur le plan financier et matériel», a déclaré Youcef Afir lors de cette AG. A l’occasion, il a souligné que le compte bancaire du club est bloqué par les anciens dirigeants, déplorant l’attitude d’autres personnes qui, selon lui, veulent nuire au club sous prétexte qu’il n’a pas honoré les dettes des années précédentes. Le président de l’APC de Draâ Ben Khedda compte demander une commission d’enquête pour mettre fin au blocage concernant la gestion générale du club, a annoncé le président de la section football. Cela permettra, dit-il, le paiement des salaires et des primes des joueurs, du staff technique et autres fournisseurs. Par ailleurs, les responsables du club exhortent tous les amoureux et amis des Ciel et Blanc à rester mobilisés afin de maintenir le club en Régionale 1.

JSM Béjaïa : La direction motive les joueurs

A la veille d’un déplacement périlleux à Oran pour affronter l’ASMO dans le cadre de la 24e journée du championnat de Ligue 2, les dirigeants de la JSMB ont décidé de jouer la carte de la motivation pour pousser les joueurs à fournir des efforts su
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JSM Béjaïa : La direction motive les joueurs

A la veille d’un déplacement périlleux à Oran pour affronter l’ASMO dans le cadre de la 24e journée du championnat de Ligue 2, les dirigeants de la JSMB ont décidé de jouer la carte de la motivation pour pousser les joueurs à fournir des efforts supplémentaires lors des prochaines rencontres et réussir un meilleur résultat à Oran pour espérer rester dans la course et conserver ainsi leurs chances intactes à l’accession. En effet, comme déjà promis par le président Tiab samedi dernier, les joueurs ont eu deux mois de salaires pour les anciens et un mois pour les nouveaux, sans oublier les trois primes des rencontres remportées face au CAB, JSMS et MCS. Par ailleurs, le président du conseil d’administration de la JSMB, Boualem Tiab, a rendu visite aux joueurs lors de la séance d’entraînement effectuée dans la matinée d’hier au stade de l’UMA. Celui-ci a eu une discussion avec les joueurs et les membres du staff technique en leur demandant de faire le maximum pour bien négocier ce déplacement à Oran, qui demeure la clé de l’accession, d’autant plus qu’un bon résultat permettrait aux poulains du coach Mounir Zeghdoud de conserver leur première place. En plus de cela, le boss de la JSMB a promis une forte prime aux joueurs en cas de succès. Les joueurs semblent avoir bien retenu le message et comptent relever le défi. Zeghdoud a déclaré à propos de ce match : «Nous allons faire le maximum pour réussir un bon résultat et de maintenir notre belle série afin de réaliser l’objectif tracé, et ce, bien que la rencontre ne soit pas facile.» Les Béjaouis se déplaceront ce matin à Oran où ils auront à effectuer une séance d’entraînement sur place.

Beaucoup reste à faire…

La sélection nationale de football ne rassure pas. Au-delà de la défaite, d’avant-hier en Autriche, face à l’Iran, sur le score de deux buts à un, c’est beaucoup plus la prestation fournie par les Verts qui alimente les inquiétudes. Une défens
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Beaucoup reste à faire…

La sélection nationale de football ne rassure pas. Au-delà de la défaite, d’avant-hier en Autriche, face à l’Iran, sur le score de deux buts à un, c’est beaucoup plus la prestation fournie par les Verts qui alimente les inquiétudes. Une défense perméable à volonté, un milieu de terrain passif et une attaque amorphe, notamment en première période. Le dispositif mis en place par le staff technique national d’entrée de match n’a pas fonctionné. C’est ce qui a fait que le groupe a encaissé deux buts, durant les 20 premières minutes de jeu, et d’une manière aisée. Les correctifs apportés en cours de route ont permis aux Verts, en deuxième mi-temps, de réduire la marque. Mais cela n’a pas été suffisant pour renverser la balance. D’autres lacunes ont surgi en fin de match. En somme, face à une équipe qui, quoique classé 33e mondialement, n’est pas un foudre de guerre, les Algériens n’ont pu asseoir leur jeu et se sont contentés d’incursions désordonnées et individuelles. Le sélectionneur national, Rabah Madjer, aura beaucoup à faire pour redonner confiance à un groupe apparemment toujours en proie au doute. Et le prochain stage, prévu en juin, qui sera ponctué par un match amical face au Portugal, risque de ne pas suffire pour préparer la suite des éliminatoires de la CAN-2019. Le staff à la recherche du «meilleur équilibre possible» Bien évidemment, le staff en place a relativisé. Lors du point de presse d’après-match, l’adjoint Meziane Ighil a tenu un discours «non alarmiste», avec même une note d’optimisme. D’après lui, l’équipe est «toujours en construction» et le staff est «à la recherche du meilleur équilibre possible parmi les joueurs en place». Celui-ci a tenu à signaler que le groupe a «débuté le match en toute confiance en étant concentré comme il se doit». Il a même réussi «à se créer quelques occasions véritables qu'il pouvait concrétiser». Sauf qu’il y avait, d’une manière générale, ajoute-t-il, un déficit d’efficacité. En plus de cela, «les buts encaissés ont quelque peu déstabilisé l’équipe. A la mi-temps, nous leur avons parlé et les joueurs avaient la volonté suffisante pour revenir au score. Et c’est ce qui s'est passé en deuxième mi-temps», a déclaré Ighil. Voulant être plus précis, l’adjoint de Madjer a indiqué qu’après avoir senti qu’il y avait un déséquilibre en milieu de terrain, «il fallait réagir pour avoir une meilleure présence dans ce compartiment». Et c’est ce qui s’est passé avec l’incorporation de Benmoussa à la place de Henni dès la demi-heure de jeu, avant de décaler Mandi sur le flanc droit avec l’incorporation de Bensebaini dans l’axe, explique Ighil, pour qui, après cela, «il y avait un meilleur équilibre avec trois milieux qui pouvaient être un peu plus actifs dans la récupération». Les choses s’améliorent donc peu à peu, d’après le staff. Il n’y a pas lieu de s’en alarmer. «Il n’y a pas d’affaire Taider» Par ailleurs, le milieu récupérateur Saphir Taider a provoqué une polémique en quittant le banc, se dirigeant vers les vestiaires, quelques minutes avant la fin de la partie. Selon des informations, celui-ci n’a pas apprécié le fait qu’il ne soit pas aligné durant ces deux matchs (Tanzanie et Iran). Pour Ighil, «il n’y a pas d’affaire Taider». «Ce n’est pas le seul joueur qui n’ait pas participé à ces deux matchs. On a arrêté l’équipe en fonction de l’adversaire et de la forme physique des joueurs. Taider fait toujours partie du groupe. S’il n’a pas été aligné lors de ces deux matchs, il le sera probablement à l’occasion des futurs rendez-vous. Il n’y a ni affaire Taider, ni affaire Naamani, ni affaire Belkheir. Tous ceux qui sont dans le groupe peuvent prétendre à une place. A eux de saisir les occasions qui se présenteront», a-t-il déclaré. Et d’ajouter : «Nous avons affaire à des professionnels, des compétiteurs, des footballeurs qui ont envie de jouer. Quand on ne l’aligne pas, nous devons aussi lui dire pourquoi. On ne fait pas ce qu’on veut dans cette équipe, on fait ce qui doit être fait.» Pour ce qui est de la sortie de Mahrez, à la 67', lui qui était très efficace sur le terrain, l’adjoint du sélectionneur dira que ce changement était prévu à l’avance puisque le staff «voulait faire participer le maximum de joueurs». En tout cas, malgré ces explications, il est clair que le staff sera mis à rude épreuve, notamment avec l’approche du prochain match amical face au Portugal. C’est l’unique occasion que le sélectionneur national aura pour apporter les correctifs nécessaires, avant le déplacement des Verts en Gambie, en septembre prochain, pour le compte de la deuxième journée des éliminatoires de la CAN-2019. Les deux autres équipes du groupe D sont le Bénin et le Togo, face auxquels les Verts se sont imposés lors de la première journée par un but à zéro. 

Ligue 1 : La fin du championnat maintenue au 19 mai

La Fédération algérienne de football (FAF) a démenti catégoriquement les informations faisant état d’une demande de dérogation auprès de la FIFA pour décaler la date de la fin du championnat de Ligue 1 d’une semaine, soit au 25 mai au lieu du 19
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Ligue 1 : La fin du championnat maintenue au 19 mai

La Fédération algérienne de football (FAF) a démenti catégoriquement les informations faisant état d’une demande de dérogation auprès de la FIFA pour décaler la date de la fin du championnat de Ligue 1 d’une semaine, soit au 25 mai au lieu du 19 mai, comme prévu initialement. La FIFA a instruit toutes les fédérations que la date limite de fin des championnats partout dans le monde est fixée au 20 mai en raison du déroulement de la Coupe du monde 2018 en Russie (15 juin-14 juillet). Des informations ont circulé sur un éventuel prolongement du délai de fin de championnat d’une semaine en raison du calendrier démentiel auquel sont soumises nos équipes, notamment avec la participation de quatre équipes en compétitions africaines, en plus des matchs de coupe d’Algérie (demi-finales et finale), plus les sept journées du championnat de Ligue 1 qu’il faudrait caser en moins de deux mois. La FAF tient à rassurer l’opinion sportive que le délai fixé par la FIFA sera respecté. La FAF précise dans le même communiqué que «le directoire qui gère la Ligue de football professionnel (LFP) présentera pour approbation par le prochain bureau fédéral, prévu le jeudi 29 mars 2018, une mouture du calendrier de fin de saison où la dernière journée se déroulera le 19 mai prochain, comme décidé par l’instance du football international». Le président du directoire de la LFP, Amar Bahloul, abonde dans le même sens et affirme à l’APS : «Afin de respecter les délais fixés par la Fédération internationale de football (FIFA) pour la fin de tous les championnats locaux au monde, à savoir le 19 mai prochain, nous allons trouver la variante exemplaire, quitte à avancer ou reporter de 48 heures certains matchs sans enjeu des équipes engagées en compétitions africaines interclubs.» Auparavant, Amar Bahloul avait affirmé à la même agence que la FAF allait demander à la FIFA une dérogation pour repousser la fin du championnat national d’une semaine.

Mention assez bien au trio autrichien

Dans l’esprit des Algériens, les Verts devaient rapidement reprendre des couleurs, pour cela, il fallait «provoquer» des signes avant-coureurs. Et comme le printemps est la saison propice qui incarne le «vert», couleur de l’espoir, à condition de n
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Mention assez bien au trio autrichien

Dans l’esprit des Algériens, les Verts devaient rapidement reprendre des couleurs, pour cela, il fallait «provoquer» des signes avant-coureurs. Et comme le printemps est la saison propice qui incarne le «vert», couleur de l’espoir, à condition de ne rien laisser au gré de l’aléatoire et espérer oublier un tant soit peu les précédents déboires. Pour cela, une suite favorable a été émise à la sollicitation d’un mondialiste de la dimension de l’Iran comme «sparring-partner», même juste après avoir donné la réplique à la Tanzanie avec 3 jours d’intervalle et un (re)tour en Autriche avec un sous-bassement triomphal. Pour cette joute, un quatuor autrichien fut engagé et conduit par Julian Weninberger (33 ans), ayant acquis son badge FIFA en 2018. Cet arbitre dirige des matchs au pays voisin pour le compte du championnat professionnel de la Bundesliga, réputé pour ne pas être un exercice où se conjuguent toutes sortes de «dégâts». Il est à signaler que l’arbitre a tardé à prendre les choses en main, car une faute évidente (5’), non sanctionnée, a été commise sur Mandi sur un coup de pied de coin. Les buts de l’Iran (11’ et 19’) ont été le fruit d’habileté, de facilité et de cran. A la 44’, Ferhat, auteur d’une faute évidente, contesta la sentence arbitrale avec une attitude indécente. Après la pause citron, et sûrement sermonnés par Madjer, les Verts reviennent à la charge et par une tête (d’or) de Chafaï réduisirent la marge. Slimani rentré en changement, Chafaï, Bounedjah et le capitaine Mandi écopèrent d’avertissements après leurs différents errements et défaut d’affrontement.

Première défaite de l’ère Madjer

Graz-Liebenau Stadion (Autriche)   Arbitre : Wienberger (Autriche) Buts : Chafai (56’) Algérie - Azmoun (11’), Taremi (19’) Iran Averts : Slimani, Chafai, Bounedjah, Mandi (Algérie) Algérie : Chaouchi, Boukhanchouche, Mandi (C), Bensebai
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Première défaite de l’ère Madjer

Graz-Liebenau Stadion (Autriche)   Arbitre : Wienberger (Autriche) Buts : Chafai (56’) Algérie - Azmoun (11’), Taremi (19’) Iran Averts : Slimani, Chafai, Bounedjah, Mandi (Algérie) Algérie : Chaouchi, Boukhanchouche, Mandi (C), Bensebaini, Chafai, Medjani (Slimani 63’), Soudani, Mahrez (El Melali 67’), Ferhat, Bounedjah (Abid 82’), Hanni (Benmoussa 33’) Entr. : Rabah Madjer Iran : Beiranvand, Montazeri, Ghafouri, Khanzadeh, Ansarifard (Razaei 70’), Taremi (Amiri 38’), Haji, Safi, Azmoun (Ibrahime 61’), Ezatolahi (Shojaei 46’), Jahanbakhsh (Ghodos 79’) Entr. : Carlos Queiroz L'Algérie a concédé, hier, sa première défaite sous la coupe de Rabah Madjer en s’inclinant sur le score de 2 à 1 devant l’Iran qui, certes, n’est pas une grosse cylindrée, mais était mieux organisé sur le terrain. Les Verts ont débuté le match avec un système de jeu différent de celui adopté face à la Tanzanie. Malgré un renforcement du compartiment défensif avec quatre joueurs et Carl Medjani en sentinelle, les Verts ont encaissé deux buts durant les 20 premières minutes sur des erreurs de placement et de marquage. Azmoun a ouvert la marque de la tête sur un centre d’un coéquipier (11') profitant de la passivité de Ferhat, aligné comme latéral droit. Huit minutes plus tard, Taremi a doublé la mise sur un but «gag» après un cafouillage entre trois défenseurs algériens et la passivité de Mandi. L’attaquant iranien s’est engouffré facilement dans la surface de réparation avant d’éliminer le portier Chaouchi et mettre le ballon au fond des filets. Auparavant, Soudani seul face au gardien Beiravand a raté l’occasion de niveler la marque. Avec la production en demi-teinte des joueurs où seul Riyad Mahrez a tenté quelques incursions et servi idéalement ses coéquipiers, l’entraîneur Rabah Madjer a rapidement effectué son premier changement en incorporant Benmoussa à la place de Hanni, hors du coup durant la première demi-heure. Mais cela n’a rien changé au comportement des joueurs qui manquaient terriblement de rythme et d’imagination. Après la pause citron, les Verts sont entrés avec plus de motivation dans l’espoir de revenir à la marque, mais ni Bounedjah ni Medjani n’ont pu y arriver en deux tentatives (49' et 50'). Ce n’était que partie remise, le défenseur de l’USMA, Chafaï,  parvenant à réduire la marque de la tête suite à un coup franc bien botté par son coéquipier Benmoussa (56'). Mais à force de vouloir chercher coûte que coûte l’égalisation, les camarades de Slimani et Abid — incorporés en cours de match pour donner plus de tonus au compartiment offensif — sont tombés dans un jeu brouillon qui a fait l’affaire des Iraniens, mieux organisés. Un grand chantier attend Madjer.

CRB – USMA : Le Chabab prêt pour le derby

Le CR Belouizdad affrontera vendredi (16h) l’USM Alger dans un derby important dans la course pour le maintien en Ligue 1.  «C’est un match important mais pas décisif», a déclaré en substance le coach marocain du Chabab, Rachid Taoussi, visibleme
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CRB – USMA : Le Chabab prêt pour le derby

Le CR Belouizdad affrontera vendredi (16h) l’USM Alger dans un derby important dans la course pour le maintien en Ligue 1.  «C’est un match important mais pas décisif», a déclaré en substance le coach marocain du Chabab, Rachid Taoussi, visiblement pour évacuer la pression sur ses joueurs qui semblaient reprendre confiance après leur brillante qualification en Coupe de la CAF face à Nkana FC. Le coach belouizdadi qui avait des soucis en attaque s’est quelque peu rassuré après la production de ses poulains face à l’OM Ruisseau en amical, remporté (3-1) un match au cours duquel il a été enregistré le réveil de l’attaquant Aribi, auteur d’un des trois buts de la victoire. Les choses vont certainement s’améliorer avec le retour de Sid Ali Lakroum qui a fait l’impasse sur cette joute amicale à cause d’une forte grippe l’ayant cloué au lit, mais qui devait reprendre les entraînements hier avec le groupe pour préparer le derby de ce vendredi. L’équipe va aussi bénéficier du retour du Malien Sidibé qui a regagné le pays hier après un séjour de quelques jours dans sa famille, et du défenseur axial Sofiane Bouchar qui souffrait d’une entorse de la cheville. Les gars de Laâqiba qui ont été sévèrement corrigés à l’aller (4-0) devront bien négocier ce match pour éviter de retomber dans le doute, surtout que lors de la prochaine journée ils effectueront un périlleux déplacement à Oran pour y affronter le MCO qui joue pour le titre.

JSK – MCA au stade Hamlaoui

La JS Kabylie qui a hérité du MC Alger en demi-finale de la coupe d’Algérie, à l’issue du tirage au sort effectué dimanche soir, pourrait recevoir son adversaire au stade Chahid Hamlaoui de Constantine, a-t-on appris de source proche du club kabyle.
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JSK – MCA au stade Hamlaoui

La JS Kabylie qui a hérité du MC Alger en demi-finale de la coupe d’Algérie, à l’issue du tirage au sort effectué dimanche soir, pourrait recevoir son adversaire au stade Chahid Hamlaoui de Constantine, a-t-on appris de source proche du club kabyle. Le stade du 1er Novembre, dont la capacité ne dépasse pas les 20 000 places, n’est pas homologué pour abriter le clasico. C’est ainsi que la direction du club phare du Djurdjura aurait opté pour le stade de Constantine qui répond aux normes requises par la FAF. Les responsables de la JSK, à leur tête le président Cherif Mellal, auraient déjà saisi la Commission coupe d’Algérie pour cette éventualité. Mellal a évoqué cette possibilité devant la presse, estimant que l’enceinte du 5 Juillet est le stade habituel du MC Alger. En effet, le MCA reçoit depuis quelque temps ses adversaires au stade olympique et possède tous les repères. Contrairement à la JSK qui n’a évolué cette saison au 5 Juillet qu’une seule fois. C’était samedi passé, à l’occasion des quarts de finale de la coupe d’Algérie contre l’USM Blida (2-1). Le président kabyle a affirmé même que le MCA aura 3000 places seulement dans la mesure où c’est son club qui a été tiré le premier. Les deux équipes s’étaient affrontées plusieurs fois en coupe d’Algérie et à chaque fois c’est le Doyen qui l’a emporté, comme c’était le cas la saison passée en quart de finale au 5 Juillet (1-1 après prolongations et le MCA s’était qualifié aux tirs au but). La JSK s’était imposée une seule fois en 1989 en 8es de finale aux tirs au but après un match nul (2-2), disputé à Mascara. Avant ce match très attendu qui aura lieu le 13 ou le 14 avril prochain, les deux équipes vont s’affronter d’abord en championnat le 3 avril à Tizi Ouzou dans le cadre de la mise à jour du calendrier (23e journée).  

Les Verts face à un «vrai» test

La sélection nationale de football va affronter aujourd’hui en amical, dans la ville de Graz, en Autriche, à partir de 17h, l’Iran, dans le deuxième match préparatoire de l’actuel stage des Verts après celui de jeudi dernier, face à la Tanzanie (4
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Les Verts face à un «vrai» test

La sélection nationale de football va affronter aujourd’hui en amical, dans la ville de Graz, en Autriche, à partir de 17h, l’Iran, dans le deuxième match préparatoire de l’actuel stage des Verts après celui de jeudi dernier, face à la Tanzanie (4-1), disputé au stade du 5 Juillet à Alger. Mahrez et ses coéquipiers sont arrivés en Autriche dimanche en début d’après-midi. Le même jour, ils se sont entraînés en fin de journée, sur le terrain d’un stade mitoyen de l’hôtel Das Weitezer, où ils sont hébergés. Hier, le staff technique avait programmé, durant la matinée, une séance d’analyse vidéo. Les joueurs ont visionné ensemble le match Tunisie – Iran disputé vendredi dernier. Une dernière séance d’entraînement a eu lieu dans l’après-midi, à l’heure du match. En tout cas, les poulains du coach Rabah Madjer tenteront d’offrir à leurs supporters une prestation meilleure que celle fournie jeudi dernier. Face aux Tanzaniens, et malgré la large victoire, les Verts n’ont pas été vraiment convaincants, notamment en première période. Le schéma tactique mis en place par le sélectionneur national, avec trois défenseurs au lieu de quatre, a été décrié par bon nombre d’observateurs. Madjer, lui, a estimé qu’il était «tôt» pour se prononcer sur l’efficacité d’un tel dispositif. Va-t-il le reconduire aujourd’hui face à l’Iran ? La sélection coachée par le Portugais Carlos Quieroz est d’un calibre supérieur à la Tanzanie. Cette équipe est dans le groupe B du Mondial 2018 en compagnie de l’Espagne, du Portugal et du Maroc. D’où d’ailleurs cette rencontre amicale face à l’Algérie. «Je ne vais pas dire si je reconduirai le même schéma tactique, en 3-4-2-1, ou pas. On verra bien d'ici à mardi prochain», avait déclaré Madjer samedi dernier. Sauf qu’entre-temps, le staff a été contraint de libérer trois joueurs, en l’occurrence Brahimi et Bentaleb, blessés, ainsi que Bennaceur, qui a été laissé à la disposition de son club italien d’Empoli. Rappelons que ces deux derniers avaient été alignés face à la Tanzanie. Bentaleb avait débuté le match, avant que Bennaceur ne le remplace à l’heure de jeu. Ce qui signifie que Madjer sera forcé, de toute façon, d’apporter des changements à son onze. Il se pourrait même qu’il revienne au schéma habituel avec quatre défenseurs. Dans cette éventualité, le défenseur Medjani va probablement récupérer son poste de «sentinelle», laissant dans l’axe Chafai et Mandi. En tout cas, cette rencontre face à l’Iran, qui cherche également une victoire, après sa défaite vendredi dernier, en amical, face à la Tunisie (1-0), est un sérieux test pour le staff qui dispose de temps suffisant avant la poursuite des éliminatoires de la CAN-2019 dont la deuxième journée est prévue au mois de septembre prochain. Lors de la première journée, l’Algérie avait battu le Togo par un but à zéro. Les deux autres équipes du groupe B sont le Bénin et la Gambie, le futur adversaire des Verts.  

Quel bilan d’une année de «gestion» de l’arbitrage sous Zetchi ?

Plusieurs bilans ont été établis au bout d’une année de règne et de gestion que le président de la FAF a accomplie. Et comme juste après son élection, le président de la fédération s’était lui-même engagé à piloter le chantier de l’arbitr
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Quel bilan d’une année de «gestion» de l’arbitrage sous Zetchi ?

Plusieurs bilans ont été établis au bout d’une année de règne et de gestion que le président de la FAF a accomplie. Et comme juste après son élection, le président de la fédération s’était lui-même engagé à piloter le chantier de l’arbitrage avec une action responsable car – de par son statut de président d’un club avec plus de 20 années d’expérience – il connaissait les rouages d’une manière palpable et devenait de facto devant la famille du football le seul comptable. De prime abord, il faut resituer le décor au préalable en revenant à la case départ et reconnaître que l’arbitrage souffrait de plusieurs pathologies déplorables et avait hérité d’un malade alité sur un brancard en rapport à plusieurs impairs moraux commis et autres écarts. Ensuite pour gérer  le football avec l’arbitrage avec compétence, engagement et foi, il ne suffisait pas d’avoir sur sa liste certains qui se disputaient qui allait avoir le statut de subalterne ou de roi, ni avoir de la taille et du poids et comme il fallait se conformer aux textes et lois, celui qui fut candidat à la présidence de la FAF n’avait pas pour constituer sa liste un grand choix ! Ensuite, chemin faisant, affairé plus à faire face aux problèmes rencontrés à l’intérieur de la maison pour remettre de l’ordre et bien finir la précédente saison créés par moments par certains de ses pairs sans aucune raison. Heureusement que sur le plan de l’acte arbitral, le dernier tronçon (8 matchs pour chacune des deux ligues) de la compétition, en matière d’influence sur les résultats, n’a pas connu de scandales. Il fallait profiter de cette dynamique et ce climat propices pour préparer sous de bons auspices le nouvel exercice. Encore une fois, et c’était attendu que la composition de la CFA allait connaître un climat très tendu pour avoir été le «théâtre» en plein air où les malentendus furent de loin entendus. C’était beaucoup plus des conflits de leadership prétendus et là que de temps précieux fut perdu ! A posteriori, cette scission a rajouté sur le dos de la corporation une autre couche de suspicion. A noter que la nouvelle saison a commencé avec une habileté arbitrale considérée comme une réussite, car la désignation des arbitres a été reconduite d’une manière tacite. Seulement voilà, après quelques journées, l’enjeu s’enflamme et l’entêtement d’utiliser les mêmes arbitres depuis l’entame allait être pour tout le monde un vrai dilemme. Du coup, les clubs avec des plaintes motivées suivies d’accusations fusaient, les arbitres sur-utilisés étaient usés et multipliaient les «risques» d’être brisés. En revanche, d’autres arbitres titrés allaient sans cesse lancer des cris de détresse, car inexplicablement inutilisés. Faute de suivre un itinéraire suffisamment balisé avec une gestion bipolarisée, les feux braqués sur les arbitres sont devenus fortement attisés avec des observations aiguisées. Depuis leur «protestation» montrant qu’ils étaient scandalisés d’être constamment stigmatisés, il semble que les magistrats des terrains sont décidés d’être au-dessus des visées et sont revenus immunisés, car suffisamment sensibilisés !  

Les Canaris en demi-finales

La JS Kabylie s’est qualifiée aux demi-finales de la Coupe d’Algérie de football suite à sa victoire, hier  au stade du 5 Juillet d’Alger, face à l’USM Blida, sur le score de deux buts à un, lors du dernier match des quarts de finale. Les Can
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Les Canaris en demi-finales

La JS Kabylie s’est qualifiée aux demi-finales de la Coupe d’Algérie de football suite à sa victoire, hier  au stade du 5 Juillet d’Alger, face à l’USM Blida, sur le score de deux buts à un, lors du dernier match des quarts de finale. Les Canaris rejoignent ainsi le MC Alger, l’USM Bel Abbès et le CR Zaouia, déjà qualifiés. La rencontre d’hier, au centre d’une forte polémique au sujet de la domiciliation, le stade de Tizi Ouzou ayant été refusé aux Canaris en raison de sa «faible» capacité, a débuté sur les chapeaux de roues. Les Jaune et Vert ont ainsi pris les choses en main dès l’entame de la partie. A la 9’, sur une passe de Ziri Hammar, Benyoucef a failli ouvrir la marque n'était l’intervention du gardien blidéen Ouadah. Djaabout a également créé le danger à la 13’ mais en vain. Après ce premier quart d’heure, le match s’est concentré peu à peu au milieu du terrain. L’action la plus nette de l’USMB est survenue à la 35’ lorsque Asselah a dû faire étalage de tout son art pour faire sortir un ballon tiré par Frioui. La première mi-temps s’est terminée sur ce score d’égalité de zéro partout. De retour des vestiaires, les Canaris se sont aussitôt rués sur le camp blidéen. Déjà, à la 47’, Benyoucef, de la tête, a failli ouvrir la marque. Ouadah a fait sortir le ballon in extremis. A la 57’, un penalty est sifflé pour la JSK. Hammar le rate. Blida réagit à la 65’ par Frioui, mais sans résultat. Mais à la 71’, Benyoucef réussit à inscrire un but, de la tête, suite à un joli centre de Redouani. Et près de dix minutes plus tard (82’), ce même Redouani, bien servi par Djaabout, double la marque. La JSK mène par deux buts à zéro. Ce n’est que lors du temps additionnel (90+3’) que les Blidéens ont réussi à sauver l'honneur par Herbache, sur coup franc direct, tiré des 20 mètres. Le match s’est terminé sur ce score de deux buts à un. A noter que le tirage au sort des demi-finales est prévu aujourd’hui à partir de 18h.

Equipe nationale : L’Iran, le véritable test

Les Verts s’envoleront aujourd’hui pour l’Autriche, deux jours avant la rencontre amicale, prévue mardi, dans la ville de Graz, face à l’Iran, alors que le responsable de la sélection nationale, Hakim Medane, qui est également membre du bureau fé
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Equipe nationale : L’Iran, le véritable test

Les Verts s’envoleront aujourd’hui pour l’Autriche, deux jours avant la rencontre amicale, prévue mardi, dans la ville de Graz, face à l’Iran, alors que le responsable de la sélection nationale, Hakim Medane, qui est également membre du bureau fédéral de la FAF, est sur place depuis vendredi. Le coach, Rabah Madjer, avait accordé avant-hier une après-midi de libre pour les joueurs qui devaient rejoindre le Centre technique national de Sidi Moussa dans la soirée. Hier, le staff avait programmé une séance d’entraînement tactique. En tout cas, le sélectionneur national sait bien que la rencontre de mardi n’a rien à voir avec celle disputée au stade du 5 Juillet à Alger face à la Tanzanie et remportée sur le score de quatre buts à un. L’Iran, qualifié au Mondial de cet été, est un adversaire d’un tout autre calibre. C’est le second match amical et donc le véritable test pour Rabah Madjer lors de ce stage. Ce dernier a d’ailleurs affirmé, dans une déclaration faite à l’APS, que cette prochaine empoignade sera «différente» de celle de jeudi dernier, l’Iran étant, d’après lui, «un pays asiatique», avec «un style de jeu différent». «Pour avoir une meilleure idée sur l'Iran et sur son style de jeu, je compte visionner son match amical contre la Tunisie (la Tunisie s’est imposée face à l’Iran vendredi soir à Tunis sur le score d’un but à zéro, ndlr).» «De mon côté, je ne vais pas dire si je reconduirais le même schéma tactique, en 3-4-2-1, ou pas. On verra bien d'ici à mardi prochain», a-t-il ajouté. A vrai dire, avec la libération de Brahimi et Bentaleb, pour blessure, et Bennaceur, mis à la disposition de son club, le coach est obligé d’apporter des changements à son onze entrant. Bien évidemment, cela ne veut pas dire qu’il optera pour un autre schéma tactique. Bentaleb avait été aligné d’entrée face à la Tanzanie, alors que Bennaceur l’avait remplacé à l’heure de jeu. Les deux récupérateurs seront absents mardi. De plus, Taider est apparemment blessé aussi. Peu de solutions se présentent donc pour Madjer. En tout cas, le staff a deux jours encore pour préparer son plan pour l’Iran. Il est utile de rappeler que ce dernier, entraîné par Carlos Quieroz, est dans le groupe B du Mondial 2018 en compagnie de l’Espagne, du Portugal et du Maroc. L’Algérie prépare par contre les éliminatoires de la CAN-2019 qui reprendront au mois de septembre prochain. Les Verts sont dans le groupe D avec le Bénin, la Gambie et le Togo, battu en juin de l’année dernière, lors de la première journée, par un but à zéro.  

Pal Schmitt décoré de l'ordre du Mérite du COA

En marge de la signature du protocole d’accord, hier matin au Musée olympique, entre les comités olympiques algérien et hongrois, qui concerne quatre disciplines (lutte, natation, escrime et gymnastique), l’ancien président de la Hongrie, Pal Schmitt
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Pal Schmitt décoré de l'ordre du Mérite du COA

En marge de la signature du protocole d’accord, hier matin au Musée olympique, entre les comités olympiques algérien et hongrois, qui concerne quatre disciplines (lutte, natation, escrime et gymnastique), l’ancien président de la Hongrie, Pal Schmitt, membre du CIO et double médailles d’or aux JO de Mexico 1968 et Munich 1972, a été décoré de l’ordre du Mérite olympique par le président du COA, Mustapha Berraf. «Cette distinction me fait chaud au cœur», a affirmé Schmitt. Pour sa part, le président du Comité olympique hongrois, Krisztian Kulcsar, a reçu la Médaille d’honneur au COA, en présence de l’ambassadrice de la Hongrie à Alger, Helga Katalin Pritz. Prenant la parole, Berraf a indiqué : «J’ai l’honneur de décerner la distinction de l’ordre du Mérite olympique algérien et la Médaille d’honneur olympique à deux personnalités, hôtes de l’Algérie, dont les noms et les états de service ne sont plus à présenter. Ces deux personnalités ont occupé des charges de prestige et de grandes responsabilités dans leurs différents domaines de prédilection ; elles s’en sont toujours acquittées avec honneur et dignité.» Le Centre fédéral d’escrime baptisé «Rudolph Karpati» C’est une première dans les annales du sport algérien. Le nouveau Centre fédéral d’escrime (El Mouradia) a été baptisé, jeudi, en présence du président de la FAE, Raouf Bernaoui, au nom de l'Hongrois Rudolf Karpati, légende de l’escrime mondiale, avec ses six médailles olympiques dans l’épreuve du sabre, ses titres de triple champion du monde, etc. Après la fin de sa carrière, il a été président du Comité olympique hongrois.

Dame Coupe pour se relancer en championnat

C’est cet après-midi, à partir de 16h au stade du 5 Juillet (Alger), que le fameux match JS Kabylie-USM Blida, comptant pour les quarts de finale de la coupe d’Algérie, se disputera, avec comme enjeu une place dans le carré d’as de l’édition 201
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Dame Coupe pour se relancer en championnat

C’est cet après-midi, à partir de 16h au stade du 5 Juillet (Alger), que le fameux match JS Kabylie-USM Blida, comptant pour les quarts de finale de la coupe d’Algérie, se disputera, avec comme enjeu une place dans le carré d’as de l’édition 2018 de Dame Coupe. Ainsi, et après toute la polémique entourant la domiciliation de ce match, qui pour rappel devait se jouer il y a exactement trois semaines, à l’instar des trois autres quarts de finale, place désormais au football et cette affiche particulière, et pour cause : bien que la JSK est sous la menace de la relégation et que l’USMB est lanterne rouge du championnat, les deux équipes ne cachent pas leurs ambitions dans cette épreuve, en visant dans un premier temps à atteindre le carré d’as, et de songer à une finale et même une consécration. Mal en point en championnat, Canaris et Blidéens font tout de même de la coupe un double objectif, celui de se qualifier et d’en faire une motivation en championnat. Contrainte d'accueillir son adversaire du jour sur «terrain neutre», suite aux refus de la commission de coupe d’homologuer le stade du 1er Novembre Tizi Ouzou et sa proposition de jouer au stade du 8 Mai 1945 de Sétif, la JSK est loin d’être handicapée en évoluant au stade du 5 Juillet. S’attendant à une affluence record de ses fans, nombreux au centre du pays, la JSK sera privée de trois de ses joueurs-clés, à savoir Ferhani (blessé), Belkalem et Boukhenchouche (convoqués en EN). A propos de ces absences et les objectifs, Bouzidi, le coach des Canaris, s’est montré confiant : «On nous a assigné la finale de la coupe d’Algérie comme objectif, même si le but principal demeure le maintien. C’est un bonus et on jouera nos chances à fond face à Blida et dans cette épreuve. Pour les absents, ce sera difficile de les remplacer, mais on a des joueurs qui peuvent pallier l'absence de certains d'entre eux.» Côté direction, Cherif Mellal a motivé ses poulains, il y a quelques jours, en promettant 100 millions de prime en cas de qualification en…finale. A cet effet, il faudra déjà battre Blida, et faire de même en demi-finale. Jamais deux sans trois ! Du côté des Blidéens, soulagés d’évoluer sur un terrain neutre et à quelques encablures de la ville des Roses, l’occasion serait propice d’aller chercher ce ticket pour le carré d’as. Kamel Bouhellal, le coach de l’USMB, y croit : «Au vu des données de la rencontre, je pense qu’on part à égalité de chances avec la JSK, qui n’est plus à présenter. On a des atouts à faire valoir et on jouera pour la qualif’.» Bouhellal peut compter sur l’ensemble de son effectif, exception faite de son milieu de terrain Si Ammar, et surtout sur la volonté de ses poulains, motivés par une place dans le carré d’as et une prime de 40 millions promise par la direction. Il est à signaler que statistiquement parlant, c’est la JSK qui part avec les faveurs des pronostics, en voulant confirmer l’adage qui dit «jamais deux sans trois», pour avoir éliminé l’USMB à deux reprises en coupe. Une première fois en 1970 (16es de finale) et la seconde en 1994 (demi-finale), avec une consécration au bout. La JSK compte aussi sur son expérience dans l’épreuve, elle qui visera la 19e demi-finale de son histoire, en comptabilisant 10 finales dont 5 gagnées, contrairement à l’USMB qui aspire à une 7e demi-finale, dans l’espoir de disputer une seconde finale, après celle perdue en 1996 face au MC Oran.

Des satisfactions et des erreurs à corriger

La sélection nationale de football a disputé, jeudi au stade du 5 Juillet, son premier match amical contre la Tanzanie, qui s’est soldé par une large victoire de 4 à 1, dont un doublé de Bounedjah, un but contre son camp de Kabombé et un but du capita
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Des satisfactions et des erreurs à corriger

La sélection nationale de football a disputé, jeudi au stade du 5 Juillet, son premier match amical contre la Tanzanie, qui s’est soldé par une large victoire de 4 à 1, dont un doublé de Bounedjah, un but contre son camp de Kabombé et un but du capitaine Medjani. L’unique but tanzanien a été inscrit par Shiza de la tête sur une erreur de marquage. Au cours de ce match, le sélectionneur national, Rabah Madjer, a voulu donner leur chance à certains joueurs, incorporés en fin de match, tels que Abid, Benmoussa, El Mellali, et essayé un nouveau système en 3-4-3 avec trois axiaux et un milieu de terrain, inédit en l’absence de Brahimi, forfait pour blessure. Un système qui a laissé paraître quelques défaillances en défense, en dépit du fait que la Tanzanie ait évolué avec un seul attaquant, Samata en l’occurrence, soutenu par le remuant Shiza. Ces deux joueurs ont pu créer quelques occasions qui n’ont pas été bien exploitées. Carl Medjani paraissait très lourd devant les accélérations de Samata. Ceci dit, le résultat ne reflète pas la physionomie du match, même si les Verts ont pu développer par moment de belles phases de jeu avec un enchaînement de passes, comme celle ayant conduit au troisième but de Medjani, ou encore le but manqué par Bounedjah. L’absence d’un véritable meneur de jeu au milieu du terrain s’est fait nettement ressentir, alors que Boukhenchouche, aligné pour la première fois, était hors coup, tout comme Bentaleb qui revient d’une blessure. La grande satisfaction aura été le centre-avant Bounedjah. Rabah Madjer a dû tirer des enseignements pour mieux aborder le prochain match contre l’Iran, le 27 mars à Graz (Autriche), afin d'améliorer son système de jeu ou revenir au système habituel 4-4-2 comme en fin de match face à la Tanzanie et la République Centrafricaine. Car contre l’Iran, un adversaire de taille et de surcroît mondialiste, les erreurs commises jeudi face à la Tanzanie seront payées cash. L’entraîneur adjoint, Djamel Menad, qui a emboîté le pas à Madjer en boycottant la presse, reconnaît d’ailleurs que face à l’Iran ce sera plus difficile. «Le résultat enregistré face à la Tanzanie est très encourageant. Nous avons pu voir à l’œuvre de nouveaux joueurs et adopter un nouveau système de jeu en 3-4-3 où on a noté quelques satisfactions, mais aussi quelques erreurs. Ce sera plus difficile face à l’Iran», a-t-il déclaré en fin de match. Sans Brahimi, Bentaleb, Bennacer et… Slimani Pour ce qui est du match face à l’Iran, l’entraîneur national va sans doute effectuer quelques changements dans l’équipe type, même s’il sera contraint de faire sans plusieurs joueurs qui ont quitté le stage pour diverses raisons, à l’image de Brahimi et Bentaleb, forfait pour cause de blessures, en passant par le jeune Bennacer qui a rejoint Empoli sur demande de son club, alors que le retour de Slimani est des plus incertains, puisque même Menad annonce un forfait probable. Face à l'Iran, on sera fixés sur la réaction des joueurs et la nouvelle stratégie de Madjer.

F1 - GP d’Australie Hamilton, l’éternel favori

Avant l’ouverture de la saison de Formule 1 à Melbourne ce dimanche, Lewis Hamilton donne l’impression que tout autre résultat qu’une victoire, pour mettre les choses au point rapidement, serait un semi-échec. «Certains se demandent ce qui me pou
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F1 - GP d’Australie Hamilton, l’éternel favori

Avant l’ouverture de la saison de Formule 1 à Melbourne ce dimanche, Lewis Hamilton donne l’impression que tout autre résultat qu’une victoire, pour mettre les choses au point rapidement, serait un semi-échec. «Certains se demandent ce qui me pousse à continuer en F1 après avoir déjà gagné quatre titres mais la réponse c’est que je remets tous les compteurs à zéro chaque année», affirme-t-il. Quoi qu’il en dise, le pilote Mercedes fait figure de grandissime favori à sa succession. Et il est évidemment désireux de tuer dans l’œuf toute velléité de résistance à son joug, qu’il s’agisse du quadruple champion du monde Sebastian Vettel (Ferrari), du jeune prodige néerlandais Max Verstappen (Red Bull), ou même de son équipier finlandais Valtteri Bottas. Comme son rival allemand, Hamilton compte deux succès à Melbourne (2008 et 2015). L’an passé, Vettel s’était imposé en Australie, donnant le ton d’une saison où la Scuderia a longtemps cru que son pilote parviendrait à conquérir un cinquième titre. «Ce qui s’est passé en 2017 importe peu à mes yeux car ce qui compte pour moi, c’est ce qu’il va arriver cette saison», assure Hamilton, devenu vegan l’an passé. Le Britannique de 33 ans dit s’interroger actuellement sur la suite à donner à sa carrière à l’horizon 2020. «Je pense qu’on a dépassé le pic de sa carrière quand il devient plus difficile d’atteindre le niveau requis de forme physique et que l’intérêt commence à décliner, mais je ne me sens absolument pas à ce stade», confie-t-il. 45 millions Hamilton n’a pas encore prolongé avec Mercedes alors que son contrat s’achève en fin d’année, mais c’est tout comme. Le seul suspense concerne sa future rémunération, qui devrait dépasser les  45 millions d’euros par saison. Pour celui qui reste sur quatre poles d’affilée à Melbourne, il est nécessaire d’entretenir l’incertitude sur les forces et faiblesses réelles de la concurrence. Ce flou donnera plus de valeur à un éventuel cinquième titre, qui en ferait l’égal au palmarès de l’Argentin Juan Manuel Fangio. «Nous sommes peut-être légèrement derrière ou devant Red Bull, mais ils vont apporter des améliorations ce week-end, donc cela va être serré», assure l’ancien pilote de McLaren, très peu disert en conférence de presse hier. Son patron, l’Autrichien Toto Wolff, a renchéri en expliquant s’attendre à  «une bagarre à trois passionnante» entre Mercedes, Ferrari et Red Bull. Reste que depuis 2014, seul l’Allemand Nico Rosberg a tenu tête à Hamilton tout le long d’une saison, grâce surtout à une meilleure fiabilité, et alors qu’il disposait de la même voiture. Avant les premiers tours de roue aujourd’hui lors des essais libres, le Barnum de la F1 se prend néanmoins à rêver fugitivement que l’implacable domination de Mercedes dans l’ère du V6 hybride cesse. A défaut, la catégorie reine du sport automobile devra peut-être se contenter d’une redistribution des cartes plus modeste. La neige à Barcelone lors des essais de pré-saison a en effet bousculé un certain nombre de programmes de développement parmi les dix équipes du paddock. L’hymne Un grand nombre d’entre elles compte sur l’introduction de dispositifs aérodynamiques pas entièrement testés pour tirer leur épingle du jeu, au risque de se fourvoyer. Pour apporter du piquant, la pluie devrait s’inviter au rendez-vous de cette première course disputée avec le «halo»: les qualifications de samedi seront très certainement humides et cela pourrait également être le cas de la course dimanche. Les nouveaux pneumatiques Pirelli joueront un rôle encore plus crucial que d’habitude. D’autant que les changements de température soudains de l’automne austral pourraient avoir des conséquences inattendues sur un revêtement du reste assez bosselé. Confrontée aux reproches nourris des fans sur le manque de spectacle en course, la FIA a de son côté ajouté une troisième zone de DRS où les pilotes peuvent activer leur aileron arrière, afin de tenter de provoquer plus de dépassements. Il s’agit de la première fois depuis son intronisation en 2011 que trois zones de DRS sont installées sur un circuit. Autre première, un hymne officiel de la F1 va être joué ce week-end. L’Américain Brian Tyler, son auteur, a également composé la bande originale de plusieurs épisodes de la saga hollywoodienne «Fast and Furious». Rapide et furieux, soit exactement ce que Liberty Media, la FIA et les spectateurs espèrent voir sur la piste pour la saison à venir, n’en déplaise à Hamilton.

Les Lasmar au chevet des stars brésiliennes

Rodrigo Lasmar, le médecin de la sélection brésilienne qui a opéré Neymar, a de qui tenir : il y a plus de 30 ans, son père Neylor avait réparé le ménisque de Zico pour lui permettre de participer au Mondial 1986. La vocation du jeune Rodrigo est
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Les Lasmar au chevet des stars brésiliennes

Rodrigo Lasmar, le médecin de la sélection brésilienne qui a opéré Neymar, a de qui tenir : il y a plus de 30 ans, son père Neylor avait réparé le ménisque de Zico pour lui permettre de participer au Mondial 1986. La vocation du jeune Rodrigo est d’ailleurs en partie née au Mexique, quand, encore adolescent, il a eu le privilège d’accompagner son paternel lors de cette Coupe du monde. «Il a rencontré tous les joueurs et était très impliqué», a raconté   récemment Neylor Lasmar au journal O Estado de Minas. A 46 ans, le chirurgien orthopédiste perpétue la tradition familiale, au chevet des stars de la Seleçao. Début mars, c’est à lui qu’est revenue la lourde responsabilité d’opérer le pied le plus cher de la planète. «Au final, c’est le patient qui doit décider du chirurgien qui va l’opérer. Le maître-mot, c’est la confiance», explique, à l’AFP, José Luiz Runco, à qui Rodrigo Lasmar a succédé à la tête du service médical de la Fédération brésilienne, en 2014. Après la blessure de Neymar, le 25 février, de nombreuses spéculations ont entouré pendant plusieurs jours le temps d’indisponibilité de l’attaquant et le type de traitement qu’il devrait suivre. Il a fallu attendre que le docteur Lasmar vienne spécialement de Russie, où il participait à un congrès de la Fifa à Sotchi, pour que la décision finale soit prise, après une réunion avec les dirigeants du Paris SG et les proches du joueur. Et le verdict est tombé : non seulement Neymar sera opéré, mais l’intervention aura lieu au Brésil, à Belo Horizonte, ville natale du médecin de la Seleçao. Une décision qui en a surpris plus d’un, Paris disposant d’hôpitaux de pointe et de spécialistes de renom. Polémique La tension est montée d’un cran quand, une fois arrivé au Brésil, Rodrigo Lasmar a affirmé que le joueur souffrait d’une «fracture» du cinquième métatarsien et non d’une «fissure», comme l’avait dit le club parisien. Il a également jeté un pavé dans la mare en annonçant que le temps d’indisponibilité du joueur serait de «deux mois et demi à trois mois», tandis que le père de Neymar lui-même parlait de «six à huit semaines» quelques jours plus tôt. Le lendemain, un article du journal L’Equipe citait des sources proches du PSG accusant le médecin d’avoir menti sur la vraie nature de la blessure. Mais pas de quoi perturber le docteur Lasmar, qui s’est exécuté sans trembler le samedi 3 mars, en 1h15, sous la supervision du professeur Gérard Saillant, chirurgien français célèbre pour avoir opéré le genou d’un autre crack brésilien, Ronaldo. «Il était prêt à faire face à une telle pression, c’est quelqu’un de très discipliné», souligne le docteur Runco. «Nous avons discuté avant l’opération. Il m’a dit qu’il en avait parlé avec le professeur Saillant et qu’ils avaient décidé que ce serait le meilleur traitement», a expliqué celui qui avait pris le docteur Lasmar sous son aile en 2001, quand il débutait en tant que médecin assistant de la Seleçao. Ronaldo A l’époque, le natif de Belo Horizonte était déjà membre du staff médical de l’Atletico Mineiro, club de sa ville, où il officie toujours, comme son père avant lui. Sa première Coupe du monde, en 2002, est aussi la dernière lors de laquelle le Brésil a soulevé le trophée. «Ce qui m’a le plus marqué, c’est la récupération de Rivaldo et Ronaldo, dont la présence était incertaine», a rappelé Rodrigo Lasmar dans un entretien au journal Hoje em Dia. Lors de son Mondial, les deux attaquants avaient brillé, surtout Ronaldo, qui a fini meilleur buteur de la compétition avec huit réalisations. A l’époque, l’attaquant était considéré comme un miraculé, après avoir souffert de plusieurs graves blessures au genou. La blessure de Neymar est moins sérieuse, mais tout le Brésil espère qu’il pourra amener la Seleçao vers un sixième titre en Russie. Quoi qu’il arrive, Neylor Lasmar est fier de son fils. «Pour nous, c’est gratifiant qu’il ait été appelé à opérer Neymar, comme moi avec Zico auparavant. C’est une fierté d’opérer un crack.»