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ES Sétif : Le syndrome des blessures

Avant la fin de la demi-heure de la première mi-temps du match aller  (si on peut l’appeler ainsi) ESS-Real Bangui, du premier tour de la Ligue des champions d’Afrique, Rachid Nadji est violemment bousculé par un défenseur. L’attaquant sétifien
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ES Sétif : Le syndrome des blessures

Avant la fin de la demi-heure de la première mi-temps du match aller  (si on peut l’appeler ainsi) ESS-Real Bangui, du premier tour de la Ligue des champions d’Afrique, Rachid Nadji est violemment bousculé par un défenseur. L’attaquant sétifien est obligé de céder sa place. Il sera par la suite évacué vers le CHU de Sétif, où l’on diagnostiquera une méchante blessure qui va, une fois de plus, l’éloigner des terrains. Contraint déjà, l’exercice dernier, à un congé maladie de plus de 5 mois, l’ex-Usmiste doit une nouvelle fois observer un «temps mort». Au grand dam de Benchikha qui ne sait plus où donner de la tête avec la cascade de forfaits qui hante ses nuits. Ainsi, le champion sortant ne sera pas très outillé cet après-midi. La réception du CRB en match avancé de la 20e journée s’annonce compliquée. Les Ententistes vont devoir fouler la verdoyante pelouse du chaudron avec un effectif décimé. Les pensionnaires de l’infirmerie qui ne désemplit pas, Ibouziden, Aiboud, Bakir, Banouh et Rachid Nadji, sont out. Devant prendre son mal en patience, le gardien Zeghba, qui n’a toujours pas purgé ses 4 matches de suspension, manquera lui aussi cette confrontation. Les malheurs de l’ex-portier de l’USMH font l’affaire de Khairi qui va être titularisé pour la 5e fois consécutive. L’indisponibilité de deux attaquants (Banouh et Nadji) et deux éléments du milieu de terrain, en l’occurrence Aiboud et Bakir, pose problème à Benchikha, ne pouvant manœuvrer à sa guise. En faisant confiance au jeune Boussif, principale satisfaction du dernier ESS-Real Bangui, le coach ententiste qui a réussi son coup de poker est contraint une nouvelle fois de puiser dans l’effectif de l’équipe «espoirs». Et ce, rien que pour compléter la  liste de 18 joueurs devant figurer sur la feuille de match. Broyant du noir en compétition nationale, puisqu’il n’a gagné aucun match depuis l’entame de la phase retour, le onze phare de Aïn Fouara est cloué au pilori. Avec 26 points gagnés au cours de 19 rounds disputés, la cagnotte est à la fois maigre et catastrophique pour un gros budget. La crise des résultats à domicile risque de bloquer davantage les camarades de Djahnit qui fouleront le périmètre avec une grosse boule au ventre. L’enjeu va probablement tétaniser les hommes de Benchikha qui auront en face d’eux un CRB lui aussi mal en point.  

Mouloudia d’Alger : Cap sur le CSC

De retour à Alger tôt dans la matinée de lundi, après un périple de quatre jours en terre congolaise où elle s’est inclinée dimanche après-midi face à l’AS Otoho (2-0), en match aller du tour préliminaire de la Ligue des champions d’Afrique, l
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Mouloudia d’Alger : Cap sur le CSC

De retour à Alger tôt dans la matinée de lundi, après un périple de quatre jours en terre congolaise où elle s’est inclinée dimanche après-midi face à l’AS Otoho (2-0), en match aller du tour préliminaire de la Ligue des champions d’Afrique, l'équipe du MCA n’a pas eu de répit. Confrontés à un marathon depuis leur entrée dans l’épreuve continentale, les Mouloudéens ont repris le chemin des entraînements hier matin à Aïn Benian pour préparer les prochaines échéances et plus particulièrement le choc face au leader du championnat, le CS Constantine, prévu ce vendredi, en match comptant pour la 20e journée. Bien que très affectés par la défaite concédée au Congo, dans des conditions particulières et surtout un arbitrage scandaleux, les capés du coach Bernard Casoni ont été dans l’obligation de tourner momentanément la page de la LDD, pour se concentrer pleinement sur ce décisif rendez-vous de vendredi prochain, et pour cause. Le Doyen, qui accuse un retard de neuf points sur son adversaire du jour, jouera sa saison ce week-end, avec une victoire impérative pour garder ses chances intactes dans la course au podium. Casoni, qui aura la lourde tâche de retaper le moral de ses troupes après la débâcle du Congo, aura le loisir de récupérer quelques éléments blessés, à l’image d’Amada et probablement Bedbouda, pour aller chercher un succès, qui servira sans aucun doute à gonfler à bloc les Algérois avant d’aborder, cinq jours plus tard, la manche retour face à l’AS Otoho. A signaler enfin que la direction du MCA, et en prévision du choc face au CSC, a décidé d’accorder 5000 places aux Constantinois sur les 50 000 que l’OCO mettra en vente, dès demain, au niveau du stade du 5 Juillet, alors qu’il était question au départ de 3000 billets seulement pour les Sanafirs.

USMA : Benkhemassa et Yaya out face à l’USMH

Le joueur de l’USM Alger, Mohamed Benkhemassa, a écopé d’une suspension d’un match pour contestation de décision, lors du match de son club face à l’USM Bel Abbès, comptant pour la 19e journée. Il sera donc absent, ce vendredi, face à l’USM E
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USMA : Benkhemassa et Yaya out face à l’USMH

Le joueur de l’USM Alger, Mohamed Benkhemassa, a écopé d’une suspension d’un match pour contestation de décision, lors du match de son club face à l’USM Bel Abbès, comptant pour la 19e journée. Il sera donc absent, ce vendredi, face à l’USM El Harrach, à l’occasion de la rencontre de la 20e journée qui aura lieu au stade du 1er Novembre de Mohammadia. Ce n’est pas le seul élément usmiste qui ratera ce match puisque, selon certaines informations, Faouzi Yaya ne sera pas là non plus, car apparemment il ne sera pas encore remis de sa blessure. L’ancien joueur du MOB avait été obligé de quitter le terrain lors du dernier match. Le doute persiste, par contre, au sujet d’Oussama Chita. Il faut noter, par ailleurs, qu’au lendemain de ce match face à Sidi Bel Abbès, qui  s’est soldé par une défaite sur le score de 2 buts à 1, le staff technique avait fait appel à trois joueurs de la réserve, en l’occurrence le défenseur central Abdeldjalil Semane, le milieu récupérateur Aymen El Orfi, ainsi que le meneur de jeu Réda Boumechera, pour rejoindre l'équipe senior. L’entraîneur Miloud Hamdi veut sûrement apporter du sang neuf au groupe en comptant sur la fougue des plus jeunes. Il faut rappeler que la reprise des entraînements a eu lieu dans des conditions difficiles. Des supporters mécontents avaient perturbé la séance de dimanche dernier, poussant même la direction à l’annuler carrément. Le lendemain, tout était rentré dans l’ordre. En tout cas, le groupe est forcé de réagir ce vendredi, lors du derby face à El Harrach, sinon les choses ne feront que se compliquer davantage. D’ailleurs, des informations font déjà état de démarches entreprises par les responsables du club en vue de faire appel à un autre entraîneur. Il faut noter, en dernier lieu, que l’équipe réserve de l’USMA va affronter l’USMH, chez ce dernier, en quart de finale de la coupe d’Algérie. En cas de victoire, les Rouge et Noir recevront, en demies, le vainqueur de l’empoignade entre le CR Belouizdad et la JS Kabylie.  

Equipe Nationale : La Tanzanie et l’Iran au menu des Verts

La Fédération algérienne de football (FAF) a confirmé le programme de l’équipe nationale du mois de mars prochain, qui sera ponctué par deux matchs amicaux. En effet, les Verts vont disputer deux rencontres de préparation, respectivement le 22 mar
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Equipe Nationale : La Tanzanie et l’Iran au menu des Verts

La Fédération algérienne de football (FAF) a confirmé le programme de l’équipe nationale du mois de mars prochain, qui sera ponctué par deux matchs amicaux. En effet, les Verts vont disputer deux rencontres de préparation, respectivement le 22 mars contre la Tanzanie, au stade du 5 Juillet, et le 27 mars contre la sélection d’Iran, dans la ville de Graz, en Autriche. Ce programme a été officiellement confirmé lundi, lors de la réunion qui a regroupé, au Centre technique national (CTN) de Sidi Moussa, le manager général de l’EN, Hakim Medane, et le sélectionneur national, Rabah Madjer, en présence des deux assistants de celui-ci, Meziane Ighil et Djamel Menad, annonce la FAF sur son site officiel. En prévision de ces deux matchs amicaux, la sélection nationale entrera en stage de préparation entre le 19 et le 27 mars prochain avec la participation des joueurs évoluant à l’étranger. Le sélectionneur national, Rabah Madjer, qui prépare les éliminatoires de la CAN-2019 dont la prochaine rencontre contre la Gambie aura lieu en septembre prochain, affirme que le match amical contre le Portugal devrait se jouer en juin prochain. Cette rencontre, tout comme celle face à l’Iran, ont été programmées sur demande des équipes adverses qui préparent le Mondial 2018 en Russie contre le Maroc. Un autre stage pour les joueurs locaux a été programmé par le staff technique du 24 au 28 février au CTN de Sidi Moussa, en prévision des prochaines échéances et pour éventuellement choisir les joueurs susceptibles de renforcer l’équipe nationale A. Ce stage sera ponctué par une rencontre amicale contre la sélection de Palestine ou, le cas échéant, par un match d’application entre les joueurs. La liste des joueurs convoqués sera communiquée dans les prochains jours.

Equipe Nationale : Aziz Bouras résilie son contrat

L'entraîneur des gardiens de but de l’équipe nationale de football, Aziz Bouras, a officiellement résilié son contrat avec la FAF, a annoncé dimanche soir l'instance fédérale sur son site officiel. Bouras, qui a signé son contrat en juin 2017, a év
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Equipe Nationale : Aziz Bouras résilie son contrat

L'entraîneur des gardiens de but de l’équipe nationale de football, Aziz Bouras, a officiellement résilié son contrat avec la FAF, a annoncé dimanche soir l'instance fédérale sur son site officiel. Bouras, qui a signé son contrat en juin 2017, a évoqué des raisons purement personnelles. Dans une déclaration au site de la FAF, il a affirmé : «Effectivement, j’ai rencontré le président de la FAF pour faire le point et mettre un terme à ma collaboration avec la Fédération pour des raisons personnelles. Je souhaite beaucoup de réussite à la sélection nationale et au staff technique. Pour moi c'est une grande fierté d'avoir collaboré même si c'était à court terme.» Ainsi l’information qui a circulé il y a quelques jours vient d’être confirmée par la FAF. La séparation entre les deux parties s’est faite à l’amiable, ajoute la même source. A rappeler que Aziz Bouras (53 ans) a fait l'essentiel de sa carrière au FC Sochaux (France). Il avait travaillé pendant cinq ans à Lekhwiya (D1/Qatar) avec l’entraîneur algérien Djamel Belmadi.  

Y a-t-il magouille à la DJSL ?

Les quelque 700 clubs sportifs amateurs (CSA) et autres associations sportives recensés au niveau de la wilaya d’Alger n’ont toujours pas touché la subvention de gestion de wilaya de l’année 2017, alors que l'année 2018 est bien entamée. Plusieu
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Y a-t-il magouille à la DJSL ?

Les quelque 700 clubs sportifs amateurs (CSA) et autres associations sportives recensés au niveau de la wilaya d’Alger n’ont toujours pas touché la subvention de gestion de wilaya de l’année 2017, alors que l'année 2018 est bien entamée. Plusieurs responsables de ces clubs et associations se sont plaints de ce retard inexpliqué. Après investigation, il s’est avéré que ce sont les services financiers de la wilaya qui ont bloqué provisoirement les subventions pour manquement à la réglementation et absence de certains documents nécessaires. Les contrôleurs financiers (CF) de la wilaya d’Alger ont en effet rejeté la majeure partie des demandes de subvention adressées à leurs services, à la fin de l’année 2017, par la Direction de la jeunesse, des sports et des loisirs (DJSL) d’Alger. Selon une source de la wilaya, sur les 617 demandes adressées par la DJSL pour bénéficier de la subvention de 2017, plus de la moitié ont été jugées non conformes par le CF, et donc rejetées, relevant une grave faille dans l’établissement des dossiers et de leur conformité, et dont le responsable n’est autre que la DJSL d’Alger, puisqu’elle était censée adresser les demandes conformément aux dispositions de la loi. En approfondissant les investigations, on a pu obtenir les PV de rejet provisoire adressés par le CF (documents en notre possession), où sont clairement précisés les motifs. Dans les faits, tout dossier de subvention envoyé par la DJSL doit être accompagné de documents justificatifs qui sont : l’agrément du club ou de l’association, le statut-type et la conformité, le contrat programme et le plan d’action, le PV d’installation d’un commissaire aux comptes, le bilan financier, le quitus du Trésor et enfin un rapport d’audit. Les 617 dossiers de demande de subvention déposés par la DJSL au niveau de la wilaya, dans leur majorité ne satisfont pas à la réglementation en raison de l’absence d’un ou de plusieurs de ces justificatifs.   Graves défaillances à la DJSL Ayant déjà pris un retard considérable pour demander les subventions de gestion des associations sportives de la wilaya d’Alger, puisque les clubs devaient disposer de cet argent en 2017 pour entamer la saison sportive 2017-2018, la DJSL se distingue par cette grave tare, en adressant des dossiers incomplets. Une défaillance monumentale sachant que le rejet concerne le gros des demandes (près de 500 sur les 617 déposés). Des erreurs flagrantes, et surtout inadmissibles pour une institution censée être rompue à ce genre d’exercice (demandes de subvention), qui s’effectue chaque année, et suscite des interrogations sur le fait que les services de la DJSL ont commis autant d’erreurs, avec des failles à grande échelle. Une situation qui pénalise lourdement les clubs sportifs alors que la saison sportive 2017-2018 est déjà bien entamée, en n’ayant toujours pas reçu leur budget de gestion de la saison en cours, alors que celui de 2018 devrait déjà être prêt. Le DJS pointé du doigt Pour comprendre comment la DJSL a pu commettre tant de bourdes dans les demandes de subvention à allouer aux clubs, au point d’être rejetée par le CF de la wilaya, on s’est rapproché des services concernés. Tant bien que mal, et malgré l’omerta imposée aux fonctionnaires de l’institution, certaines langues se sont déliées et des confidences seront faites. Ainsi, il ressort clairement que c’est le directeur de la jeunesse et des sports (DJS), Tarek Krach, qui en est le premier responsable, avec plusieurs griefs qui lui sont reprochés, notamment le fait qu’il se soit lui-même substitué à la commission chargée de la répartition du fonds de wilaya. Plusieurs sources nous ont confirmé, en effet, que M. Krach a établi la répartition d’un budget de 200 milliards de centimes et donné le quitus à 617 dossiers sans consulter personne. Une transgression flagrante du décret n°26 du 22 septembre 1996 fixant le règlement du fonds de wilaya de promotion des initiatives de la jeunesse et des pratiques sportives. Dans la section 4 du décret sous l’intitulé «La commission de wilaya d’étude et de répartition des aides et subventions», article 17, il est clairement mentionné que ladite commission est «présidée par le DJS et composée des membres suivants : le chef de service de la promotion de la jeunesse, le chef de service de la promotion des pratiques sportives, le chef de service de l’administration et de la formation, et enfin le directeur de l’investissement». Or, aucun de ces chefs de service n’a pris part à la répartition des 200 milliards sur les 617 clubs et associations sportives, et aucun PV ne le mentionne d’ailleurs. Pis encore, on a appris qu’aucun des chefs de service concernés n’a été installé à son poste, soulevant un autre problème et une défaillance dans le fonctionnement de la DJSL. Installé depuis plus de deux ans à la tête de la DJSL, Tarek Krach serait à l’origine de ce blocage, en refusant d’installer les chefs de service en question, désignés par le ministère, défiant ainsi les autorités, au vu et au su de tout le monde.   Répartition douteuse des subventions Durant notre investigation, on a pu se procurer les dossiers des demandes de subvention 2017 établis par le DJS d’Alger et adressés à la wilaya au mois d’octobre dernier, pour un montant de 200 milliards de centimes répartis sur 617 clubs et associations sportives. Le document montre des disparités flagrantes, avec une répartition disproportionnée des montants alloués aux clubs. Ainsi, on constate que certaines associations sportives avec une seule discipline se sont vu allouer des sommes largement conséquentes par rapport à des clubs qui gèrent plusieurs disciplines à la fois. Outre ce constat, on notera aussi que plusieurs nouveaux clubs et associations fraîchement agréés, se sont vu allouer des sommes plus conséquentes que d’autres dans le même cas, alors que le barème a été fixé à 50 millions de centimes pour toute association sportive créée récemment. Des tares relevées donc aussi bien dans les dossiers des demandes de subvention, que dans la manière et la répartition du fonds de wilaya, qui devraient interpeller les pouvoirs publics, au moment où nos tentatives de joindre le DJS pour nous donner sa version des faits sont restées infructueuses.

Risque de sanctions contre tout recours à la justice

Le conflit FAF-LFP prend une autre tournure. Après le recours introduit auprès du Tribunal arbitral des sports (TAS), suite à la suspension de la convention FAF-LFP, par la Fédération, le président de l’organe délibérant de la ligue, Mahfoud Kerb
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Risque de sanctions contre tout recours à la justice

Le conflit FAF-LFP prend une autre tournure. Après le recours introduit auprès du Tribunal arbitral des sports (TAS), suite à la suspension de la convention FAF-LFP, par la Fédération, le président de l’organe délibérant de la ligue, Mahfoud Kerbadj, a décidé de recourir à la justice. Cet acte ouvre la voie à un nouvel épisode qui aura, sans nul doute, des conséquences néfastes pour l’entité qui perdra la partie. D’un point de vue réglementaire Mahfoud Kerbadj, au nom de la ligue, a tous les droits de recourir au TAS pour annuler la décision de la fédération relative à la suspension de la convention qui lie les deux parties. Ce droit lui est reconnu par les textes qui régissent l’activité de football, c'est-à-dire les statuts de la FAF et de la LFP. Par contre, le recours à la justice risque de lui causer beaucoup de désagréments. La FIFA interdit la saisine des tribunaux ordinaires Les textes et règlements des instances footballistiques (FAF-LFP-FIFA-CAF) interdisent scrupuleusement tout recours aux tribunaux ordinaires sous peine de sanctions. Les statuts de la FAF précisent dans l’article 1 (dispositions générales), alinéa 3 : «La FAF est régie par les dispositions de la loi  12-05 du 12 janvier 2012 relative aux associations, de la loi 05-13 du 23 juillet relative à l’éducation physique et aux sports, du décret exécutif 14-330 du 27 novembre 2014 ainsi que des statuts de la FIFA et ses propres statuts». L’article 13, qui traite de l’obligation des membres, indique: «Les membres de la FAF ont les obligations suivantes, a) «observer et respecter en tout temps les statuts, règlements, directives et décisions de la FIFA, de la CAF et de la FAF et de les faire respecter par ses propres membres» …) «adopter une clause statutaire prévoyant que tous les litiges d’ordre arbitral impliquant le bureau fédéral ou l’un de ses membres et relatifs aux statuts, règlements, directives et décisions de la FIFA, de la CAF, de la CAF ou des ligues qui la composent, soient exclusivement soumis à la compétence des organes juridictionnels de la FAF ou du tribunal arbitral d’Alger»…g) «ne pas recourir à un tribunal ordinaire, ce recours étant interdit». L’article 15 des statuts de la FAF précise : «un membre de la FAF peut être exclu de sa qualité de membre de la FAF pour notamment 'violations graves des statuts, des règlements, des directives ou des décisions de la FIFA, de la CAF et de la FAF'». Le recours du président de la LFP à un tribunal ordinaire est considéré comme une faute grave et passible de sanctions. L’article 12 des statuts de la LFP, chapitre obligations des membres, mentionne : «les membres de la LFP ont les obligations suivantes : 'respecter en tout temps les statuts, règlements, directives et décisions de la FAF, de l’UNAF, de la CAF et de la FIFA …) œuvrer afin que tous les litiges d’ordre arbitral impliquant le conseil d’administration ou l’un de ses membres et relatifs aux statuts, règlements, directives et décisions de la FAF, UNAF, CAF, FIFA ou des clubs qui la composent seront exclusivement soumis à la compétence de la juridiction du Tribunal algérien des sports, de la CAF ou de la FIFA. Tout recours à un tribunal ordinaire est interdit». Kerbadj mise sur la loi relative aux associations Nul doute que Mahfoud Kerbadj mise sur l’article 17 de la loi 12-06 du 12 janvier 2012, relative aux associations, droits et obligations d’une association, chapitre 2, article 17 alinéa 2 : «L’association peut… ester en justice et entreprendre toutes les procédures devant les juridictions compétentes pour les faits en rapport avec son objet et ayant porté préjudice aux intérêts de l’association et aux intérêts individuels ou collectifs de ses membres». L’article en question contrevient à ceux des statuts de la CAF, de la FIFA et même de la FAF et de la LFP qui ne reconnaissent que le Tribunal arbitral des sports dans le cadre de la résolution d’un litige. L’article 53 des statuts de la CAF (litiges) souligne à l’alinéa 1 : «Les associations nationales, les ligues…ne sont pas autorisées à porter plainte devant une cour de justice les litiges les opposant à la CAF ou à d’autres associations, clubs ou membres de clubs… Elles s’engagent à soumettre tout litige à un arbitre nommé d’un commun accord et à respecter scrupuleusement ses décisions». L’alinéa 2 du même article va encore plus loin puisqu’il stipule : «si les lois d’un pays autorisent l’association nationale concernée, les clubs et leurs membres à faire appel aux tribunaux, l’association nationale devra insérer une disposition dans ses statuts stipulant que ses clubs et leurs membres renoncent librement à ce droit et qu’ils se soumettent aux décisions des arbitres choisis». Il n’y a aucune trace de cette mention ni dans les statuts de la FAF ni dans ceux de la LFP. Les statuts de la FIFA dans leurs articles 15 (statuts des associations membres) et 59 (obligations relatives à la résolution des litiges) qui avertissent «tout recours devant un tribunal ordinaire est interdit, sauf s’il est spécifiquement prévu par les règlements de la FIFA. Tout recours devant un tribunal ordinaire est également interdit pour tout type de mesures provisionnelles». Le football algérien n’est pas loin d’écoper de lourdes sanctions de la part de la CAF et de la FIFA, si ce dossier n’est pas rapidement géré conformément aux règlements des deux instances que la FAF a avalisés.                                                                                                                 

Des walis et des chèques

Ces derniers jours des walis ont volé au secours de clubs professionnels en leur octroyant des chèques conséquents pour faire face à la situation difficile qu’ils traversent. Ce geste généreux relance le débat sur la problématique des aides que l
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Des walis et des chèques

Ces derniers jours des walis ont volé au secours de clubs professionnels en leur octroyant des chèques conséquents pour faire face à la situation difficile qu’ils traversent. Ce geste généreux relance le débat sur la problématique des aides que les walis donnent aux clubs professionnels, en fait des sociétés par actions. Ces offrandes obéissent-elles à un agenda politique ? Beaucoup le pensent et sont confortés par le timing de cette action. Elle intervient dans une conjoncture un peu particulière, marquée par la proximité de la fin de saison et les problèmes que cette période charrie, surtout en matière de violence dans les stades. Alors que l’Etat crie sur tous les toits que la conjoncture est difficile et que les aides et subventions seront bien contrôlées et encadrées, il n’empêche que des walis ouvrent le robinet en escomptant que ce geste permettra aux clubs de souffler et de calmer les esprits des supporters qui commencent à montrer des signes d’impatience par rapport au classement et aux conséquences qui pourraient en découler en fin de saison. L’argent donné aux clubs vise-t-il à garantir la paix sociale de plus en plus menacée par ce qui se passe dans certains stades ? Il est regrettable de constater que cette manne financière distribuée par des walis n’est pas étendue à l’ensemble des clubs et wilayas. Il y a une forme de discrimination insupportable. Alors que des centaines de clubs n’ont pas encore vu la couleur d’un dinar depuis le début de la saison, d’autres, plus chanceux, voient des walis voler à leur secours pour boucler financièrement la saison. Faut-il rappeler que la loi interdit formellement de distribuer des subventions aux clubs professionnels. Tout le monde sait que cet interdit est contourné grâce au versement de cet argent au club sportif amateur (CSA) qui s’empresse ensuite de l’injecter sur le compte de la société sportive par actions (SSPA). La Constitution précise bien que les Algériens sont égaux en droits et en devoirs. Que dire alors, lorsque des walis donnent de l’argent à des clubs et que d’autres ne le font pas. Les Algériens ne vivent-ils pas tous sous le même toit ?

CS Constantine : Une contre-performance à méditer

Flamboyant face aux grosses cylindrées du championnat, le CS Constantine peine à élever son niveau de jeu lorsqu’il joue chez lui face à des clubs menacés de relégation. Les supporters, qui n’ont pas caché leurs craintes de voir se répéter le
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CS Constantine : Une contre-performance à méditer

Flamboyant face aux grosses cylindrées du championnat, le CS Constantine peine à élever son niveau de jeu lorsqu’il joue chez lui face à des clubs menacés de relégation. Les supporters, qui n’ont pas caché leurs craintes de voir se répéter le scénario des matchs nuls contre l’O Médéa et l’USM Blida, ont fait savoir aux joueurs, de même qu’au staff technique et aux dirigeants, leur incompréhension et leur mécontentement concernant la manière dont les camarades de Benayada ont encore laissé filer deux précieux points, ce qui peut être déterminant pour la course au titre. Si les résultats des poursuivants ont, un tant soit peu, tempéré les ardeurs des fans clubistes, il n’en demeure pas moins que l’entraîneur Abdelkader Amrani, de même que le coordinateur général Tarek Arama doivent méditer cette énième contre-performance à Hamlaoui. A chaud, et voulant protéger ses éléments, le premier a déclaré assumer toute la responsabilité du nul de vendredi, ce qui n’est pas démenti pas certains de ses choix, notamment celui de faire avancer d’un cran Lamri, ou encore de ne pas avoir fait entrer Belamaïri plus tôt, Rebih n’étant pas en mesure d’apporter le plus souhaité en attaque. Quant au second, fidèle à son habitude, il a mis les critiques sur le dos de certains cercles qui ne veulent pas du bien au club, arguant que les supporters auraient été manipulés par d’anciens dirigeants mécontents de la performance du CSC cette saison. Cela dit, et malgré les absences, et le fait que les joueurs soient totalement passés à côté, il n’en demeure pas moins que l’état de la pelouse a été, cette fois-ci, quasi déterminant dans l’issue du match, en ce sens qu’Abid et ses coéquipiers n’ont à aucun moment pu construire le jeu, optant même, en seconde mi-temps, pour un style direct, qui a fait l’affaire des Harrachis cantonnés en défense, et lançant sporadiquement des contre-attaques. Cette situation risque de s’aggraver avec les perturbations météorologiques annoncées, et il est urgent que la direction de l’OPOW prenne les choses en main, d’autant plus qu’elle dispose d’une équipe de techniciens rodés à la maintenance et à l’entretien de la pelouse. Enfin, signalons qu’en prévision du choc de la prochaine journée face au MC Alger, le coach tlémcenien a programmé une rencontre d’application aujourd’hui à Hamlaoui, le groupe devant rejoindre Alger jeudi matin.   

La JSK s’enfonce

La Jeunesse sportive de Kabylie peine à remonter la pente et à s’éloigner du danger de la relégation. Le semi-échec concédé, samedi, au stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou, face à la formation du NAHD, laisse planer le doute sur le maintien de l
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La JSK s’enfonce

La Jeunesse sportive de Kabylie peine à remonter la pente et à s’éloigner du danger de la relégation. Le semi-échec concédé, samedi, au stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou, face à la formation du NAHD, laisse planer le doute sur le maintien de la JSK en Ligue 1. Les Canaris ont frôlé, de peu, la défaite. Ceci pour dire que le partage des points avec leurs hôtes a été vraiment laborieux. Le brin d’espoir né après leur qualification, la semaine dernière, en coupe d’Algérie, s’est évaporé devant une vaillante équipe du Nasria. L’entraîneur des Canaris, Noureddine Saâdi, a estimé, lors de sa rencontre avec la presse, à la fin du match joué à huis clos, que ses joueurs «ont fait une bonne prestation. D’ailleurs, a-t-il ajouté, ils n’ont pas baissé les bras même après avoir encaissé un but, juste à la reprise, en deuxième mi-temps. Ils ont pu égaliser mais sans malheureusement parvenir à inscrire un autre but. La situation est très difficile, mais on fera notre possible pour se prémunir de la relégation. C’est notre objectif. Je suis venu pour sauver l’équipe de la relégation et je ferai tout pour y arriver», a déclaré le coach des Jaune et Vert. Le résultat du match n’a pas laissé insensibles les supporters de la JSK. Certains inconditionnels du club ont tenté de pénétrer dans le vestiaire, à la fin de la rencontre, pour demander des explications à l’entraîneur des Canaris. Ce dernier a souligné que «ceux qui veulent demander des explications sur les résultats de notre équipe auraient dû le faire bien avant. Je me pose la question sur leurs réelles motivations». De son côté, Cherif Mellal, élu mercredi dernier par le conseil d’administration de la SSPA-JSK, président du club, s’est abstenu de toute déclaration à la presse, à la fin du match. Il s’est juste entretenu pendant un bon moment, dans les vestiaires, avec l’entraîneur Noureddine Saâdi, avant que ce dernier ne sorte pour la traditionnelle conférence de presse. Le staff technique, les dirigeants et même les supporters du club s’inquiètent du sort de la JSK, qui risque la descente aux enfers, eu égard aux mauvais résultats enregistrés par les Canaris qui affronteront, pour le compte de la prochaine journée du championnat, à l’extérieur, le DRB Tadjenanet, dans un match très difficile où les locaux seront, à coup sûr, déterminés à jouer le tout pour le tout afin de glaner les trois points de la victoire, car, ils sont, eux aussi, menacés de relégation tout comme les Jaune et Vert.

MCO 3 - DRBT 2 : Gharbi sauve les Hamraoua

Le match démarra tambour battant pour les locaux. Les Hamraoua, essorés après l’élimination en coupe d’Algérie, essayèrent tant bien que mal de prendre à défaut le Difaa qui tenait bon devant une attaque locale tantôt brouillonne, tantôt fébril
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MCO 3 - DRBT 2 : Gharbi sauve les Hamraoua

Le match démarra tambour battant pour les locaux. Les Hamraoua, essorés après l’élimination en coupe d’Algérie, essayèrent tant bien que mal de prendre à défaut le Difaa qui tenait bon devant une attaque locale tantôt brouillonne, tantôt fébrile au moment du dernier coup de rein. Il a fallu  attendre la 32' pour voir enfin le MCO débloquer la situation. Ainsi, sur un corner, suite à un cafouillage, Chibane d’une tête rageuse a mis le cuir dans les filets. Mais la bande de Daou a remis les pendules à l’heure par le biais d’un penalty pas évident. La sentence fut exécuté avec brio par Maroci (42'). Après la pause-citron, les poulains de Bououkaz sont sortis un peu de leur coquille en pressant bien l’arrière-garde des camarades de Meddahi. La seconde réalisation du MCO est venue suite à une contre-attaque qui a vu le keeper visiteur relâcher le cuir ce dont a profité Chibane pour doubler la mise (62’). Mais Belmokhtar a égalisé devant une défense dubitative à tout point de vue (80'). Alors que la partie s’acheminait vers la parité, une très belle combinaison du remuant Helaimia a permis à Gharbi, d’un splendide heading, de sauver son club d’une nouvelle crise (90’+1), une victoire à la Phyrrus qui propulsera les Hamraoua à une deuxième place au classement général.

Le Doyen à la reconquête de l’Afrique

Le Mouloudia d’Alger entame sa nouvelle aventure en Ligue des champions d’Afrique cet après-midi (15h30), en donnant la réplique à la formation congolaise de l’AS Otoho pour le compte de la joute aller du tour préliminaire de la prestigieuse compét
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Le Doyen à la reconquête de l’Afrique

Le Mouloudia d’Alger entame sa nouvelle aventure en Ligue des champions d’Afrique cet après-midi (15h30), en donnant la réplique à la formation congolaise de l’AS Otoho pour le compte de la joute aller du tour préliminaire de la prestigieuse compétition africaine. Les Algérois qui retrouvent la C1, sept ans après leur dernière participation, font de cette compétition un de leurs objectifs cette saison, avec ce souhait d’accrocher une seconde étoile au maillot du Doyen. Les Mouloudéens, qui ont pratiquement hypothéqué leurs chances de disputer le titre en championnat, après la défaite concédée mardi dernier à Médéa face à l’OM, font désormais de la Ligue des champions une priorité. A cet effet, les capés de Bernard Casoni doivent confirmer leur intention sur le terrain cet après-midi, en réalisant un résultat probant qui les mettrait sur la voie de la qualification, et ce, avant même la joute retour prévue dans 9 jours, à Alger. Casoni, qui devra se passer des services de plusieurs éléments pour cause de blessures, aura néanmoins la latitude de composer un onze compétitif. Contrariés quelque peu par cette histoire d’éloignement du stade (100 km), les Algérois ont décidé de changer de résidence, hier, en quittant la ville d’Oyo pour celle d’Owanda qui abritera le match. Une rencontre qui ne sera pas facile a priori, face à une bonne équipe de l’AS Otoho que les Algérois ne connaissent pas trop, ce qui les obligera à prendre au sérieux leur adversaire et réaliser un sans-faute, en attendant la joute retour, pour que l’aventure africaine puisse se poursuivre. A signaler que c’est un quatuor arbitral camerounais qui dirigera cette première manche.  

Un retour à huis clos…

Après avoir purgé sa suspension d’une année, le onze sétifien, vainqueur de la Ligue des champions d’Afrique version 2014, renoue ce soir avec la prestigieuse compétition continentale des clubs. Pour ce baptême du feu, le chaudron orné d'une nou
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Un retour à huis clos…

Après avoir purgé sa suspension d’une année, le onze sétifien, vainqueur de la Ligue des champions d’Afrique version 2014, renoue ce soir avec la prestigieuse compétition continentale des clubs. Pour ce baptême du feu, le chaudron orné d'une nouvelle pelouse et des gradins peints en noir et blanc sera vide. Le public qui a été à l’origine des gravissimes incidents ayant émaillé un certain ESS-Sounders sera absent. Il doit retenir la leçon, prendre son mal en patience et suivre les péripéties de la rencontre à travers le petit écran. L’absence du 12e homme, dont le rôle n’est plus à démonter ou prouver, sera, à n’en pas douter, ressentie par les partenaires de Ziti. Lesquels vont à l’occasion inaugurer la nouvelle pelouse et les nouvelles dimensions du périmètre vert. Ne disposant d’aucune information concernant le Real Bangui, le collectif ainsi que le staff technique sétifiens ont besoin d’un round d’observation pour pouvoir jauger les potentialités de l’adversaire. Lequel a tout à gagner dans l’affaire, d’autant que la deuxième manche de ce premier tour aura lieu dans son antre. En plus de l’inefficacité de la ligne d’attaque n’ayant inscrit qu’un petit but durant les cinq derniers matchs, l’indisponibilité de nombreux joueurs complique la tâche de Benchikha. Ce dernier ne pourra donc manœuvrer à sa guise. Hors coup depuis des semaines, Ibouziden, qui vient d’être opéré, est de facto out. Par la faute de la FAF qui n’a pas transmis à temps leurs dossiers à la CAF, Banouh et Aouadj, les dernières recrues du mercato hivernal, ne sont pas concernés par ces joutes. Tout comme Djabou parti au Nasr de Riyad. Les misères du coach ententiste ne s’arrêtent pas là, puisque Aiboud et Bakir, souffrants, vont eux aussi zapper cette empoignade. Ménagés ces derniers jours, Rebiai, Benayad, Badrane et Haddouche qui se sont contentés de quelques exercices en solo, vont compléter la liste. Suspendu en compétition nationale, le gardien Zeghba est concerné par l’événement. Pour des raisons évidentes, il devra suivre le match à partir du banc de touche. Le jeune défenseur Saâd, qui s’est inscrit aux abonnés absents ces derniers jours, refait surface. Benchikha va-t-il incorporer un Saâd hors du coup et sacrifier Oumboubou qui a besoin d’un temps de jeu pour s’affirmer à l’Entente qui ne l’a pas recruté pour ne rien faire ? La question est posée.  

«Si tu n'aimes pas la pression, il ne faut pas venir en Turquie»

Un accueil inouï, des ambiances de folie et une exigence infinie. «Si tu n'aimes pas la pression, il ne faut pas venir en Turquie», confie à l'AFP Sofiane Feghouli (Galatasaray), un des nombreux top-joueurs séduits par la chaleur des supporters locaux e
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«Si tu n'aimes pas la pression, il ne faut pas venir en Turquie»

Un accueil inouï, des ambiances de folie et une exigence infinie. «Si tu n'aimes pas la pression, il ne faut pas venir en Turquie», confie à l'AFP Sofiane Feghouli (Galatasaray), un des nombreux top-joueurs séduits par la chaleur des supporters locaux et le cadre de vie stambouliote. - Avec un accueil de rock-star dès l'aéroport, est-ce qu'on se dit qu'on n'a pas le droit à l'erreur ? Oui, les fans te donnent beaucoup d'amour mais après sur le terrain ils sont très exigeants, donc il faut répondre présent à leurs attentes et essayer de s'intégrer rapidement. Cela te pousse à donner le meilleur de toi-même. Après, si tu n'aimes pas la pression, il ne faut pas venir en Turquie. Ce n'est pas donné à tout le monde de venir jouer ici. Quand vous intégrez leurs clubs, vous faites partie de leur famille. ça fait partie de leur tempérament. Ils sont très méditerranéens et très chauds. J'aime beaucoup ça, c'est pour ça que je suis venu ici. - Pourquoi autant de top-joueurs ont été séduits par l'idée de rejoindre ce championnat ? Cela dépend, chaque personne à son histoire. Moi, c'est parce qu'à West Ham, au bout d'un moment, je n'étais plus heureux. Je suis venu (à Galatasaray) parce que je savais que c'était un grand club. J'avais besoin d'en retrouver un après Valence. Le projet qui m'a été présenté m'a plu, avec l'objectif de retrouver la «Champions League» et de gagner des titres. Après bien sûr, il y a un aspect financier qui est intéressant, mais je gagnais aussi bien ma vie en Angleterre. Ce n'est donc pas vraiment ça qui a fait que j'ai opté pour la Turquie, mais plutôt le fait de gagner des titres. - La passion des supporters a-t-elle aussi constitué un élément décisif dans votre choix ? J'étais venu en 2010 avec Valence pour jouer contre Bursaspor, c'était une ambiance extraordinaire. D'ailleurs ça m'avait choqué ! Et depuis que je suis là, ça s'est confirmé. A chaque fois qu'on joue, que ce soit à domicile ou ailleurs en Turquie, ce sont toujours des ambiances superbes. C'est vraiment top pour moi. Si je n'ai pas cet aspect-là, l'adrénaline et tout, cela ne me donne pas envie de donner le meilleur de moi-même. J'ai besoin de ça pour me stimuler. - Quand vous avez vu Mario Gomez quitter Besiktas en raison des troubles politiques et sécuritaires de l'été 2016 (coup d'Etat manqué...), cela ne vous a pas rebuté ? En fait, quand je regarde l'actualité dans le monde, on voit qu'il peut se passer des choses n'importe où. Moi qui ai grandi en banlieue parisienne, jamais je n'aurais cru qu'il se serait passé des choses à Paris. A Londres ou en Allemagne aussi... Humainement, Istanbul c'est top ! C'est loin de l'image qu'on nous présente à la TV, j'ai été agréablement surpris quand je suis arrivé ici. C'est vraiment une belle ville, et en plus ma famille se plaît ici, donc j'ai de quoi m'épanouir. Quand je suis dehors il y a même des gens qui me prennent dans leurs bras. - Comment jugez-vous le niveau du championnat ? Pour en avoir discuté avec des coéquipiers, cela fait longtemps que le championnat n'a pas été d'un assez bon niveau. Bien évidemment, l'arrivée des nouveaux droits TV a fait qu'il est devenu de plus en plus costaud. Il y a des joueurs expérimentés, de bons joueurs. La bataille pour le titre est très serrée, ça se jouera peut-être même à la dernière journée. - Adebayor, Pepe et autres Arda Turan ne sont donc pas venus pour le soleil d'Istanbul ? Quand je vois Adebayor sur le terrain, il n'est pas en préretraite ! Tu vois qu'il est toujours motivé, c'est un battant sur le terrain. Pepe, il n'a pas vraiment le choix à Besiktas, c'est un club où il y a une très grande pression. Dans ces clubs-là, il faut tout de suite répondre présent, les supporters ne te laissent pas te relâcher. L'attente est énorme, comme nulle part ailleurs en Europe, donc tu ne peux pas jouer à 50% !  

CSC 0 – USMH 0 : Les Sanafir accrochés par les Harrachis

Comme prévu, la rencontre face à l’USMH, avant-dernier du championnat de Ligue 1, n’a pas été facile à négocier pour le leader, malgré la différence de statut et l’appui du public record ayant envahi les travées du stade Hamlaoui. Visiblemen
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CSC 0 – USMH 0 : Les Sanafir accrochés par les Harrachis

Comme prévu, la rencontre face à l’USMH, avant-dernier du championnat de Ligue 1, n’a pas été facile à négocier pour le leader, malgré la différence de statut et l’appui du public record ayant envahi les travées du stade Hamlaoui. Visiblement tétanisés par l’enjeu, les protégés de Abdelkader Amrani ont péché par un jeu décousu et sans imagination. Si l’absence de Belkheir (suspendu) a été pour beaucoup dans la piètre production clubiste, il n’en demeure pas moins que certains éléments sont également passés à côté de leur sujet. De leur côté, les Harrachis, venus défendre crânement leurs chances de maintien, ne se sont pas beaucoup aventurés en attaque, ce qui ne les a pas empêchés de se créer les actions les plus dangereuses du match, et ce, dès l’entame de la première période, quand la tête de Bougueche est passée à quelques centimètres des bois gardés par Rahmani. A la 28’, c’est au tour du défenseur central Khelili, dont la tête a été mal cadrée. La seule occasion nette du CSC sera dans les arrêts de jeu, lorsque Rebih, dans la surface de réparation adverse, ayant pourtant fait le plus difficile en éliminant son ange gardien, a tiré dans les bras de Mazouzi. Ce fut d’ailleurs sa dernière action, car il est remplacé à la reprise par Belamaïri. A partir de là, les locaux ont été plus dangereux, notamment par l’intermédiaire de Lamri, dont le centre n'a trouvé personne à la réception (48’), ou encore Abid, sevré de bonnes passes, qui a tenté, sans succès, un retourné acrobatique au point de penalty (64’). En face, les camarades de Mazari, opérant sur contre, ont obligé Rahmani, par deux fois, à étaler toute sa classe afin de sauver sa cage, les tirs de Younes (51’ et 73’), trouvant à chaque fois sur leur chemin le dernier rempart clubiste. Malgré l’incorporation de Bezzaz et de Cissé, le jeu du CSC n'a pas décollé. L’ultime occasion de scorer a été celle d’Abid qui, bénéficiant d’une astucieuse remise d’Aroussi, n’est pas arrivé à battre de la tête Mazouzi, qui a détourné la trajectoire du cuir (88’). Les camarades de Zerara ont complètement raté leur match à domicile, et l’occasion de creuser davantage l’écart sur leur poursuivant.

Le MCA à pied d’œuvre au Congo

Le Mouloudia d’Alger, qui a embarqué jeudi à midi à destination de la République du Congo, est à pied d’œuvre en prévision de son entrée en lice, demain après-midi (15h30), dans la prestigieuse Ligue des champions d’Afrique. La délégation
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Le MCA à pied d’œuvre au Congo

Le Mouloudia d’Alger, qui a embarqué jeudi à midi à destination de la République du Congo, est à pied d’œuvre en prévision de son entrée en lice, demain après-midi (15h30), dans la prestigieuse Ligue des champions d’Afrique. La délégation algéroise, et après un long et harassant voyage, a pris ses quartier jeudi en début de soirée à l’hôtel Palace Alima de la ville d’Oyo, située à 400 km au nord de la capitale Kinshasa. Un harassant voyage et surtout une première mauvaise nouvelle pour les Mouloudéens. En effet, arrivés sur place, les Algérois ont été informé que le stade, qui accueillera ce match aller face à l’AS Otoho, se trouve à 100 km du lieu de leur hébergement. Un premier quiproquos, puisque les Mouloudéens qui ont dû faire, hier en début d’après-midi, plus de 200 km en aller et retour pour s’entraîner, devront faire le même trajet aujourd’hui et le jour du match, c'est-à-dire demain, pour donner la réplique à la formation congolaise. Et ce n’est pas là la seule contrainte rencontrée par les Mouloudéens, qui devront faire avec les fortes chaleurs et un taux d’humidité élevé, en sus du fait que joueurs et le staff technique n’ont aucune idée sur leurs adversaires du jour. Tout le contraire de l’équipe hôte, puisque le jeune entraîneur français de l’AS Otoho, Julien Mette, a pris le soin de se déplacer à Alger et voir à l’œuvre le MCA dans son antre du 5 Juillet, à l’occasion d’un match de championnat. Pour pallier se manque d’information sur l’adversaire du jour, le staff technique algérois, sous la conduite de Bernard Casoni, compte sur l’aide du Brésilien Valdo. L’ancien coach du MCA, qui a travaillé aux côtés d’Arthur Jorge il y a trois ans, exerce actuellement au Congo et connaît cette équipe. Un adversaire à prendre très au sérieux, surtout que le team est actuellement leader de son championnat et qu’il compte en son sein six internationaux qui ont pris part avec la sélection du Congo au dernier CHAN, disputé au Maroc et qui a pris fin le week-end dernier. De quoi pousser les Algérois à la méfiance, comme le notera le coach adjoint du Mouloudia, Rafik Saïfi, au moment de l’embarquement de l’équipe, jeudi dernier à l’aéroport international d’Alger en déclarant : «On est pleinement concentrés sur ce match face à l’AS Otoho qui n’est pas une équipe facile. Selon les quelques renseignements en notre possession, elle possède de très bons joueurs. On doit donc prendre ce match très au sérieux pour revenir du Congo avec un bon résultat.»

JO-2018 Le TAS, l’arbitre suprême du sport

Sur la sellette pour son traitement du dossier des sportifs russes, le Tribunal arbitral du sport, cour suprême du sport mondial, est une instance plus rapide et flexible que la justice étatique, compétente notamment en matière de dopage et dont les déci
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JO-2018 Le TAS, l’arbitre suprême du sport

Sur la sellette pour son traitement du dossier des sportifs russes, le Tribunal arbitral du sport, cour suprême du sport mondial, est une instance plus rapide et flexible que la justice étatique, compétente notamment en matière de dopage et dont les décisions sont rendues par des juges non permanents. «Une décision extrêmement décevante et surprenante» : c’est ainsi que Thomas Bach, président du CIO, a qualifiée une décision rendue plus tôt par le TAS et qui, à quelques jours des JO de Pyeongchang, a blanchi 28 Russes précédemment suspendus à vie par le même CIO. Depuis plusieurs années, les preuves, accablantes, de l’existence d’un système de dopage institutionnalisé en Russie s’accumulent. Pour autant, des arbitres du TAS ont jugé ces preuves «insuffisantes» pour 28 sportifs russes, les autorisant en théorie à solliciter une invitation pour les JO de Pyeongchang. Ceci a conduit M. Bach à réclamer «une réforme de la structure du TAS» afin d’obtenir notamment plus de «continuité» dans sa jurisprudence. Pour ce faire, «il faudrait peut-être créer un collège d’arbitres spécialisés en matière de dopage», explique un juriste proche du CIO. Car les  arbitres du TAS sont nombreux (400) et «tous n’ont pas de compétences en matière de dopage». Arbitres Sur les 400 arbitres de la liste du TAS, «une centaine environ ont une très bonne expérience en matière de réglementation antidopage», répond Matthieu Reeb, secrétaire général du TAS. Autre réserve posée par le même juriste proche du CIO, le peu d’affaires traitées par certains arbitres, «ce qui les éloigne de la pratique et de la jurisprdudence du TAS». De fait, les arbitres du TAS qui sont nommés pour une durée de 4 ans renouvelable, ne traitent parfois qu’une ou deux affaires par an quand d’autres peuvent avoir à en connaître plus de dix par an. Et si l’on exige d’eux non seulement une formation juridique complète ainsi que de l’expérience en matière d’arbitrage international et de droit du sport et d’être capable de travailler en anglais et en français, il faut aussi avoir une bonne connaissance du sport en général. Le domaine de compétences du TAS et donc des arbitres est large. Le tribunal s’occupe essentiellement de litiges contractuels, notamment dans le football (transferts, salaires impayés), et disciplinaires, notamment en matière de dopage mais pas seulement. Il a eu notamment à se prononcer récemment sur les suspensions de plusieurs années infligées à Sepp Blatter, ex-président de la Fifa, et Michel Platini, ex-patron de l’UEFA, pour un paiement controversé du premier au second. Créé en 1984 à l’initiative du président du CIO de l’époque, l’Espagnol Juan Antonio Samaranch, le TAS a vu peu à peu ses domaines d’intervention s’élargir, et même s’il est financé par le CIO, les fédérations internationales et les comités nationaux olympiques (avec un budget annuel de 16 millions de francs suisses, 13,8 M EUR), son indépendance vis-à-vis des fédérations n’est pas contestée. Ce qui, sous la pression du CIO, ne devrait cependant peut-être pas empêcher que des réformes du TAS soient initiées.

Ligue 1 : Le CSC veut prendre le large

Le CS Constantine mise beaucoup sur cette 19e journée pour creuser davantage l’écart de sept points qui le sépare aujourd’hui de la JS Saoura. Sur le papier, les Constantinois seront favoris face à l’USM El Harrach. Irrésistibles comme le prouv
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Ligue 1 : Le CSC veut prendre le large

Le CS Constantine mise beaucoup sur cette 19e journée pour creuser davantage l’écart de sept points qui le sépare aujourd’hui de la JS Saoura. Sur le papier, les Constantinois seront favoris face à l’USM El Harrach. Irrésistibles comme le prouve leur dernier succès acquis en déplacement à Bel Abbès (2-1), les hommes d’Abdelkader Amrani doivent tout de même faire attention à l’USM El Harrach, qui viendra jouer son va-tout dans cette partie. Les camarades de Younès ont toutes les cartes en main, d’autant plus que les Sanafirs éprouvent certaines difficultés face aux formations du bas du tableau. Partageant la seconde place avant cette journée avec la JS Saoura et le MC Alger, l’USM Alger tient une bonne occasion pour occuper seule cette position, d’autant plus que la Saoura a été accrochée, mardi, par l’ES Sétif (0-0) et le MC Alger s’est incliné face à l’O Médéa. C’est peut-être vrai que la saison dernière l’USM Alger s’était imposée au match retour sur le score de 6 buts à 2, mais l’équipe de la Mekerra a toujours posé des problèmes aux coéquipiers de Zemmamouche, notamment à Bel Abbès avec trois succès ces deux dernières années, dont un en coupe d’Algérie. Au stade du 5 Juillet, les poulains de Miloud Hamdi espèrent oublier leur dernier revers en coupe d’Algérie et aussi la défaite concédée devant le NA Hussein Dey sur cette même pelouse. En tout cas ils ne vont pas manquer de motivation, car un succès pourrait permettre aux Usmistes d’être seuls à la seconde place du classement de la Ligue 1. La formation de Bel Abbès reste toujours conquérante lorsqu’il s’agit des belles affiches. Elle espère ne pas revenir à domicile bredouille. Le dernier match de la journée opposera à Blida, le onze local au Paradou AC. Ce match à huis clos reste important pour les Blidéens, car en cas de succès, tout reste possible pour les poulains de Kamel Bouhallal  pour le maintien. Le PAC, veut réaliser un bon résultat afin de gagner d’autres places au classement.

Coupe de la CAF : Le nouveau challenge du CRB

Le CR Belouizdad affrontera cet après-midi, à partir de 17h30, sur la pelouse du stade Modibo Keita de Bamako, la formation malienne de l’AS Onze Créateurs Niaréla pour le compte du match aller du tour préliminaire de la Coupe de la CAF. Les Algéri
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Coupe de la CAF : Le nouveau challenge du CRB

Le CR Belouizdad affrontera cet après-midi, à partir de 17h30, sur la pelouse du stade Modibo Keita de Bamako, la formation malienne de l’AS Onze Créateurs Niaréla pour le compte du match aller du tour préliminaire de la Coupe de la CAF. Les Algériens misent beaucoup sur cette compétition afin d’atteindre la phase des poules,  surtout après avoir raté tous les autres objectifs de la saison. La Chabab a perdu la Supercoupe d’Algérie. Il a également été éliminé de la coupe d’Algérie. En championnat, sa situation était des plus critiques avec une série de quinze matches sans victoire. La formation de Laâqiba a finalement réussi à sortir la tête de l’eau en s’imposant, mardi dernier, en match avancé de la 19e journée face à l’US Biskra sur le score d’un but à zéro. La seule réalisation de cette partie a été inscrite dans le temps additionnel par Belaïli. Cette victoire a permis à Rachid Taoussi et ses joueurs de respirer un peu et de bien se concentrer sur la compétition africaine et le match face aux Maliens du Onze Créateurs. Le technicien du Chabab semblait ravi après la victoire des siens en championnat. Il estime que son équipe va ainsi aborder son rendez-vous continental avec plus de confiance afin d’aller chercher un résultat positif à Bamako, en misant sur la volonté de ses joueurs. Les Rouge et Blanc ne savent pas grand-chose de leur adversaire du jour, qui est loin d’avoir le niveau du Djoliba AC, ou encore le Stade Malien. Le palmarès du club d’un des quartiers de Bamako n’est pas vraiment fourni : deux coupes du Mali seulement remportées en 2014 et 2016. Il faut juste préciser qu’en 2015, cette équipe avait réussi à éliminer deux clubs, à savoir la formation marocaine de Renaissance de Berkane et le club nigérien du Sahel SC avant d’être éliminé par l’ASEC Abidjan. En 2017, la FIFA avait suspendu les clubs maliens en raison d’ingérences politiques dans la dissolution de la fédération. De ce fait, c’est la formation rwandaise du Rayon Sport FC qui s’est qualifiée au profit de l’adversaire du Chabab. Le CRB devra tout de même rester sur ses gardes en mettant toutes ses chances de son côté pour le match retour, qui aura lieu ce 20 février au stade du 20 Août 1955 d’Alger. C’est un trio d’arbitres nigérian, composé de Mohamed Ali Moussa, Sadissou Idi et Salissou Maman Bachir qui dirigera cette partie. Il faut savoir également que le champion d’Algérie en titre, l’ES Sétif et le MC Alger joueront le match aller du tour préliminaire de la Ligue des champions ce dimanche. L’Entente recevra au stade du 8 Mai 1945 le représentant de la République centrafricaine, le Real de Bangui. Le MC Alger, quant à lui, s’est déplacé hier afin d’affronter le même jour au stade de Marien Ngouabi d’Owando d’AS Otoho d’Oyo de la République du Congo.

A vos marques, prêts, partez !

Le club Amal Riadi de Aïn Benian, affilié à la Ligue algéroise de gym et F.A.G, sous  les auspices et le parrainage de la direction de la jeunesse, des sports et loisirs de la wilaya d’Alger, organise le marathon du fitness Salhi Noredine, le samedi 1
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A vos marques, prêts, partez !

Le club Amal Riadi de Aïn Benian, affilié à la Ligue algéroise de gym et F.A.G, sous  les auspices et le parrainage de la direction de la jeunesse, des sports et loisirs de la wilaya d’Alger, organise le marathon du fitness Salhi Noredine, le samedi 10 février 2018, à la salle omnisport OMS Ahsen Moutchou de Aïn Benian, et ce, durant trois heures, à partir de midi (après inscriptions). Le marathon Fitness-aérobic, baptisé en hommage au regretté Sahli Noreddine, ancien président du club Amal Riadi de Aïn Benian, une tradition et un événement connu pour être annuel, est devenu mensuel depuis 2016, perpétué par la dynamique, disponible et bénévole présidente de ce club, Sahli Sarah. Une ancienne championne d’Algérie de demi-fond (1200 m), «drivant» un team local de Aïn Benian regroupant 600 adhérents, entre enfants et adultes, affiliés à la Fédération algéroise et à la Ligue algérienne de gymnastique. Le sport, le bénévolat et le fair-play sont une affaire de famille chez les Salhi. Tel père, telle fille. La réussite de ce mouvement est due aussi à la bonne volonté et à l’investissement du staff technique de ce club. Amal Riadi de Aïn Bénian propose des disciplines, comme la gymnastique générale, artistique, féminine et masculine, rythmique et aérobic de loisirs. Du sport compétitif et de. 800 personnes attendues Aussi, la 20e édition du Marathon fitness exhibera une compétition de danse non-stop. Trois heures de danse orientale -belly dance-, turque, zumba strong, cumbia arabe, voire du «yoga du rire». Lors de cette manifestation, on attend la participation de 800 personnes de 8 à 80 ans. De nombreux cadeaux récompenseront les lauréates et celles tirées au sort, ainsi qu’une panoplie de présents encourageant la fidélité des adhérentes, des anciennes, les personnes handicapées, les familles nombreuses ou encore les participantes enceintes pratiquant le sport. Un événement gratuit et exclusivement féminin. L’objectif est de rassembler le plus de femmes, adolescentes, ainsi que de petits garçons et petites filles et, pour pratiquer un sport facile et accessible pour tous les niveaux et tous les âges. Avec beaucoup d’enthousiasme, les coachs du CSA Amel Riadhi- Aïn Benian entraîneront pendant 3h tous les accros de la discipline sur un rythme cardio dosé de pas de salsa, zumba, hip-hop et merengue.  

ASO Chlef : Début de régularisation des salaires

L'ASO Chlef commence enfin à respirer sur le plan financier après l'aide fournie par des entreprises de la région et celle devant être versée par l'APC locale ce jeudi. Selon le président du club, Abdelkrim Medouar, «un montant de 1,5 milliard prove
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ASO Chlef : Début de régularisation des salaires

L'ASO Chlef commence enfin à respirer sur le plan financier après l'aide fournie par des entreprises de la région et celle devant être versée par l'APC locale ce jeudi. Selon le président du club, Abdelkrim Medouar, «un montant de 1,5 milliard provenant de l'aide d'une quarantaine d'entreprises locales, consécutivement au soutien sans faille manifesté par le wali de Chlef, a déjà été perçu et utilisé pour le règlement d'une partie des arriérés des salaires des joueurs, en particulier ceux n'ayant pas encaissé leur dû depuis le mois août dernier». Et d'ajouter : «L'opération de régularisation de la situation financière des joueurs devrait se poursuivre à partir de ce jeudi avec la réception prévue de la subvention de 1,5 milliard dégagée par l'APC de la ville.» «Même si les deux aides financières réunies restent insuffisantes par rapport aux ambitions de l'équipe et aux dépenses de fonctionnement, nous sommes quand même soulagés d'un lourd fardeau représentant les salaires impayés à cause du blocage antérieur, inexpliqué et inexplicable, des subventions publiques. Je tiens à assurer à tous les joueurs qu'ils percevront progressivement leurs salaires impayés car la priorité est donnée au traitement de ce volet financier, tout en remerciant nos fournisseurs et partenaires pour leur compréhension quant à la situation du club», a expliqué le premier responsable du club de Chlef. «Je pense qu'à l'instar des autres clubs professionnels du pays, l'ASO a le droit de bénéficier des aides de l'Etat conformément à la politique sportive des hautes autorités du pays, comme cela a toujours été le cas jusqu'ici. Je remercie donc le wali de Chlef pour cela, car depuis son installation à la tête de la wilaya, il s'est toujours montré attentif et entièrement disposé à régler les problèmes financiers et autres que rencontre le club phare de la région. Je remercie également les chefs des entreprises locales ainsi que le président et les élus de l'APC de Chlef pour leur soutien à l'association», a conclu Medouar, visiblement réconforté par le début de dénouement de la crise financière qui a beaucoup pesé sur le moral des joueurs. Soulagement des joueurs Effectivement, le règlement progressif des salaires des joueurs a eu un effet positif sur le moral de ces derniers, comme nous l'a confirmé le coach El Hadi Khezzar. «Oui, le moral des joueurs est au beau fixe et nous travaillons d'arrache- pied pour défendre crânement nos chances d’accession, car rien n'est encore joué sur ce plan-là. Seulement, il nous faudra à l'avenir récupérer les points perdus à domicile pour rester en course pour le podium», a-t-il souligné. L'équipe sera certes privée des joueurs Benhamla (suspendu), Boussaid et Arab (blessés), mais elle sera plus motivée et plus déterminée à réaliser un bon résultat lors de son déplacement, ce vendredi, à Ain Fekroun, a encore indiqué El Hadi Khezzar.

Cherif Mellal, nouveau président du club

L’investisseur Cherif Mellal a été intronisé hier à la tête de la Jeunesse Sportive de Kabylie et Nassim Benabderrahmane a été nommé directeur général de la SSPA/JSK. C’est ce qui ressort de l’assemblée générale ordinaire (AGO) des actio
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Cherif Mellal, nouveau président du club

L’investisseur Cherif Mellal a été intronisé hier à la tête de la Jeunesse Sportive de Kabylie et Nassim Benabderrahmane a été nommé directeur général de la SSPA/JSK. C’est ce qui ressort de l’assemblée générale ordinaire (AGO) des actionnaires, tenue à huis clos en début d’après-midi, au siège du club, sis à la nouvelle ville de Tizi Ouzou. Etaient présents : le président sortant Mohand Cherif Hannachi, Cherif Mellal, Nassim Benabderahmane — qui assurait l’intérim de la SSPA après la dissolution du directoire — Khelifa Chouyoukh, Kana Rachid, Malek Azlef, ainsi que le commissaire aux comptes. Des dizaines de supporters venus de plusieurs communes de la wilaya de Tizi Ouzou ont fait le déplacement vers la ville des Genêts pour s’imprégner de l’ambiance du déroulement de cette réunion décisive, tant attendue aussi bien par la grande famille de la JS Kabylie que ses fans venus aux nouvelles du club phare du Djurdjura qui traverse depuis quelques années une forte zone de turbulences. Pour parer à toute éventualité en pareille occasion, deux camions de CNS et des éléments des services de sécurité avaient pris position devant le bâtiment, abritant au rez-de-chaussée le «QG» retapé de l’équipe dirigeante des Jaune et Vert. L’ambiance était décontractée malgré les enjeux du rendez-vous. Salutations d’usage, photos de groupe et interviews d’avant-rencontre aux micros des médias audiovisuels et de la presse écrite. L’ancien boss du club kabyle, Mohand Cherif Hannachi, était le premier à arriver sur les lieux, suivi de Cherif Mellal et des autres actionnaires invités à cette réunion. Les discussions entre eux ont eu lieu sans les journalistes, tenus à l’écart dans le hall flambant neuf du siège du club. Moins de 15 minutes après le début de la «réunion de vérité», Mohand Cherif Hannachi se retire. Il déclare devant une forêt de caméras et de micros : «Tous les actionnaires présents à la réunion ont décidé de voter pour Cherif Mellal. A partir de cet instant, j’ai compris que je n’avais rien à faire dans l’AG.» Et d’ajouter : «Mellal avait promis d’injecter 50 milliards de centimes et aujourd’hui durant la réunion, il parle de 4 à 7 milliards seulement. Beaucoup d’investisseurs et de commerçants de la région étaient prêts à m’aider dans le cas où j'étais désigné à la tête du club.» Cohue dans la cour du bâtiment où des supporters faisaient le pied de grue sous le froid. Hannachi est «prié» par un groupe de jeunes de rejoindre la salle de réunion pour assister à la fin des travaux, et ce, disent-ils, «pour discuter de  l’avenir du club qui a trop souffert de cette période de transition». C’est au moment où il allait reprendre sa place que la réunion s'est terminée en queue de poisson. Les actionnaires ont tranché. «La réunion est terminée. Ils ont voté pour moi», a déclaré brièvement le nouveau président de la JSK.                                                  

La brèche USMA !

La Ligue de football professionnel (LFP) a répondu favorablement à la demande de l’USM Alger de recevoir, désormais, ses adversaires, à commencer par la rencontre de la 19e journée de ce vendredi face à l’USM Bel Abbès, au stade du 5 Juillet. «
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La brèche USMA !

La Ligue de football professionnel (LFP) a répondu favorablement à la demande de l’USM Alger de recevoir, désormais, ses adversaires, à commencer par la rencontre de la 19e journée de ce vendredi face à l’USM Bel Abbès, au stade du 5 Juillet. «La rencontre USM Alger – USM Bel Abbès se déroulera au stade du 5 Juillet. C’est à la demande de l’USMA que ce match a été domicilié au grand stade d’Alger», a indiqué la Ligue dans un communiqué. Pourtant, en début de saison, il a été décidé de ne plus laisser les clubs changer de domiciliation, notamment lors de la phase retour. Dans les «dispositions réglementaires relatives aux compétitions de football professionnel saison 2017/2018», publié sur le site internet de la LFP, il est clairement indiqué qu'«une fois que les clubs choisiront le stade où ils accueilleront leurs adversaires avant le coup d’envoi du championnat, ils n’auront plus la latitude de changer de domiciliation». Une décision prise par rapport à ce qui s’est passé la saison dernière lorsque des clubs en danger à l’approche de la fin du championnat avaient opté pour des stades avec une capacité moindre dans l’espoir que cela allait les «aider» à gagner le maximum de points. Ce qui, bien évidemment, n’est pas le cas de l’USMA. D’ailleurs, le désormais président déchu de la Ligue de football professionnel, Mahfoud Kerbadj, s’est exprimé sur cette question il y a plusieurs jours de cela en affirmant que si cette mesure d’interdiction de changement de domiciliation en cours de saison a été prise, c’est pour empêcher des clubs d’opter pour des enceintes plus petites vers la fin de l’exercice. En d’autres termes, jouer dans un stade à la capacité plus importante n’est nullement un problème. Dans ce cas, la FAF et la LFP n’avaient qu’à mettre cela noir sur blanc lors de la confection de ces dispositions réglementaires. Parce que, aujourd’hui, une brèche est ouverte. Le CAB, dernier de la Ligue 2, qui reçoit ses adversaires au stade du 1er Novembre de Batna depuis le début de saison, a demandé de changer sa domiciliation pour aller à Sefouhi sous prétexte que la pelouse du 1er Novembre s’est dégradée. Pour l’heure, la LFP n’a pas accepté. Le CAB pourrait toujours évoquer la «fleur» offerte à l’USMA.  

«Le SG est derrière les conflits de la FAA»

A quelques semaines du 5e Championnat d’Afrique de cross-country qu’abritera Chlef le 17 mars, le vice-président de la Fédération algérienne d’athlétisme (FAA), Mouloud Salem, s’exprime encore une fois sur le malaise qui règne au sein de la FAA
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«Le SG est derrière les conflits de la FAA»

A quelques semaines du 5e Championnat d’Afrique de cross-country qu’abritera Chlef le 17 mars, le vice-président de la Fédération algérienne d’athlétisme (FAA), Mouloud Salem, s’exprime encore une fois sur le malaise qui règne au sein de la FAA. Selon lui, c’est le secrétaire général de la FAA, Arezki Azzaoune, qui est à l’origine des différents conflits. - Vous affirmez que c’est le secrétaire général de la FAA, Arezki Azzaoune, qui est à l’origine des polémiques. Expliquez-vous... Tout à fait. J’assume totalement mes propos. Le SG est la source de tous les problèmes. Il ne cesse de verser dans les polémiques. Depuis l’installation du bureau, les membres n'ont reçu à ce jour aucun PV de réunion. Il a même bloqué à son niveau nos différentes demandes d’audience adressées au ministre de la Jeunesse et des Sports. Il se prend pour le président de la FAA. - Justement, avez-vous évoqué cette situation avec le président Abdelhakim Dib ? Bien sûr qu'on a alerté Dib quant aux agissements de Azzaoune. Les membres du bureau peuvent témoigner que dès son élection, le président Dib voulait remplacer le SG, qui est âgé de 70 ans et qui en est à son troisième mandat, mais il n'a pu le faire. Le SG semble intouchable. - Mais pourquoi passer par le SG pour transmettre vos requêtes au MJS ? On croyait bien faire, mais hélas, Azzaoune bloque tout à son niveau. Donc, on a décidé de déposer nos demandes d’audience directement au ministère, en dénonçant le SG et son équipe. Malheureusement, nos correspondances avec accusé de réception sont restées sans suite. On ne connaît pas les raisons du silence de la tutelle qui n’a pas réagi à nos différentes requêtes. Ceci ne fait qu'envenimer le malaise à la FAA et encourage le SG à exercer davantage de pression, voire domination. - Ce bras de fer a-t-il contraint Mohamed Laroug (premier vice-président) à démissionner de son poste, bien qu’il ait justifié cette décision par un problème de santé ? Non, la démission de Laroug n’a aucun lien avec un quelconque problème de santé, contrairement à ce qu’il avait annoncé dernièrement dans votre quotidien El Watan. Laroug, qui est une personne intègre, a fini par craquer suite à d’énormes pressions. Sous le coup de la colère, Laroug a pris la décision d'écourter son mandat. Le malheur, c’est que Azzaoune s'est empressé de transmettre la lettre de démission au MJS à l'insu des membres du bureau.

Réunion décisive des actionnaires de la JSK

Près d’un mois après la réunion du conseil d’administration de la JS Kabylie ayant conduit à l’éjection du directoire composé du trio Madjène-Zouaoui-Aït Djoudi, et à la nomination d’un Directeur général (DG) par intérim de la SSPA/JSK, e
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Réunion décisive des actionnaires de la JSK

Près d’un mois après la réunion du conseil d’administration de la JS Kabylie ayant conduit à l’éjection du directoire composé du trio Madjène-Zouaoui-Aït Djoudi, et à la nomination d’un Directeur général (DG) par intérim de la SSPA/JSK, en l’occurrence Nassim Benabderahmane pour gérer les affaires courantes du club, les actionnaires de la JSK se réuniront aujourd’hui, à partir de 14h au siège du club sis à la nouvelle ville de Tizi Ouzou. Une réunion qualifiée de décisive, dans la mesure où il sera question d’appliquer les résolutions entérinées lors de la réunion du 10 janvier dernier, notamment la désignation d’un nouveau conseil d’administration qui aura la charge de nommer un nouveau président à la tête du club, un poste vacant depuis le 7 août dernier, soit depuis la destitution de l’ancien président Mohand Chérif Hannachi. Ainsi, après six mois de vacance, et sauf revirement de situation, la JSK connaîtra aujourd’hui le successeur de Hannachi à la tête du club. Les prétendants ne sont pas nombreux pour ce poste, même si certaines indiscrétions évoquent des tractations de coulisses qui pourraient donner lieu à des surprises. Néanmoins, une chose est sûre : il ne sera nullement question de l’ouverture du capital et encore moins de son augmentation, comme le laissent entendre certains. Deux points qui ne sont nullement inscrits à l’ordre du jour de cette AG, comme nous le précise le DG par intérim, Nassim Benabderrahmane : «L’ouverture du capital n’est pas pour demain. Il n’y aura ni ouverture du capital, ni son augmentation. L’ordre du jour de l’AG est clair : il sera procédé à la nomination du nouveau Conseil d’administration (CA) et à l’élection du nouveau président». Mellal sera-t-il intronisé président ? La question qui taraude les esprits des amoureux de la JSK en particulier et des spécialistes de la balle ronde est relative à l’intronisation ou non de Chérif Mellal, dès aujourd’hui, à la tête de la JSK. En effet, seul prétendant officiel à la présidence, qui s'est impliqué même depuis quelques semaines dans la gestion du club, déboursant quelques milliards de sa poche, Chérif Mellal est invité à l’AG des actionnaires de cet après-midi. N’étant pas un actionnaire à la JSK, Mellal ne peut prétendre à un poste au sein du CA, et encore moins à la présidence... Pour qu’il puisse le faire, la parade est toute trouvée : sachant que l’ouverture du capital n’est pas à l’ordre du jour, un actionnaire lui cédera une partie de ses actions pour intégrer l’AG des actionnaires. «Mellal a été invité à notre AG. Je vais lui céder personnellement des actions afin qu’il puisse devenir actionnaire. Il intégrera ainsi l’AG des actionnaires et pourra donc prétendre à un poste au sein du conseil d’administration et même à la présidence», annonce Nassim Benabderrahmane. Néanmoins, et même s’il franchit cette étape en intégrant le conseil d’administration, son intronisation à la tête de la JSK reste tributaire du vote des actionnaires. La partie serait d’ailleurs loin d’être gagnée pour Mellal, lui qui ne semble pas faire l'unanimité au sein des actionnaires et dont le sort sera décidé aujourd’hui.

JS Saoura : Khouda peut-il rester sur la même dynamique ?

La JS Saoura recevra cet après- midi l’Entente de Sétif, une équipe que les Sudistes ont laborieusement mais courageusement éliminée, il y a deux semaines à Béchar, lors des 16es de finale de la coupe d’Algérie (1-0). D’aucuns se souviennent
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JS Saoura : Khouda peut-il rester sur la même dynamique ?

La JS Saoura recevra cet après- midi l’Entente de Sétif, une équipe que les Sudistes ont laborieusement mais courageusement éliminée, il y a deux semaines à Béchar, lors des 16es de finale de la coupe d’Algérie (1-0). D’aucuns se souviennent que la rencontre s’était achevée en queue de poisson, loin du fair-play habituel. Des insultes fusaient de partout et il y a eu même des agressions dont l’une des victimes n’est autre qu’un journaliste cameraman. Malheureusement, une autre affaire vient d’éclater à Béchar après le match des 8es de finale quand la JS Saoura a éliminé un autre grand spécialiste de Dame coupe, l’USM Alger en l’occurrence (1-0), vendredi dernier. On a appris que sous la pression (?), tous les dirigeants du club béchari ont démissionné et qu’un directoire a été mis en place. Une décision temporaire puisqu'hier, après une réunion tenue au siège de la wilaya de Béchar, les dirigeants de la JSS sont revenus à de meilleurs sentiments et ont décidé de poursuivre leur mission. Maintenant, on se demande si la hache de guerre a bien été enterrée entre les deux camps (JSS et ESS). La rencontre de cet après-midi va sans aucun doute drainer le grand public et se déroulera quoi qu’il en soit sous une forte tension. La JSS veut préserver sa place de dauphin et évoluera au grand complet avec les Djalit, Yahia Chérif et Bourdim, un trio de feu, cette fois-ci sous la conduite de l’ancien-nouvel entraîneur Karim Khouda, tandis que la formation sétifienne effectuera le déplacement de Béchar démunie, sans son meneur de jeu vedette Djabou, et tout le monde sait désormais la place et le poids de ce dernier dans la formation de l’Entente. Khouda peut-il maintenir l’équipe de Béchar sur la même dynamique des victoires à domicile ? Réponse cet après-midi.  

Italie - 23e journée : La Juventus cartonne, Naples contrôle

Et un, et deux, et trois... et 7-0 ! Euphorique contre Sassuolo, la Juventus Turin a impressionné dimanche lors de la 23e journée de Serie A, mais Naples a tout de même conservé la première place grâce à sa victoire 2-0 chez le dernier Benevento. L
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Italie - 23e journée : La Juventus cartonne, Naples contrôle

Et un, et deux, et trois... et 7-0 ! Euphorique contre Sassuolo, la Juventus Turin a impressionné dimanche lors de la 23e journée de Serie A, mais Naples a tout de même conservé la première place grâce à sa victoire 2-0 chez le dernier Benevento. La Juventus de tous les excès Dixième victoire consécutive toutes compétitions confondues, sixième «clean sheet» de suite, un carton 7 à 0... La Juventus continue d'affoler les compteurs pour mettre une pression maximale sur Naples, dans le duel qui décidera du champion. La «Vieille Dame» n'a fait qu'une bouchée de Sassuolo, avec un triplé en 20 minutes de l'Argentin Higuain (63', 74', 83'), son premier de la saison. Tout aussi pressé, Khedira a signé un doublé éclair... en trois minutes (24', 27'). Alex Sandro (9') et Pjanic (38') ont également contribué au feu d'artifice. «Nous ne pouvons pas nous permettre d'écarts avec Naples qui réalise une saison extraordinaire. C'était important pour nous de gagner aujourd'hui, surtout pour faire le break sur les poursuivants», a déclaré le technicien noir et blanc, Massimiliano Allegri. Seule ombre au tableau alors que le 8e de finale de Ligue des champions face à Tottenham approche (13 février), la sortie sur blessure du milieu international français Matuidi. L'ancien Parisien «semble avoir un problème musculaire», a expliqué Allegri. Naples sans (trop) trembler Mais la démonstration des Turinois n'a pas impressionné Naples plus que cela et le leader a rapidement repris sa première place, avec un point d'avance, en allant s'imposer 2-0 chez son voisin Benevento, la lanterne rouge. Benevento a tout de même bien changé depuis le match aller, quand Naples l'avait emporté 6-0, et la rencontre a été plus accrochée, même si son issue n'a jamais fait grand doute. Le grand moment de la partie a été la magnifique ouverture du score signée Mertens à la 20'. Le Belge a enchaîné un superbe contrôle du droit et un impeccable lob du gauche. Ensuite, Hamsik a porté à 118 son record de buts sous le maillot de Naples en reprenant un centre ajusté de Callejon juste après la pause (47'). L'équipe de Maurizio Sarri a ensuite contrôlé le match sans pour autant s'épargner quelques craintes, comme quand Koulibaly a été gracié d'un penalty après intervention de l'assistance vidéo, qui a repéré un hors-jeu préalable. L'entraîneur napolitain regrettera aussi la blessure de Mertens, obligé de sortir pour un problème à la cheville. Rome revoit la lumière, Milan freine Derrière les deux cadors, la Lazio (3e) pointant à 14 points du leader, c'est un autre championnat pour se disputer les deux derniers tickets qualificatifs pour la Ligue des champions. Dans cette optique, l'AS Rome s'est enfin remise en ordre de marche, après six matchs sans succès, en allant s'imposer au Hellas Vérone (1-0) grâce au but ultra-rapide inscrit dès la 45e seconde par le jeune Turc Under. Les Giallorossi (5es, 44 pts) se rapprochent à deux points de la Lazio (3e, 46 pts) qui jouait hier contre le Genoa en clôture de la journée. Entre les deux rivaux de la Ville éternelle, l'Inter Milan (4e, 45 pts) avait concédé le match nul contre Crotone (1-1) samedi, sa 8e rencontre de suite sans victoire. Après trois matchs gagnés de suite, l'AC Milan (8e, 35 pts) a de son côté raté l'occasion de se rapprocher des places qualificatives pour l'Europa League en ne rapportant qu'un point de son déplacement à l'Udinese (1-1) après avoir ouvert le score.

ES Sétif : Mettre fin à la série noire

Moins performant aussi bien à domicile qu’à l’extérieur, le onze sétifien, qui n’a plus le choix, se dit décidé à relever la tête et à mettre fin à la série des contre- performances. A commencer à Béchar, là où il n’est pas donné a
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ES Sétif : Mettre fin à la série noire

Moins performant aussi bien à domicile qu’à l’extérieur, le onze sétifien, qui n’a plus le choix, se dit décidé à relever la tête et à mettre fin à la série des contre- performances. A commencer à Béchar, là où il n’est pas donné au premier venu de damer le pion à une JSS intraitable. Mais les statistiques ne plaident pas en faveur des Sétifiens qui n’ont pas goûté aux délices de la victoire durant les six dernières sorties (toutes compétitions confondues). Pis encore, les partenaires de Djahnit n’ont pas, ces derniers temps, marqué le moindre but à l’extérieur (USMBA, USMH, JSS (en coupe) et USB. Avec un tel indice, l’inefficacité colle à la peau des Ententistes même en dehors de leurs bases où ils disposent pourtant de plus d’espace. Avec zéro but en 360 minutes de jeu, le mutisme de l’attaque est à la fois inquiétant et troublant. D’autant que le syndrome des «ratages» perdure depuis le début de l’exercice. Et dire que certains attaquants sétifiens ne manquent pas d’expérience. En place depuis plus de deux mois, Benchikha qui n’a toujours pas trouvé l’antidote au mal qui ronge l’Aigle noir, est bousculé par le temps et un calendrier pas clément. La pression des résultats a sans doute accentué les difficultés des Noir et Blanc qui devront cette fois se transcender pour forcer les verrous de l’adversaire ayant livré une grande bataille vendredi. Le facteur récupération est un élément important à ce stade de la compétition. En dépit des aléas du déplacement, les Sétifiens se présenteront avec une bien meilleure fraîcheur physique. Benchikha, qui a visionné le choc JSS-USMA, a sans doute décortiqué la manière de faire de la formation phare du Sud, pas facile du tout à faire craquer. Avec un jeu difficile à lire, la JSS cède le ballon mais peut faire mal à tout moment de la partie, notamment dans le temps additionnel. Cela dit, le champion sortant se déplacera sans son capitaine parti à Riyad où il a fait son entrée officielle avec Ennasr. Benchikha ne dispose pas de mille et une solutions pour compenser ce départ. L’absence de Djabou ne passera pas inaperçue à Béchar où manqueront à l’appel les Ibouziden, Zeghba, Saad, Aiboud et Sidhoum. Ces forfaits et d’autres problèmes empoisonnent la vie du coach qui est dans l’obligation de composer avec ces aléas. L’histoire des réserves formulées à l’encontre du joueur de l’US Biskra, Mebarki, alimente en outre la chronique. Le n° 1 ententiste, Hacen Hamar, n'y va pas par quatre chemins : «Les cas de Mebarki et Hadji sont clairs comme de l’eau de roche. Libérés par la commission des litiges, les deux joueurs qui ont été incorporés lors du dernier USB-ESS ne sont plus qualifiés à Biskra, point barre.»             

USM el Harrach : Aziz Abbès, nouvel entraîneur

Le feuilleton de la vacance à la tête de la barre technique de l’USM El Harrach a connu son épilogue, hier après-midi, avec la désignation de l’ancien coach du CA Batna, du MC El Eulma et du CA Bordj Bou Arréridj, entre autres, en l’occurrence Azi
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USM el Harrach : Aziz Abbès, nouvel entraîneur

Le feuilleton de la vacance à la tête de la barre technique de l’USM El Harrach a connu son épilogue, hier après-midi, avec la désignation de l’ancien coach du CA Batna, du MC El Eulma et du CA Bordj Bou Arréridj, entre autres, en l’occurrence Aziz Abbès comme successeur du Tunisien Hamadi Daou. Aziz Abbès, qui s’est déplacé hier matin à Alger, a tout conclu avec les responsables du directoire de l’USMH. Il signera un contrat de deux ans aujourd’hui même, avec comme objectif le maintien de l’équipe en Ligue 1. Il est attendu qu’il entame sa mission dès aujourd’hui, où il sera présenté aux joueurs à l’occasion de la séance de reprise des entraînements. Ainsi donc, et après tout le suspense entourant cette question du nouvel entraîneur et après une semaine des plus mouvementées au lendemain du limogeage du Tunisien Hamadi Daou, l’USMH tient enfin son entraîneur en chef. Pour rappel, suite au limogeage de Daou plusieurs techniciens ont été annoncés pour sa succession, avec d’abord Farid Zemiti dont le nom n’a pas fait l’unanimité aussi bien au sein de la direction que du côté des supporters. Ces derniers avaient exigé le retour de Mohamed Haniched, au moment où la direction avait pris attache avec Fouad Bouali, dont les exigences financières ont vite fait de l’écarter de la liste des prétendants. Plébiscité par les dirigeants, l’actuel entraîneur des gardiens de la sélection U21, Mohamed Haniched, finira par faire faux bond, moins de 24 heures après avoir donné son accord. C’est ainsi que le nom d’Aziz Abbès a été évoqué durant le week-end et qu’un accord a vite été trouvé, faisant du technicien le troisième entraîneur des Jaune et Noir cette saison, après Younes Ifticène et Hamadi Daou.  

USMBA 2 – USB 1 : L’axe central sauve El Khadra

Les Belabbésiens se sont imposés, hier, sur leurs bases, face à l’US Biskra sur le score de deux buts à un, pour le compte des 8es de finale de la coupe d’Algérie. Au prochain tour, ils recevront la JS Saoura, qui a battu la veille l’USM Alger.
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USMBA 2 – USB 1 : L’axe central sauve El Khadra

Les Belabbésiens se sont imposés, hier, sur leurs bases, face à l’US Biskra sur le score de deux buts à un, pour le compte des 8es de finale de la coupe d’Algérie. Au prochain tour, ils recevront la JS Saoura, qui a battu la veille l’USM Alger. La victoire face à Biskra a été décrochée grâce à deux buts de la tête des deux défenseurs composant son axe central, Khali en première mi-temps et Benabderahmane durant le second half. Les deux réalisations se sont concrétisées sur des balles arrêtées, bottées par le remuant Zouari. L’USB, qui restait sur une victoire contre l’ESS, est en net regain de forme ces derniers temps. En dépit de sa position au classement, ce club a fourni dans l’ensemble une bonne prestation, même si en fin de compte il s’est fait éliminé. Malgré l’avantage des locaux au score, à la fin des premières 45’, l’US Biskra a mieux réagi en deuxième mi-temps, en effectuant un haut pressing, ce qui a porté ses fruits. C’est ainsi que les visiteurs sont revenus dans le score dès la 47’ par l’intermédiaire de Mouaki. L’USB a failli même doubler la marque quelques minutes plus tard si ce n’était l’intervention du gardien Toual de retour dans les bois. Mais peu à peu, l’USMBA a repris les choses en main. C’est ainsi que la multiplication des attaques durant les dernières 20 minutes a fini par payer puisque Benabderahmane a inscrit le deuxième but à la 81’. La rencontre s’est terminée donc sur ce score de deux buts à un. Il est à rappeler qu’au cours des deux dernières saisons sportives, l’USMBA est arrivée deux fois de suite aux demi-finales de Dame coupe, deux rendez-vous perdus respectivement face au NAHD et au CRB. Le club veut cette fois-ci aller plus loin. Mais il faudrait tout d’abord se défaire de la JS Saoura en quarts de finale.

Les Crabes, «bête noire» des Oranais

Les Béjaouis n’ont pas raté l’occasion de la réception de la formation du MC Oran, hier au stade de l’Unité maghrébine, dans le cadre des 8es de finale de la coupe d’Algérie, pour décrocher une qualification difficile mais méritée au proch
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Les Crabes, «bête noire» des Oranais

Les Béjaouis n’ont pas raté l’occasion de la réception de la formation du MC Oran, hier au stade de l’Unité maghrébine, dans le cadre des 8es de finale de la coupe d’Algérie, pour décrocher une qualification difficile mais méritée au prochain tour, et ce, en s’imposant sur le score de 1-0. En effet, la rencontre a été dominée dans son ensemble par les locaux qui se sont procuré plusieurs occasions de but. On retiendra notamment la belle opportunité des poulains du coach Bouarrata à la 4’ par Kadri, qui a adressé un tir puissant intercepté par le gardien Natèche. Hichem Cherif a tenté sa chance, pour sa part, à la 12’ mais en vain. Les visiteurs ont réagi, par contre, à la 29’ par Ferahi sur un tir qui a été renvoyé par le gardien béjaouis. Après la pause, les Crabes, qui ont fait preuve d’une grande détermination, ont accéléré la cadence en se créant plusieurs occasions, notamment par Soltane (66’) et Maâmar Youcef (75’) qui n’ont pas pu trouver le cadre. Mais à la 79’, les locaux ont obtenu un penalty après que le défenseur Helaimia ait touché la balle de la main suite à un cafouillage. Salhi s’en est chargé et a marqué l’unique but de la partie, permettant à son équipe de décrocher une qualification méritée au prochain tour. D’ailleurs, les Oranais n’ont pas fourni le rendement escompté dans ce match en se contentant de quelques incursions. Les Crabes auront ainsi affaire à un gros morceau lors du prochain tour en affrontant le MC Alger chez lui. Les Béjaouis veulent encore poursuivre leur aventure en tentant d’aller le plus loin possible dans la compétition, sachant que l’objectif principal des dirigeants reste l’accession en Ligue 1. Il est à signaler que le coach Bouarata est en train de réussir un bon début avec le MOB en enchaînant une troisième victoire d’affilée toutes compétitions confondues.     Coupe d’Algérie - Résultats des 8es de finale  MC Alger - CR Belouizdad  2-1 (ap) CRB Dar Beida - JS Kabylie  0-1 JS Saoura - USM Alger  1-0 AS Aïn M’lila - MC El Bayadh  1-0 USM Blida - DRB Tadjenanet  5-0 US Belkheir - CR Zaouia  0-3 MO Béjaïa - MC Oran  1-0 USM Bel Abbès - US Biskra  2-1   Les matchs des quarts de finale USM Bel Abbès - JS Saoura MC Alger - MO Béjaïa    CR Zaouia - AS Aïn M’lila JS Kabylie - USM Blida

USM Bel Abbès : La coupe pour reprendre confiance

La délibération de la subvention par l’APC de Sidi Bel Abbès au club de la Mekerra a pris fin jeudi dernier après la tenue de l’AG extraordinaire par les nouveaux élus de la commune. Initialement, les membres sortants avaient adopté, le 25 octobr
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USM Bel Abbès : La coupe pour reprendre confiance

La délibération de la subvention par l’APC de Sidi Bel Abbès au club de la Mekerra a pris fin jeudi dernier après la tenue de l’AG extraordinaire par les nouveaux élus de la commune. Initialement, les membres sortants avaient adopté, le 25 octobre 2017, l’octroi au club de 3 milliards de centimes, mais les délais de fin de mandat ont empêché de voir la démarche aboutir, indique une source de l’APC de Sidi Bel Abbès. C'est donc une bouffée d'oxygène tant attendue par le vieux club de la Mekerra, lequel boucle au cours de cette semaine ses 85 ans d'existence et cette assistance financière l'aidera à faire face aux multiples charges. Le club a besoin de cet argent pour mettre les joueurs dans de bonnes conditions et à même de relever le défi, surtout que l’amère défaite à domicile contre le CS Constantine, lors de la 18e journée du championnat de Ligue 1, a mis l’équipe dans une position inconfortable. Toutefois, cette défaite a été évacuée par le staff technique local, à sa tête Cherif El Ouzzani, qui a axé sa préparation sur son match pour les 16es de finale de coupe d'Algérie face à l’US Biskra aujourd’hui. Le coach belabbésien nous a déclaré : «Pour le moment, on est certes concentrés sur notre match face à l'US Biskra, comptant pour les 16es de finale de la coupe d'Algérie. Après, on pensera à la suite du parcours en championnat. Quant à ce match face à l’USB, il est très important pour notre équipe de le gagner et de se qualifier aux quarts de finale. C'est une nouvelle aventure en coupe d'Algérie que nous allons aborder, et nos ambitions dans cette épreuve sont légitimes. Nous sommes appelés à nous réhabiliter au plus vite devant notre cher public.» A noter que l'USMBA évoluera sans la présence de Tabti, qui est blessé depuis près d'un mois, ainsi que la nouvelle recrue Laâbani, suspendu après sa récente expulsion lors du match contre le CS Constantine à Sidi Bel Abbès.  

ES Sétif : L’après-Djabou a commencé

Contre toute attente, le club phare de Sétif donne le quitus de sortie à Abdelmoumen Djabou, deux semaines après la signature du nouveau contrat le liant à l’Entente. D’un point de vue financier, l’ESS réalise cette fois-ci une excellente affair
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ES Sétif : L’après-Djabou a commencé

Contre toute attente, le club phare de Sétif donne le quitus de sortie à Abdelmoumen Djabou, deux semaines après la signature du nouveau contrat le liant à l’Entente. D’un point de vue financier, l’ESS réalise cette fois-ci une excellente affaire, puisque ses caisses seront renflouées de 200 000 euros, alors que le départ du joueur vers le Club Africain n’avait rapporté aucun centime à l’Aigle noir. Ce dernier a été à l’époque victime de certains «intermédiaires» qui se sont bien rempli les poches. D’un point de vue sportif, le club phare de Aïn Fouara, ne pouvant certes dire non à cette belle opportunité, perd une pièce maîtresse et une 3e licence africaine. D’autant que les nouvelles recrues du mercato hivernal, Aouadj et Banouh, ne sont pas qualifiés pour disputer le premier tour de la Ligue des champions d’Afrique dont le coup d'envoi sera donné le 11 février à l’occasion du match aller devant opposer l’ESS au Real de Bangui (Centrafrique) à Sétif. Par la faute de la FAF qui n’a pas transmis dans les délais les dossiers des joueurs précités, l’ESS est non seulement sanctionnée mais est obligée de se passer des services des deux attaquants. Cela dit, le transfert de Djabou tombe au mauvais moment pour le champion sortant, qui collectionne les revers depuis des semaines. L’ex-Mouloudéen Aouadj aura la lourde tâche de remplacer l’ex-métronome sétifien parti au Nasr de Riyad, où il est qualifié car sa lettre de sortie n’a pas trop «traîné» dans les tiroirs. Programmée pour ce mardi, la rencontre JSS-ESS, comptant pour la 19e journée, n’arrange pas les affaires des Ententistes, placés entre le marteau et l’enclume. Le nouveau tartan opérationnel Ayant fait couler beaucoup d’encre, le dossier du nouveau tartan du stade du 8 Mai 1945 est désormais clos. Pas une simple sinécure, l’enlèvement de l’ancienne pelouse et l’installation de la nouvelle ont été réalisés en un temps record. Afin de terminer les travaux dans un délai de dix jours, l’entreprise désignée a constitué deux équipes, lesquelles ont travaillé plus de 12 heures par jour. La présence permanente du DJS et la pression du wali, Nacer Maskri, qui suivait quotidiennement l’avancée des travaux, sont les autres causes de la finalisation de l’opération avant l’heure. La clémence du temps a joué en faveur des chargés du projet. Ainsi, le onze sétifien devant s’entraîner demain sur une pelouse de dernière génération n’a donc pas été contraint de recevoir ses adversaires hors du chaudron, renouant avec les standards internationaux, puisqu’il mesure désormais 107x71 m en lieu et place des 105x58 m, actuellement. «Nous sommes contents d’avoir finalisé le projet en un laps de temps aussi court. Grâce à l’implication de tout un chacun, on a pu relever le défi. L’engagement personnel du wali qui a réglé d’épineux problèmes administratifs a accéléré le processus», a fièrement déclaré Aziz Tahir, directeur de la jeunesse et des sports de Sétif.  

CAF-FAF : Zetchi ne sera pas suspendu

Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheireddine Zetchi, ne fera l’objet d’aucune sanction de la part de la Confédération africaine de football (CAF). Beaucoup de rumeurs ont circulé sur ce sujet depuis l’épisode de l
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CAF-FAF : Zetchi ne sera pas suspendu

Le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheireddine Zetchi, ne fera l’objet d’aucune sanction de la part de la Confédération africaine de football (CAF). Beaucoup de rumeurs ont circulé sur ce sujet depuis l’épisode de l’envoi du dossier de la candidature de Bachir Ould Zmirli à l’élection au comité exécutif de la CAF et de l’invalidation par la confédération de la candidature du dirigeant algérien. La Fédération, par le biais de son président, a contesté la décision de la CAF. Des sources ont prêté à Kheireddine Zetchi d’avoir fortement protesté auprès de dirigeants de la CAF et ont indiqué qu’il allait être suspendu 2 ans. D’autres cercles en ont ajouté une couche et prédit que la FAF allait être suspendue 2 ans comme si une entité morale (la fédération) pouvait être suspendue sans avoir manqué à ses obligations statutaires et surtout par un organe autre que l’assemblée générale, seule habilitée à prononcer ce type de sanction contre une fédération. Hier, en marge du congrès ordinaire de la CAF tenu au Maroc, tout est rentré dans l’ordre. Le cas Zetchi ne figurait pas à l’ordre du jour du comité exécutif de l’instance faîtière du football. Des sources proches de cet organe ont indiqué que, «contrairement à ce qui a été rapporté ici et là, au niveau de la CAF, il n’y avait aucun dossier Zetchi. Certes, il a démissionné de la commission d’organisation du CHAN, c’est son droit le plus absolu, comme c’est celui de la CAF de ne pas recourir à sa présence au sein de cet organe durant les prochains mois». Le dossier est clos. Toutefois, il ne faut pas croire que le dénouement est intervenu sans les bons offices de quelques parties présentes au Maroc et qui ont plaidé en faveur de l’apaisement entre la CAF et la FAF. Gorge profonde croit «savoir que Mourad Mazar n’est pas étranger à l’apaisement et au réchauffement des relations entre la CAF et la FAF». Le président de la Fédération internationale de lutte contre la corruption dans le sport (Fiacs) est présent au Maroc à l’invitation du président Ahmad Ahmad. Les deux instances vont prochainement signer un protocole d’accord.

MCA - CRB : L’arbitre Bouzrar a crevé l’écran

L’arbitre fédéral Ahmed Bouzrar a dirigé d’une main de maître le derby algérois MC Alger-CR Belouizdad (0-0). Sa prestation a été à la hauteur de la confiance placée en lui par la Commission fédérale des arbitres (CFA). Le natif de Toudja (wi
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MCA - CRB : L’arbitre Bouzrar a crevé l’écran

L’arbitre fédéral Ahmed Bouzrar a dirigé d’une main de maître le derby algérois MC Alger-CR Belouizdad (0-0). Sa prestation a été à la hauteur de la confiance placée en lui par la Commission fédérale des arbitres (CFA). Le natif de Toudja (wilaya de Béjaïa) a tiré son épingle du jeu dans un match qui a fait perdre le sommeil aux arbitres désignés pour l’officier. Ahmed Bouzrar (40 ans), promu arbitre fédéral en 2014 lorsque Belaïd Lacarne était à la tête de l’arbitrage, a été maintenu longtemps dans l’ombre des arbitres internationaux et de son grade alors qu’il avait toutes les qualités et capacités pour briller dans la cour des grands. Instructeur auto-école dans la vie civile, il a fait ses premiers pas d’arbitre au niveau de la ligue de la wilaya de Béjaïa. Ensuite, il a franchi sans vague les différentes étapes de sa carrière jusqu’au jour où l’ex-arbitre international Mohamed Zekrini l’a remarqué dans un match de Division amateur à Rouiba et l’a signalé à la structure qui dirigeait l’arbitrage. Samedi, au stade du 5 Juillet, il a fait montre de toutes les qualités qui distinguent un bon arbitre. Il a été autoritaire dans la conduite de la partie, ne s’est pas laissé influencer ni par les acteurs ni par tout ce qui gravite autour du derby. Il a bien géré le match grâce à sa bonne condition physique, il est resté concentré de bout en bout, ses décisions étaient appropriées à la faveur de son excellente concentration. Il n’a pas eu peur du match. C’est peut-être là que réside sa réussite dans le derby algérois. Il a sifflé quand il le fallait, il n’a pas haché le jeu avec des coups de sifflet intempestifs après les contacts et surtout il a donné un sens à la règle de l’avantage qui distingue un bon arbitre d’un moins bon. Depuis le début de saison (18 journées), la CFA l’a désigné 6 fois pour les rencontres de Ligue 1 et 4 fois pour celles de la Ligue 2. Un vieux routier de l’arbitrage affirme qu’il est «l’un des plus honnêtes arbitres du football algérien». Il reste à espérer qu’après sa belle prestation lors du derby MCA-CRB, la CFA lui accordera plus de confiance que par la passé. Il a prouvé qu’il avait l’envergure nécessaire pour officier plus souvent.