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Todorov exige de percevoir ses salaires avant de partir

La direction du CR Belouizdad, qui veut à tout prix se débarraser de son entraîneur franco-serbe Ivika Todorov, aura bien du mal à arriver à ses fins face au refus du technicien de résilier son contrat à l’amiable. Le président du Chabab, Mohamed
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Todorov exige de percevoir ses salaires avant de partir

La direction du CR Belouizdad, qui veut à tout prix se débarraser de son entraîneur franco-serbe Ivika Todorov, aura bien du mal à arriver à ses fins face au refus du technicien de résilier son contrat à l’amiable. Le président du Chabab, Mohamed Bouhafs et après deux rounds de négociations avec son coach, s’est heurté au refus de ce dernier de procéder à la résiliation de son contrat avant la régularisation de sa situation financière. Selon certaines indiscrétions, Todorov, qui n’a pas réclamé des indemnités pour son départ éventuel, exige néanmoins d’être payé pour tous les mois de travail effectués à la tête de la barre technique. Toujours selon nos sources, le technicien franco-serbe recruté par la direction belouizdadie pour un salaire mensuel de 13 000 euros, et en poste depuis juillet dernier, n’aurait touché que 30 000 euros, et attend donc le reste de son dû pour accepter de résilier son contrat. En attendant, Todorov poursuit son travail comme si de rien n’était, en assurant la séance de reprise des entraînements mardi soir, même si côté effectif, c’est la débandade avec l’absence de la moitié des joueurs.

CS Constantine : Une phase aller idéale

Avec un bilan de 9 victoires, 4 nuls et seulement 2 défaites, le CS Constantine a réalisé une première manche idéale, terminant champion d’hiver avec 31 points au compteur, soit 8 points de moins qu’à l’ultime journée de l’exercice précédent
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CS Constantine : Une phase aller idéale

Avec un bilan de 9 victoires, 4 nuls et seulement 2 défaites, le CS Constantine a réalisé une première manche idéale, terminant champion d’hiver avec 31 points au compteur, soit 8 points de moins qu’à l’ultime journée de l’exercice précédent ! Une belle performance qui aurait pu l’être davantage si les coéquipiers de Bencherifa n’avaient pas laissé filer 4 précieux points à domicile, respectivement face à l’O Médéa (1-1) et l’USM Blida (1-1). Les observateurs et les supporters sont unanimes : si l’on devait des remerciements à quelqu’un, c’est bien à l’entraîneur Abdelkader Amrani dont les choix, en termes de recrutement et de philosophie de jeu, se sont avérés judicieux. En effet, on se souvient que les arrivées de l’intersaison, notamment Mohamed Lamine Abid, n’avaient pas suscité énormément d’enthousiasme, et beaucoup n’ont espéré, au meilleur des cas, qu’un parcours un peu moins chaotique que celui de l’année précédente. Cependant, rassuré derrière par le gardien Rahmani et Aroussi, autres nouvelles recrues, aux côtés des confirmés Zaâlani, Benayada et du capitaine Bencherifa, boosté au milieu par le Burkinabé Sylla, Lamri et Zerara, et surtout, mené à l’avant par le duo Belkheir et Abid, le team constantinois a réalisé une première moitié de saison époustouflante, avec le chiffre éloquent de 22 buts inscrits, qui vaut à l’attaque clubiste la première place, en compagnie de l’USM Alger, pour 14 buts encaissés. Pour sa part, le transfuge du NA Hussein Dey, Abid, et bien que n’ayant été titularisé qu’à partir du déplacement de la 3e journée à El Harrach, a fait parler la poudre, pratiquement à chacune de ses apparitions (11 buts en 12 matchs), ce qui lui a valu le titre de buteur de cette phase aller, de même qu’une première convocation en équipe nationale des locaux. Autre néo-international clubiste, l’ailier Abdenour Belkheir qui, après une première saison en demi-teinte, s’impose comme le second homme fort d’Amrani, en témoignent les cinq passes décisives délivrées à ses coéquipiers, et surtout son influence sur le jeu de l’équipe, qui penche le plus souvent à droite. Signalons aussi le précieux rôle joué par Bencherifa et Lamri, respectivement sur le flanc gauche en défense et au milieu, ce qui leur a également valu de participer au stage de l’EN A . Pour bien se préparer pour la suite de la compétition, laquelle ne s’annonce pas de tout repos pour une équipe désormais attendue au tournant, le coach tlemcénien a programmé, à partir de vendredi, un stage bloqué à Alger, lequel sera ponctué par deux rencontres amicales contre des clubs de L1. Enfin, concernant le mercato hivernal, la libération de Zerguine, de Bahri et de Tayeb n’est plus qu’une question d’heures, alors que les noms de Cissé et Belamaïri reviennent avec insistance ces derniers jours. Au registre des recrutements, le défenseur central du MC Alger, Zidane Mebarakou, a fait le déplacement lundi à Constantine pour y rencontrer le manager général Tarek Arama, et l’on évoque avec insistance, dans l’entourage du club, une possibilité d’échange avec Belamaïri. Par ailleurs, le forcing opéré par certains intermédiaires pour faire venir l’arrière droit Mokhtar Belkhiter, fraîchement débarqué du Club Africain (Tunisie), ne semble pas du goût des supporters, pour lesquels la priorité consiste à renforcer le milieu de terrain et l’attaque. Nous en saurons davantage après la réunion prévue incessamment entre Arama et Amrani afin de trancher définitivement cette question.

CR Belouizdad : Todorov refuse une séparation à l’amiable

L’avenir du Franco-Serbe Ivica Todorov à la tête de la barre technique du CR Belouizdad est toujours en suspens, et la direction du club qui aurait entrepris des contacts avec des techniciens, notamment étrangers, pour reprendre en main les destinées te
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CR Belouizdad : Todorov refuse une séparation à l’amiable

L’avenir du Franco-Serbe Ivica Todorov à la tête de la barre technique du CR Belouizdad est toujours en suspens, et la direction du club qui aurait entrepris des contacts avec des techniciens, notamment étrangers, pour reprendre en main les destinées techniques du club semble dans l’embarras. En effet, le président du Chabab, Mohamed Bouhafs, de retour au pays le week-end dernier, s’est réuni à deux reprises avec son entraîneur, dans le but de trouver un terrain d’entente pour une séparation à l’amiable avec le Franco-Serbe. Des négociations qui ne semblent pas avoir abouti, puisque, selon certaines indiscrétions, Todorov aurait refusé, hier, la proposition d’une séparation à l’amiable avec la direction. Une situation qui n’est pas faite pour rassurer les fans belouizdadis, encore moins la direction qui semble vouloir à tout prix se séparer du Serbe. Une séparation qui semble d’ailleurs inévitable, non seulement en raison des résultats de l’équipe avec une série record de 12 matchs de suite sans la moindre victoire, mais surtout en raison des tensions entre les deux parties. En effet, Todorov installé depuis l’été dernier à la tête de la barre technique du Chabab, en remplacement du Marocain Badou Zaki, n’a cessé de multiplier les attaques à l’égard de la direction de Bouhafs, en l’accusant d’être la responsable de la situation qui prévaut au sein du club, résultant de cette histoire des salaires impayés des joueurs. Pis encore, le technicien franco-serbe ne cesse de défier sa direction, refusant même toute nomination au sein de son staff. Pour illustration, il y a lieu de signaler ce quiproquo au sujet de la nomination de l’ancien attaquant du CRB, Saïd Boutaleb, par la direction au poste d’entraîneur adjoint depuis plusieurs jours déjà, sans que ce dernier ne puisse entamer effectivement sa mission en raison du refus de Todorov qu’on lui «impose» un assistant. Reste à connaître l’évolution de la situation avec ce bras de fer engagé entre la direction et le coach, et ses conséquences sur l’équipe, qui devait reprendre le chemin des entraînements hier en fin de journée au stade du 20 Août, avant de rallier dès ce week-end la ville de Tipasa pour le stage hivernal.

Equipe nationale A’ : Le stage prendra fin aujourd’hui

Le stage de l’équipe nationale des joueurs locaux prendra fin aujourd’hui. L’ayant programmé pour une durée d’une semaine (du 17 au 24 décembre), le sélectionneur national, Rabah Madjer, a dû finalement l’écourter, après l’annulation du ma
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Equipe nationale A’ : Le stage prendra fin aujourd’hui

Le stage de l’équipe nationale des joueurs locaux prendra fin aujourd’hui. L’ayant programmé pour une durée d’une semaine (du 17 au 24 décembre), le sélectionneur national, Rabah Madjer, a dû finalement l’écourter, après l’annulation du match amical face aux Emirats arabes unis qui devait avoir lieu le 23 du même mois. La Fédération émiratie avait fait l’impasse sur cette rencontre amicale à cause de la participation de son équipe à la Coupe du Golfe, qui va avoir lieu au Koweït, à partir de ce vendredi 22 décembre, une compétition qu’elle avait boycottée dans un premier temps. En tout cas, l’annulation de ce match amical n’a pas empêché le coach de regrouper les joueurs, même si leur nombre a baissé de 21 à 15 après les défections pour blessures de Abdelmoumen Djabou (ESS), Sidi Ali Lamri (CSC), Oussama Darfelou (USMA), Mohamed Khouthir Ziti (ESS), qui souffre de lésions musculaires, Abdelkader Bedrane (ESS), victime d’un problème tendineux, et Mohamed Rachid Bouhenna (MCA), qui a un traumatisme au pied. Pour les joueurs qui étaient disponibles, le staff a programmé deux séances par jour en mettant l’accent, lors de chaque entraînement, sur la cohésion tactique. Lors d’une intervention faite au site de la Fédération algérienne de football, Rabah Madjer s’est dit globalement «satisfait» du regroupement. Pour le sélectionneur national, ce stage représente, par ailleurs, «le début d’une campagne de prospection destinée à détecter de nouveaux joueurs, susceptibles de renforcer la sélection nationale d’ici la reprise des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations en septembre 2018». «Au mois de janvier, nous essayerons de programmer des matchs de préparation contre des sélections africaines locales, qui préparent le CHAN-2018, puisque ce sont les seuls adversaires qu’on peut avoir en dehors des dates FIFA», a-t-il ajouté. Maintenant, il reste à savoir si le staff technique national aura la possibilité d’organiser mensuellement des stages pour les locaux durant la phase retour du championnat, qui devrait se terminer, selon les recommandations de la Fifa, avant fin mai.

Les journalistes sportifs africains rendent hommage à Ahmed Achour

Le Congrès de l’AIPS Afrique, organisation des journalistes sportifs africains (ex- UJSA), s’est ouvert hier à Nairobi (Kenya) en présence de 27 associations nationales africaines, ainsi que de Gianni Merlo, président de l’AIPS Monde. Dès le déb
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Les journalistes sportifs africains rendent hommage à Ahmed Achour

Le Congrès de l’AIPS Afrique, organisation des journalistes sportifs africains (ex- UJSA), s’est ouvert hier à Nairobi (Kenya) en présence de 27 associations nationales africaines, ainsi que de Gianni Merlo, président de l’AIPS Monde. Dès le début de l’événement, le souhait des représentants de la presse sportive africaine d’inscrire dans l’agenda du congrès une minute de silence à la mémoire du journaliste algérien Ahmed Achour (décédé jeudi dernier) a été retenu. Les journalistes sportifs africains, parmi lesquels Ahmed Achour avait de nombreux amis qu’il avait eu à côtoyer au cours des nombreuses manifestations sportives africaines et internationales qu’il a eu à couvrir durant sa longue carrière, ont tenu à se recueillir et à rendre hommage à notre confrère décédé. Longtemps en gestation du fait de nombreux problèmes qui ont miné son bon fonctionnement, l’Association africaine de la presse sportive tente de se relever de ses contradictions et d’apparaître sous son meilleur jour. Après le congrès de Bamako (2016) qui a jeté les bases du renouveau, les membres de cette instance se sont retrouvés à Nairobi (16 au 19 décembre), qui en plus d’élire pour quatre ans un président et un comité exécutif, devrait jeter les bases d’une réflexion pour se prendre en charge et jeter des passerelles durables avec les autres instances du sport africain, telle la Confédération africaine de football par exemple. Dans son allocution, le président de l’AIPS Afrique, Obi Mitchell, a situé brièvement les efforts faits au cours de ce premier mandat par l’exécutif actuel «dans une association où il n’y avait rien et où il fallait commencer de zéro». De son côté, l’Italien Gianni Merlo, président de l’AIPS Monde, a estimé que de nombreux effets négatifs traversaient le journalisme sportif international. Le chef de l’instance mondiale a rappelé que les intérêts étriqués des gouvernements sont tels qu’ils ne veulent pas de journalistes indépendants et crédibles. Il a appelé les associations nationales africaines à créer les conditions de leur indépendance pour défendre les intérêts de la profession et ceux des membres de la presse locale. Il dira à l’adresse des représentants des journalistes sportifs africains : «C’est notre crédibilité que nous devons construire. Si nous sommes des attachés de presse pour les ministres, nous ne respectons pas la profession. Nos associations nationales doivent être organisées et indépendantes pour être crédibles.» L’Association des journalistes sportifs algériens (AJSA), membre de l’AIPS Monde depuis 1996, a délégué un représentant à Nairobi. Celui-ci a fait une intervention remarquée au cours de laquelle il a insisté sur le principe d’indépendance et de défense de la liberté d’expression à la proximité d’institutions hostiles et dans un milieu sportif de plus en plus passionné. Il a également expliqué à l’assistance, citant la propre expérience de l’AJSA qui ne jouit d’aucun financement extérieur, combien il était dur pour les associations nationales africaines de s’autofinancer et de financer les programmes d’action qu’elles se fixent par le seul apport de leurs membres. Le congrès de l’AIPS Afrique s’achève aujourd’hui avec l’élection d’un président et d’un comité exécutif. Selon toute vraisemblance, le Nigérian Mitchell Obi, seul candidat à sa propre succession, devrait être reconduit. Il aura la lourde tâche de faire passer l’instance africaine de l’amateurisme et d’une gestion approximative, dans laquelle elle se dépêtre depuis des lustres, à une étape qualitative supérieure, comme il s’est plu à le promettre dans son intervention préliminaire.  

Un premier stage et des défections

La sélection nationale de football des locaux (A’), mise en veilleuse depuis son élimination par la Libye en août dernier en éliminatoires du CHAN-2018, sous la conduite du désormais ex-sélectionneur national, l’Espagnol Lucas Alcaraz, reprend donc
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Un premier stage et des défections

La sélection nationale de football des locaux (A’), mise en veilleuse depuis son élimination par la Libye en août dernier en éliminatoires du CHAN-2018, sous la conduite du désormais ex-sélectionneur national, l’Espagnol Lucas Alcaraz, reprend donc du service après quatre mois d’arrêt. Cette fois-ci c’est avec un nouveau staff à sa tête, à l’occasion d’un stage qui devait initialement s’étaler sur une semaine (du 17 au 23 décembre) au Centre technique national (CTN) de Sidi Moussa, mais qui a été écourté et qui prendra fin dès demain, soit après seulement quatre jours de regroupement. En effet, pour ce premier stage du genre sous la coupe du nouveau sélectionneur des Verts, Rabah Madjer et son staff, les contraintes se sont multipliées au point de pousser le premier responsable du staff à écourter ce premier regroupement des joueurs du cru organisé sous sa coupe. Déjà contraint de revoir le programme de ce stage, qui devait être ponctué par une joute amicale face aux Emirats arabes unis, à Dubaï, avant que celle-ci ne soit annulée, suite à la décision de la Fédération émiratie de prendre part à la 23e édition de la Coupe du Golfe, délocalisée du Qatar au Koweït (22 décembre au 5 janvier), le staff national s’est heurté à la problématique des défections pour cause de blessure. Sur les 21 joueurs convoqués par Rabah Madjer, six ont déclaré forfait et ont été autorisés à quitter le regroupement. L’hécatombe des blessures a débuté dimanche, premier jour du stage, avec Abdelmoumen Djabou (ESS) et Sidi Ali Lamri (CSC), qui ont été libérés après que le staff médical, à sa tête le Dr Ali Yekdah, eut constaté des blessures les rendant inaptes pour ce stage. Hier, c’était au tour de quatre autres éléments d’être libérés. Il s’agit de Oussama Darfelou (USMA) et Mohamed Khouthir Ziti (ESS), arrivés au stage avec des lésions musculaires, ainsi que Abdelkader Bedrane (ESS), qui souffre de tendinite, et de Mohamed Rachid Bouhenna (MCA), victime d’un traumatisme au pied. Des défections qui vont donc contraindre le coach national à écourter ce premier stage, tout en songeant au prochain, qui devrait avoir lieu au mois de janvier avec probablement une joute amicale cette-fois-ci. C’est du moins le souhait de Rabah Madjer qui dira à ce propos, dans une déclaration au site officiel de la Fédération : «C’est le début d’une campagne de prospection pour détecter les joueurs susceptibles de renforcer la sélection nationale d’ici la reprise des éliminatoires de la Coupe d’Afrique des nations au mois d’octobre de l’année prochaine. Au mois de janvier, nous essayerons de programmer des matches de préparation contre des sélections africaines locales qui préparent le CHAN-2018, car ce sont les seuls adversaires qu’on peut avoir en dehors des dates FIFA.»  

MOB : Regroupement à Blida à partir d’aujourd’hui

C’est aujourd’hui que les Crabes débuteront à Blida leur stage de dix jours afin de se préparer pour la suite du parcours, notamment le match de Dame Coupe face à la formation de l’ESM Koléa, qui aura lieu à la fin du mois mais surtout la phase re
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MOB : Regroupement à Blida à partir d’aujourd’hui

C’est aujourd’hui que les Crabes débuteront à Blida leur stage de dix jours afin de se préparer pour la suite du parcours, notamment le match de Dame Coupe face à la formation de l’ESM Koléa, qui aura lieu à la fin du mois mais surtout la phase retour qui ne s’annonce pas facile. D’ailleurs, le coach Biskri tentera de profiter de cette période hivernale pour recharger les batteries et procéder aux réglages nécessaires afin que l’équipe puisse réussir son objectif à la fin du championnat. Une joute amicale est également au programme de ce week-end. Sur un autre volet, le staff technique devrait se réunir avec les dirigeants cette semaine pour évoquer certains points liés à ce mercato hivernal dont notamment la liste des libérés et les joueurs à recruter. Par ailleurs, on croit savoir que le joueur Bouchama a refusé une résiliation de son contrat à l’amiable et ce, en décidant de saisir la commission de résolution des litiges (CRL) pour réclamer la régularisation de sa situation financière.

Chronique de la candidature de Bachir Ould Zmirli

Le dossier de candidature de Bachir Ould Zmirli au comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) suscite un large débat au sein de l’opinion sportive. Le très probable rejet de la candidature du dirigeant algérien devrait être conf
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Chronique de la candidature de Bachir Ould Zmirli

Le dossier de candidature de Bachir Ould Zmirli au comité exécutif de la Confédération africaine de football (CAF) suscite un large débat au sein de l’opinion sportive. Le très probable rejet de la candidature du dirigeant algérien devrait être confirmé par la CAF le 28 ou le 29 décembre. Le mutisme observé à ce sujet par la FAF et la CAF en r ajoute encore une couche à la confusion qui entoure cette affaire. Au départ, il y a le communiqué de la CAF qui remonte au mois de novembre dernier qui annonçait  : «La CAF a décidé d’organiser le 2 février prochain à Rabat (Maroc) son assemblée générale. Cette dernière connaîtra l’élection de quatre membres supplémentaires du comité exécutif afin de mettre un terme au cumul des mandats.» La CAF a sollicité l’approbation des associations membres (fédérations) pour la tenue dans des conditions exceptionnelles d’une assemblée générale ordinaire le 2 février 2018 au Maroc. Quatre zones sur les six que compte la CAF sont directement concernées par cette élection dont celle de l’Union nord-africaine de football (UNAF), dont l’Algérie fait partie en compagnie du Maroc, de la Tunisie, de l’Egypte et de la Libye. Sur les cinq fédérations d’Afrique du Nord, seules l’Algérie et la Libye ont le droit de présenter leur candidature, étant donné que le Maroc a un représentant au comité exécutif de la CAF, Fouzi Lakjaa, alors que la Tunisie et l’Egypte ont chacune un élu au conseil de la FIFA. Le non-cumul de mandats décidé par la CAF ouvrait donc la voie à une candidature algérienne et libyenne. Jusque-là tout est clair. C’est à partir de ce moment que la situation prend une autre tournure. Avant le 5 décembre 2017, c’est-à-dire deux jours (48 heures) avant la date de clôture du délai de dépôt des candidatures, la Fédération n’avait manifesté aucun intérêt pour le scrutin du 2 février 2018. Les événements vont se bousculer à partir du 5 décembre. A cette date, El Hadi Ould Ali, ministre de la Jeunesse et des Sports, alors en visite de travail à l’intérieur du pays, interrogé au sujet de l’élection de la CAF,  a répondu que la FAF présentera une candidature. Quelques heures plus tard, et en marge du tirage au sort des 32es de finale de la coupe d’Algérie, il aborde le sujet avec Kheireddine Zetchi, président de la FAF. Les deux hommes décident alors de déposer la candidature de Bachir Ould Zmirli pour l’élection au comité exécutif de la CAF. C’est le début du (mauvais) feuilleton. Le 6 décembre, le courrier de candidature de Bachir Ould Zmirli est finalisé. Premier obstacle : «Les candidatures doivent parvenir au secrétariat général sous pli recommandé avec accusé de réception ou autre forme de courrier rapide ou express, le justificatif y afférent faisant foi», indique l’article 18 des statuts de la CAF, alinéa 6. La FAF est informée que le courrier transmis le 6 décembre à partir d’Alger n’arrivera pas au siège de la CAF avant le 8 décembre, à savoir un jour après la date butoir fixée au 7 décembre. Le 6 décembre, la FAF prend la décision d’acheminer le courrier via un citoyen inscrit sur le vol Alger – Le Caire qui, une fois arrivé dans la capitale égyptienne trouvera un membre de l’ambassade d’Algérie au Caire qui acheminera le courrier vers la CAF. Le lendemain, le 7 décembre, date de clôture des dépôts de candidatures, le dossier de Bachir Ould Zmirli est toujours en souffrance quelque part dans des bagages. La Fédération s’inquiète auprès de la représentation diplomatique algérienne au Caire. Quelques heures plus tard, la lettre est enfin déposée, et non transmise par courrier, conformément à l’alinéa 6 de l’article 18 des statuts de la CAF. La faute est alors consommée et la candidature de Bachir Ould Zmirli ne sera pas validée le 28 décembre, date à laquelle la CAF ouvrira les plis. En la forme déjà, la candidature algérienne sera rejetée. L’erreur est de l’avoir acheminée par porteur. A présent, il s’agit de s’interroger sur les mobiles qui ont conduit la Fédération à prendre sa décision le 5 décembre, et pas avant, et surtout d’identifier les parties qui ont fait le forcing pour que la FAF présente un candidat pour une course jouée d’avance. L’objectif recherché à travers cette démarche est clair. Humilier la FAF et l’Algérie. Rien, mais alors rien ne plaide en faveur d’un succès d’un Algérien dans une telle élection à la lumière des profonds bouleversements intervenus au sein de cette instance continentale depuis l’avènement de Ahmad Ahmad à la tête de la CAF et surtout du rôle de plus en plus important que joue notre voisin de l’Ouest dans la structure du football africain. La non-acceptation de la candidature de Bachir Ould Zmirli est un moindre mal devant une défaite à plate couture contre le Libyen Djamel Al Djaafari soutenu par tous ceux qui ont juré de faire barrage à l’Algérie au sein de la CAF.

ES Sétif : Madoui s’en va, Khoudi à la rescousse

Comme annoncé dans l’une de nos précédentes éditions, le désormais ex-coach de l’Entente de Sétif est en route vers l’Etoile Sportive du Sahel où il va prendre le relais d’une vieille connaissance, Hubert Velud, lequel avait, dans un passé pa
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ES Sétif : Madoui s’en va, Khoudi à la rescousse

Comme annoncé dans l’une de nos précédentes éditions, le désormais ex-coach de l’Entente de Sétif est en route vers l’Etoile Sportive du Sahel où il va prendre le relais d’une vieille connaissance, Hubert Velud, lequel avait, dans un passé pas très lointain, dirigé le onze phare d’Ain El Fouara. Celui-ci s’est envolé hier en direction d’Alicante (Espagne) pour y effectuer un stage coïncidant avec la mini-trêve hivernale qui ne connaîtra pas de grands mouvements dans la composante de l’Aigle noir terminant la phase aller sur les genoux. En attendant le recrutement d’un nouveau coach devant réparer la machine, Malik Zorgane qui a travaillé avec Madoui des mois durant va, nous dit-on, assurer l’intérim. Soulignons que la démission de Madoui a surpris le président de l’Entente Hacen Hamar qui ne s’attendait pas à un tel scénario. Furieux, le numéro un sétifien ne mâche pas ses mots : «Je le dis ouvertement : Madoui n’a pas été correct avec nous. Dire que je l’ai soutenu contre vents et marées ! Je n’ai jamais voulu le laisser tomber. Dommage. En plus du préjudice moral subi par l’équipe qui perd deux matches importants à cause de lui, il m’appelle le samedi à 22h pour m’annoncer son intention de quitter la barre technique. Avec cette démarche, il nous met devant le fait accompli. On va saisir la fédération pour bloquer la lettre de sortie de Madoui, lié au club jusqu’en 2020», dira Hamar qui a déjà commencé ses tractations. Même s’il n’a pas voulu divulguer le nom du futur entraîneur des Noir et Blanc, l’on apprend que Khoudi, l’ex-coach de la JS Saoura, est bien placé pour succéder à Madoui qui quitte l’Entente après deux défaites consécutives. Selon certaines indiscrétions, Djabou, qui n’a pas l’intention de prolonger son contrat à l’Entente, serait très intéressé par une nouvelle aventure en Tunisie. Pas au Club Africain de Tunis, mais à Sousse où on lui aurait fait miroiter monts et merveilles.

A quand la fin du cauchemar ?

La violence dans (et en dehors) des stades a fait une victime, un jeune homme assassiné lors des violents incidents qui ont émaillé le derby Ain Kebira - Ain Touila (Ligue de Sétif). Cette nouvelle tragédie interpelle toutes les parties concernées, de p
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A quand la fin du cauchemar ?

La violence dans (et en dehors) des stades a fait une victime, un jeune homme assassiné lors des violents incidents qui ont émaillé le derby Ain Kebira - Ain Touila (Ligue de Sétif). Cette nouvelle tragédie interpelle toutes les parties concernées, de près ou de loin, par le phénomène de la violence. La mort d’homme, une de trop, ne doit surtout pas être versée dans le registre des pertes et profits qu’engendre le football, la prendre comme une fatalité et continuer comme si de rien n’était. Ce regrettable et condamnable épisode étale au grand jour la faillite des politiques et stratégies de lutte contre la violence dans les stades suivies depuis plus de 20 ans. C’est surtout la preuve que le phénomène n’a pas été bien appréhendé par ceux qui ont la charge de le juguler, l’éradiquer. Sa persistance signifie que tout n’a pas été fait pour le vaincre définitivement. Beaucoup de pays ont été confrontés au cancer de la violence dans les stades. Ils en sont venus à bout à la faveur de lois, mesures et décisions savamment étudiées avant leur application. Aujourd’hui, leurs enceintes sportives sont des havres de paix. L’Angleterre, à titre d’exemple, était le pays le plus exposé au hooliganisme avec son cortège macabre de morts, de blessés et de dégâts matériels. Lorsque les autorités ont décidé de livrer un combat contre la violence dans les stades afin qu’il n’y ait plus de morts dans les enceintes sportives ou à cause du football, elles ont confié le dossier à des institutions avec une seule obligation : éradiquer la violence dans les stades britanniques. Sécurité et sûreté du football étaient le leitmotiv. Les résultats ont dépassé les attentes des Britanniques qui ont dégagé les moyens nécessaires pour atteindre les objectifs fixés. Ils n’ont pas perdu de temps avec les séminaires, conférences et débats sans fin, sans profondeur ni consistance. Au lendemain d’incidents et événements regrettables, il y a le recours systématique à la même posture, c’est-à-dire battre le rappel des mêmes visages, idées et propositions avec un bilan qui se passe de commentaire. Sans un changement radical de stratégie et de vision en matière de lutte contre la violence dans les stades, le fléau continuera d’avancer, parfois sournoisement, et d’autres fois avec force et puissance. Faut-il attendre qu’il y ait une banalisation de mort d’hommes pour prendre sérieusement en charge ce chapitre ? La violence se nourrit de l’incapacité de ceux qui ne la jugulent pas. C’est malheureusement le cas dans le football algérien. Le temps n’est-il pas venu d’opérer une rupture radicale avec les réflexes du passé pour s’inscrire dans une nouvelle démarche mieux adaptée à la situation et ses grands enjeux ? La violence dans les stades continuera de se manifester tant qu’elle ne sera pas combattue efficacement par des actes forts et non des discours creux et indigents puisés dans des recettes éculées. Y. O.

«On ne gardera que les joueurs qui veulent travailler d’arrache-pied»

Les Canaris n’arrivent toujours pas à s’imposer dans leurs bases où ils ont été accrochés plusieurs fois par leurs vis-à-vis. C’est le cas, d’ailleurs, de leur rencontre, vendredi, face aux gars du MC Oran qui ont réussi à revenir de Tizi-Ou
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«On ne gardera que les joueurs qui veulent travailler d’arrache-pied»

Les Canaris n’arrivent toujours pas à s’imposer dans leurs bases où ils ont été accrochés plusieurs fois par leurs vis-à-vis. C’est le cas, d’ailleurs, de leur rencontre, vendredi, face aux gars du MC Oran qui ont réussi à revenir de Tizi-Ouzou avec un point dans les bagages. Les Oranais ont failli même s’offrir la victoire si ce n’était le courage des joueurs, dont Adil Djabout qui a inscrit trois buts. Il a ainsi remis les pendules à l’heure. Sur cette rencontre, l’entraîneur de la JSK, Azzedine Ait Djoudi, a estimé, à la fin du match, que ses coéquipiers  pouvaient gagner la partie. «Nous avons commis plusieurs erreurs en défense que nous avons payées cash. Nous avons bien joué mais, nous avons offert un précieux cadeau à notre adversaire », a déclaré Ait Djoudi qui a vraiment été très satisfait de la prestation de Djabout. « J’ai eu peur de la réaction des supporters quand nous étions menés trois buts à zéro car, je n’arrivais pas à croire comment perdre encore une fois à Tizi-Ouzou. Heureusement, d’ailleurs, que les joueurs n’ont pas baissé les bras. Ils ont accentué leurs efforts pour rétablir l’équilibre. Ils auraient pu ajouter d’autres buts », a ajouté le coach des Jaune et Vert lors de sa traditionnelle rencontre avec les journalistes, à la fin du match. Il a aussi parlé de l’arbitre qui a privé, a-t-il soutenu, son équipe d’un penalty. « L’arbitre nous a refusé un penalty indiscutable en première période. Ce n’est pas un prétexte que j’avance pour justifier le résultat mais, tout le monde a vu ce qui s’est passé », a-t-il laissé entendre avant de revenir sur la situation de l’équipe allant jusqu’à dire que  « celui qui ne mérite pas sa place n’a qu’à aller ailleurs et la JSK ne gardera que les joueurs qui veulent travailler d’arrache-pied pour s’imposer dans le groupe. Certains joueurs manquent de maturité », a-t-il indiqué. Par ailleurs, même si le coach des Canaris s’est refusé tout commentaire, à chaud, sur la situation financière du club, il n’en demeure pas moins que celle-ci est préoccupante, notamment pour les dirigeants de la JSK. D’ailleurs,  à quelques joueurs seulement du match face au MCO, on a entendu parler d’un mécontentement chez les joueurs qui auraient menacé la direction du club de recourir à une grève et ne pas assister aux séances d’entraînement s’ils ne sont pas payés. Les joueurs ont même interpellé les membres du directoire pour venir à bout de ce problème qui date, dit-on, depuis plusieurs mois. De son coté, Ait Djoudi, avait reconnu, à la veille du match, que la situation de la JSK est difficile, notamment sur le plan financier car, avait-t-il déclaré, « nous avons hérité d’un club très endetté et il n’y a pas de problème au sein du groupe et il ne faut dramatiser les choses », avait-t-il ajouté sur ce sujet.

MCO : Le Mouloudia se fait hara-kiri

Le MCO a raté presque sa joute face à des Canaris fébriles et pouvait facilement empocher les trois points sans que personne ne crie au scandale. En effet, les Hamraoua ont déjoué tous les pronostics devant des Canaris amorphes, en menant à la mi-temp
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MCO : Le Mouloudia se fait hara-kiri

Le MCO a raté presque sa joute face à des Canaris fébriles et pouvait facilement empocher les trois points sans que personne ne crie au scandale. En effet, les Hamraoua ont déjoué tous les pronostics devant des Canaris amorphes, en menant à la mi-temps par un score sécurisant de deux buts à zéro (buts inscrits par Gharbi et Tiaibia). Le MCO ne se fera pas prier en enfonçant le clou par un troisième but inscrit par Frifer, un trois à zéro synonyme de trois points qui pouvait catapulter les Hamraoua sur le podium. C’est à ce moment que la JSK profitera d’un relâchement bizarre des visiteurs qui, au lieu de gérer à leur convenance cet acquis, se permirent le luxe de se recroqueviller en défense laissant le soin aux attaquants locaux de prendre une citadelle poreuse qui encaissera deux buts en quatre minutes par le remuant Dabout. Cette remontada donnera des ailes aux Canaris qui prendront définitivement le contrôle du match jusqu’au troisième but, inscrit par Djabout à la 86’, synonyme d’égalisation inespérée. Les Canaris revenaient de très loin et le buteur kabyle se permettra le luxe d’inscrire un triplé historique devant des Hamraoua médusés. En tous les cas, le MCO semblait groggy à la fin du match, lui qui croyait ferme que le match a été plié après avoir mené par 3 à 0. Une leçon que devra méditer le staff sur la tournure d’une équipe qui devait prendre sérieusement la suite du match après son net ascendant des 60 premières minutes. Maintenant que le MCO a dilapidé délibérément deux points, il faudra remettre sur rails cette équipe qui est devenue très versatile sur le plan des résultats et a beaucoup vendangé des points qui pouvaient facilement lui valoir de jouer le podium et pourquoi pas le titre national. Une chose est sûre, l’entourage du club aura du pain sur la planche et devra coûte que coûte trouver la faille d’une défense qui commence sérieusement à battre de l’aile et surtout donner plus d’assise à une attaque qui n’arrive pas à concrétiser les nombreuses occasions qui se sont présentées à elle durant moult matchs. Le mercato hivernal sera une occasion pour le staff et son entourage de faire le plein afin de combler le manque flagrant de certains postes afin d’être fin prêt pour les prochains rounds qui vont se jouer pour le MCO sur des charbons ardents. Le MCO peut renverser la vapeur s’il fait fi de toutes les divergences qui ont joué un rôle prépondérant sur des résultats versatiles qui lui ont joué un mauvais tour lors des matchs aller.  

USMH 1– USB 0 : El Harrach renoue avec le succès

L’USM Harrach qui restait sur une série de cinq matchs sans victoire, dont trois défaites de suite à renouer avec le succès, hier à l’occasion de la réception d’un mal-classé, en l’occurrence l’US Biskra. Une courte victoire (1-0), sur une r
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USMH 1– USB 0 : El Harrach renoue avec le succès

L’USM Harrach qui restait sur une série de cinq matchs sans victoire, dont trois défaites de suite à renouer avec le succès, hier à l’occasion de la réception d’un mal-classé, en l’occurrence l’US Biskra. Une courte victoire (1-0), sur une réalisation de Benrokia (37’) qui permet donc aux Jaunes et Noirs de goûter à nouveau au chemin du succès, même si sur le plan classement, les Harrachis restent toujours reléguables avec une 1(e place au classement. Faisant face à une crise sans précédent, aussi bien financière qu’administratif, les yeux des supporters de l’USMH Harrach restent braqués sur la très attendu réunion du Conseil d’administration de la SSPA de ce jeudi. Un réunion qui devrait entérinée la démission de l’actuel président, Fayçal Bensemra décrié aussi bien par ses pairs au sein du CA, que par les supporters et même des joueurs impayés depuis le début de saison, et qui ont à maintes reprises recourus à la grève. Des joueurs dans la plus part auraient déposés plaintes auprès de la CRL, annonçant une saignée inévitable et sans précédent dans les effectifs.

JSK 3 - MCO 3 : Djabout, le sauveur

Les Canaris sont revenus de loin, hier, lors du match face à leurs homologues du MC Oran qui les ont tenus en respect au stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou jusqu’à la dernière minute des débats. C’est Adil Djabout qui a évité à ses coéquipier
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JSK 3 - MCO 3 : Djabout, le sauveur

Les Canaris sont revenus de loin, hier, lors du match face à leurs homologues du MC Oran qui les ont tenus en respect au stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou jusqu’à la dernière minute des débats. C’est Adil Djabout qui a évité à ses coéquipiers une défaite dans leurs bases, en inscrivant trois buts. Les visiteurs ont ouvert la marque à la 8’ par l’intermédiaire de Gharbi. Puis, les locaux ont essayé de réagir, notamment par Guemroud qui a raté une occasion nette de scorer quant il s’est retrouvé face à face devant le gardien oranais, mais sans pouvoir mettre le cuir au fond des filets à la 8’. Et ce sont les poulains de l’entraîneur Moez Bouakaz qui ont doublé la mise sur une belle réalisation de Tiaïba à la 17’. Dès lors, les Canaris ont tenté de revenir au score mais sans résultat, malgré les occasions de Boukhenchouche et Guemroud, respectivement à la 27’ et à la 35’ qui n’ont rien changé au score qui est resté tel quel jusqu’à la fin de la première période. Au retour des vestiaires, Boukhenchouche a tenté de surprendre l’équipe adverse par un tir rageur difficilement repoussé par le gardien Natèche à la 47’. Continuant dans le même rythme de jeu, les Oranais ont aggravé la marque par Frifer, à la 59’, un but qui a donné des ailes aux visiteurs mais qui n’a toutefois pas assommé les locaux qui ont tout tenté pour revenir au score. C’est à partir de là, d’ailleurs, qu’à la 65’, Djabout parvient à inscrire le premier but pour la JSK après des ratages successifs de Benaldjia et Yettou, notamment aux 52’ et 63’. Puis, le même Djabout revient à la charge pour réduire davantage la marge par un second but à la 69’, redonnant ainsi l’espoir à ses coéquipiers pour éviter une autre défaite à domicile. Du côté du MCO, et à la 74’, Toumi s’est retrouvé face à face devant le keeper kabyle, mais il s’est fait crocheter par Redouani. L’arbitre accorde un penalty aux visiteurs. Gharbi s’est chargé de la sentence, mais sans toutefois parvenir à ajouter un quatrième but pour son équipe. Puis, en contre-attaque, les Jaune et Vert ont mené une action dangereuse dans le camp adverse mais sans pouvoir concrétiser. Et, à la 87’, ce qui devait arriver arriva quand Djabout a, sur une passe de Tafni, remis les deux équipes à égalité en signant son troisième but.

Mondial des clubs : Le Real et Cristiano Ronaldo visent le doublé contre Gremio

Le Real Madrid, tenant du trophée, et Cristiano Ronaldo, 5e Ballon d’Or en poche, sont à la recherche d’un doublé au Mondial des clubs en finale face à Gremio, ce soir (18h) à Abou Dhabi, ce qui constituerait leur 8e titre depuis l’arrivée de Zin
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Mondial des clubs : Le Real et Cristiano Ronaldo visent le doublé contre Gremio

Le Real Madrid, tenant du trophée, et Cristiano Ronaldo, 5e Ballon d’Or en poche, sont à la recherche d’un doublé au Mondial des clubs en finale face à Gremio, ce soir (18h) à Abou Dhabi, ce qui constituerait leur 8e titre depuis l’arrivée de Zinédine Zidane aux  commandes. «Si on regarde ses statistiques, c’est imparable : avec un but par match, il est une star du football et un joueur extraordinaire». Le capitaine de Gremio, Pedro Geromel, sait déjà que le danger viendra de l’attaquant portugais, d’autant qu’avec six buts, il est d’ores et déjà meilleur buteur de l’histoire de la compétition. Et il serait certainement ravi d’augmenter encore ce total afin de distancer définitivement — comme en C1 et ses 114 buts — son adversaire historique Lionel Messi (5 buts, tout comme Luis Suarez). Buteur en demi-finales face à Al Jazira, CR7 rêve aussi de faire du Real le premier club à conserver son titre mondial comme il l’avait fait en Ligue des champions où, après sa victoire en finale face à la Juventus (4-1, dont deux buts estampillés CR7), le Real est devenu le premier à réaliser un doublé depuis le grand AC Milan (1989, 1990). «Au cours des dix dernières années, il a été élu cinq fois meilleur joueur du monde, ou a été deuxième. Cela montre qu’il est resté au summum de sa forme pendant dix ans», a ajouté Geromel, âgé de 32 ans comme Ronaldo. Gremio alignera sans doute la même défense qu’en demi-finale contre les Mexicains de Puchuca, avec Geromel et l’Argentin Walter Kannemann au centre, encadrés d’Edilson et Bruno Cortez sur les ailes. 50 000 dribbles Geromel et Kannemann avaient déjà croisé la route de Ronaldo. Le premier s’était incliné 5-0, dont un doublé de Ronaldo, en Liga avec Majorque en 2012 et le second avait perdu la finale du Mondial des clubs 2014 avec San Lorenzo. «Mais c’était avant, et le Real Madrid jouait dans un schéma différent avec Cristiano évoluant plus à gauche, et j’étais surtout au marquage d’Higuain», a souligné Geromel, arrivé à Gremio en 2013. Même si Ronaldo n’avait pas marqué en finale et que le titre de meilleur   joueur de l’édition 2014 revenait à son équipier Sergio Ramos, Kannemann   reconnaît que «peu de joueurs possèdent ses qualités». «Mais nous allons essayer de lui rendre la tâche plus difficile». L’arrière-garde du Gremio a des raisons légitimes de s’inquiéter: CR7 n’est pas seul dans l’armada offensive madrilène: Karim Benzema et Gareth Bale sont également en forme. «Cristiano Ronaldo et le reste du Real Madrid sont de grands footballeurs, mais ils n’ont pas trois jambes», a voulu tempérer Edilson. «Mais nous devons analyser la position de Ronaldo, étudier de près les endroits où il aime tirer. De plus, le Real étant une équipe imprévisible, ils peuvent faire 50 000 dribbles parce qu’ils ont des joueurs de haut niveau», a fini par concéder le défenseur brésilien. D’autant que Bale, qui formera le trio de fer «BBC» avec Benzema et Cristiano Ronaldo, a déjà annoncé la couleur : «Je donnerai le meilleur de moi-même !» Une nouvelle victoire et un 8e trophée depuis janvier 2016 et l’arrivée de «ZZ» permettraient à la «Maison blanche» de préparer avec sérénité et confiance le Clasico du 23 décembre face au Barça de Messi...

Ahmed Achour enterré hier à El Harrach

Le journaliste Ahmed Achour, décédé jeudi matin à l’hôpital Mustapha Pacha (Alger) suite à une crise cardiaque, a été enterré  hier au cimetière Sidi Tayeb d’El Harrach, en présence d’une foule nombreuse venue lui rendre l’ultime hommage
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Ahmed Achour enterré hier à El Harrach

Le journaliste Ahmed Achour, décédé jeudi matin à l’hôpital Mustapha Pacha (Alger) suite à une crise cardiaque, a été enterré  hier au cimetière Sidi Tayeb d’El Harrach, en présence d’une foule nombreuse venue lui rendre l’ultime hommage. Le ministre de la Communication, Djamel Kaouane, qui a travaillé dans le temps au quotidien El Moudjahid avec le regretté Ahmed Achour, était présent aux obsèques. Les anciens ministres de la Jeunesse et des Sports Mohamed Tahmi et Abdelhamid Berchiche ont été également remarqués parmi la grande foule. Le directeur de la publication d’El Watan, Omar Belhouchet, profondément affecté par cette perte brutale de son ancien collègue, a eu du mal à cacher son émotion, à l’instar d’anciens membres du gouvernement et autres personnes. «C’était le plus gentil des journalistes que j’ai connus», témoigne M. Belhouchet. Autant dire que la tristesse et l’abattement étaient perceptibles sur tous les visages au cours de l’enterrement d’Ahmed Achour, qui a été non seulement marqué par la présence des anciens et nouveaux journalistes de la presse écrite et de l’audiovisuel, mais aussi par le monde du mouvement sportif algérien, qui ont longtemps côtoyé le chevronné et doyen de la presse sportive algérienne. A leur tête Mustapha Berraf, président du COA, le président Kheireddine Zetchi, Mahfoud Kerbadj, Amar Addadi, président du CIJM, Khalef Mahieddine, Noureddine Saadi, Abderrahmane Mahdaoui, Mahmoud Guendouz, Mustapha Larfaoui, Djaffar Yefsah, Saïd Bouamara, et Mohamed Laïb, pour ne citer que ceux-là.

Ahmed Achour n’est plus : un témoin du sport algérien est parti

Notre frère, ami et confrère Ahmed Achour n’est plus. Il s’est éteint hier à Alger à l’âge de 68 ans suite à un arrêt cardiaque. Le défunt était un journaliste au long cours qui a traversé pratiquement toutes les étapes du développement d
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Ahmed Achour n’est plus : un témoin du sport algérien est parti

Notre frère, ami et confrère Ahmed Achour n’est plus. Il s’est éteint hier à Alger à l’âge de 68 ans suite à un arrêt cardiaque. Le défunt était un journaliste au long cours qui a traversé pratiquement toutes les étapes du développement de la presse nationale. Après de brillantes études au lycée et à l’université d’Alger, l’enfant d’El Harrach s’est installé dans la vie professionnelle comme dentiste. Une profession qu’il n’exerça pas longtemps car il a été vite rattrapé par sa double passion, le sport et le journalisme. Il a rejoint très jeune les rangs de la prestigieuse rubrique sportive d’El Moudjahid où il apprit beaucoup aux côtés d’illustres journalistes comme feu Mokhtar Chergui, Abdelaziz Hassani, sans oublier Djamel Saïfi, Abderrazak Merad, Redouane Bendali, Omar Kharroum, Hamid Tahri et bien d’autres plumes qui ont marqué l’histoire du journalisme sportif. Il a essayé de concilier entre les professions (dentiste et médecin) en exerçant dans son cabinet de dentiste à Khemis El Khechna tout en faisant des piges à El Moudjahid et ses écrits étaient très appréciés et frappés du sceau de la qualité et du professionnalisme. Rapidement, il a gagné la reconnaissance à laquelle aspirent tous les journalistes. Il a accompagné la carrière de nombreux entraîneurs, joueurs qui ont écrit les premières pages de l’histoire du football algérien. Le dentiste passionné de football jouissait du respect des acteurs du ballon rond pour son professionnalisme, son objectivité dans le traitement des matchs, affaires et dossiers du football. Il aimait le CR Belouizdad de la grande époque des Lalmas, Achour, Kalem, Salmi, Djemaa, Nassou, Abrouk, Zerrar, Hamiti et Hamid Boudjenoun... sans que cela ne se ressente dans ses écrits. Côté humain, il était sans pareil. Jamais un propos déplacé, une critique gratuite et méchante. Après 1990, il a quitté El Moudjahid pour rejoindre d’autres titres (Liberté, L’Expression, Le Temps d’Algérie dont il était chef de la rubrique sportive) et a couvert tous les grands événements sportifs durant les 40 dernières années. Ses amis et collègues garderont de lui, pour toujours, l’image d’un homme qui n’a pas dévié d’un iota de ses principes malgré toutes les vicissitudes de la vie et du métier. Sa dernière couverture remonte au Symposium organisé par la FAF. Avec sa disparition, le journalisme a perdu une plume qui sera difficile à remplacer. Adieu mon frère, adieu l’ami. A partir d’aujourd’hui, il reposera au cimetière de Sidi Tayeb à El Harrach (Alger) aux côtés d’autres membres de sa famille où il sera inhumé après la prière du vendredi. En cette pénible et douloureuse circonstance, la rédaction sportive d’El Watan présente ses condoléances à son épouse, ses deux filles et à sa famille, partage leurs douleur et chagrin et prie Dieu Le Tout Puissant et Miséricordieux de l’accueillir en Son Vaste Paradis.  

Ligue 1 : Le MCA en danger à Béchar

Dauphine de l’intouchable CS Constantine, la formation sudiste de la Saoura pourrait, en cas de victoire aujourd’hui, revenir provisoirement à deux longueurs seulement du leader. Pour cela, les poulains de Fouad Bouali devront se défaire du MC Alger q
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Ligue 1 : Le MCA en danger à Béchar

Dauphine de l’intouchable CS Constantine, la formation sudiste de la Saoura pourrait, en cas de victoire aujourd’hui, revenir provisoirement à deux longueurs seulement du leader. Pour cela, les poulains de Fouad Bouali devront se défaire du MC Alger qui alterne le bon et le moins bon actuellement. Sur leur pelouse du 20 Août 1955 de Béchar, les coéquipiers de Djallit partent, encore une fois, favoris, eux qui n’ont plus perdu un match à domicile depuis le… 24 janvier 2015. De son côté, et en dépit de neuf points de retard sur le CS Constantine, le MC Alger ne veut pas abdiquer quant à l’idée de pouvoir jouer à fond ses chances pour le titre. Pour y parvenir, les poulains de Bernard Casoni devront remporter des matches à l’extérieur. Mais il est plus que clair que la virée des camarades de Nekkache du côté de Béchar ne sera pas du tout une balade de santé tant les «Sudistes» sont redoutables chez eux. La confrontation JS Kabylie – MC Oran sera l’autre affiche de cet après-midi. Les poulains de Azzedine Aït Djoudi ont un seul mot d’ordre, la victoire, car l’équipe n’a plus remporté un seul match depuis sept journées. Les Canaris doivent trouver les bonnes clés afin de se relancer dans ce championnat, surtout après leur match nul face à l’USM Alger à Omar Hamadi. Le MC Oran reste toujours aussi redoutable à l’extérieur, avec notamment deux victoires et 4 nuls en six déplacements, raison pour laquelle les Kabyles doivent rester sur leurs gardes. Le dernier match de cet après-midi opposera deux équipes en quête de rachat, à savoir le DRB Tadjenanet et le CR Belouizdad. La formation de Omar Belatoui veut absolument quitter la 13e position du classement. Le Chabab doit se racheter de sa dernière défaite dans son derby algérois face au voisin nahdiste, d’autant plus qu’il reste sur une série de onze matches sans victoire. A suivre demain le déplacement du CS Constantine à Alger qui affrontera le Paradou AC.

Et si Gremio s’inspire d’Al Jazira !

Le Real Madrid affrontera demain soir, à partir de 18h, au stade Sheikh Zayed d’Abu Dhabi, le club brésilien de Gremio Porto Alegre en finale de la Coupe du monde des clubs de la FIFA 2017. C’est la finale attendue par les puristes entre les deux club
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Et si Gremio s’inspire d’Al Jazira !

Le Real Madrid affrontera demain soir, à partir de 18h, au stade Sheikh Zayed d’Abu Dhabi, le club brésilien de Gremio Porto Alegre en finale de la Coupe du monde des clubs de la FIFA 2017. C’est la finale attendue par les puristes entre les deux clubs, qui ont souffert afin d’atteindre ce stade de la compétition. Si le club de Gremio a dû attendre les prolongations et un but d’Everton lors des prolongations (95’) pour se qualifier devant les Mexicains du CF Pachuca, les Madrilènes ont été surpris par la résistance déployée par le club émirati d’Al Jazira, qui a mené la vie dure au champion d’Europe avant de s’incliner, l’arme à la main, en fin de match sur le score de 2 buts à 1, sur des réalisations de Ronaldo (53’) et Bale (81’). Le but des Emiratis a été inscrit par Romarinho (41’). Demain, c’est un autre match que devront livrer les joueurs de Zinedine Zidane, qui vont récupérer Ramos et Kross, absents lors du match des demi-finales. Les joueurs madrilènes viseront une troisième Coupe du monde des clubs après celles de 2014 et 2016. Une seconde consécration de suite des camarades de Ronaldo dans cette compétition mettrait les joueurs de la capitale espagnole dans les meilleures conditions avant la réception du FC Barcelone pour le clasico, prévu le 23 décembre, au Santiago Bernabeu. Les Madrilènes accusent toujours huit points de retard sur leur rival de toujours en Liga. Mais avant, les hommes de Zidane veulent d’abord égaler le nombre de succès des Barcelonais dans cette compétition avec 3 finales remportées en 2009, 2011 et 2015. Il faut savoir qu’avant 2000, date de la création de la Coupe du monde des clubs, le Real Madrid avait remporté trois coupes intercontinentales en 1960, 1998 et 2002. Le rendez-vous de demain est important pour Zidane, qui pourrait décrocher son huitième titre après ses deux Ligues des champions, deux Supercoupes UEFA, une Coupe du monde des clubs, un championnat d’Espagne et une Supercoupe d’Espagne. La formation de Gremio de l’entraîneur Renato Portaluppi ne partira pas favorite devant le géant madrilène, mais les Emiratis d’Al Jazira ont sûrement donné des idées aux Brésiliens, qui rêvent d’égaler le nombre de victoires des Espagnols (5) contre (4) pour les clubs des pays de la samba dans cette compétition. La dernière formation sud-américaine à avoir décroché ce trophée reste Corinthians, en 2012, devant Chelsea (1-0). Gremio a déjà remporté une finale intercontinentale en 1983 en venant à bout du club allemand de Hambourg SV, en 1983, après prolongation sur le score de 2 buts à 1. Il a perdu aussi une finale en 1995 aux tirs au but devant l’Ajax Amsterdam (0-0).

USM Alger : A un point du podium

L’USM Alger s’est hissée à la 4e place du classement, avec 23 points, suite à sa victoire, avant-hier, en déplacement face à l’ES Sétif (2-1), dans un match de mise à jour de la 8e journée du championnat. Maintenant que le calendrier est à jo
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USM Alger : A un point du podium

L’USM Alger s’est hissée à la 4e place du classement, avec 23 points, suite à sa victoire, avant-hier, en déplacement face à l’ES Sétif (2-1), dans un match de mise à jour de la 8e journée du championnat. Maintenant que le calendrier est à jour, les Rouge et Noir sont désormais à un point du podium et à huit du leader constantinois. Il faut dire que les Usmistes ont réalisé un exploit en allant battre chez lui un Aigle noir troisième avec 24 points, qui aspire lui aussi à s’approcher le plus possible du CSC. A la fin de la rencontre, l’entraîneur Miloud Hamdi n’a pu cacher sa joie. D’après lui, une équipe qui s’impose face au champion sortant sur ses bases «a le droit de rêver du titre». Le coach a tenu, bien évidemment, à rendre hommage aux joueurs qui «ont fait preuve de beaucoup de volonté», d’autant plus, ajoute-t-il, que «le groupe a évolué pendant plus d’une mi-temps avec un joueur en moins» après l’expulsion de Abdelaoui à la 43’ de jeu. L’USMA avait été accrochée, au stade de Bologhine, le week-end dernier, par la JS Kabylie (0-0) dans un match de la 14e journée. Le staff avait évoqué la fatigue, puisque le club a enchaîné trois rencontres en l’espace de neuf jours. Donc, au-delà du résultat lui-même, cette victoire de l’USMA sur les terres sétifiennes va galvaniser davantage les joueurs en prévision de la rencontre de ce samedi, à Blida, face à l’USMB, pour le compte de la dernière journée de la phase aller. L’ES Sétif va se déplacer à Sidi Bel Abbès (10e), alors que la JS Saoura, 2e au classement avec 26 points, va recevoir le MC Alger. Les Rouge et Noir feront tout pour s’imposer à Blida. Dans le cas où l’ESS et la JSS sont accrochés, le club pourrait se retrouver deuxième. En tout cas, le club de Soustara voudrait bien terminer cette phase aller sur une bonne note afin d’aborder la phase retour dans la sérénité. A noter en dernier lieu que face à Sétif, Derfalou a inscrit son 9e but de la saison, grimpant ainsi à la deuxième place des buteurs, derrière Abid (CSC).

ES Sétif : Pyromanes en short

Suivie par une affluence des grands jours, l’affiche ESS-USMA a été émaillée par de gravissimes incidents. Le public, qui a défié le froid sibérien sévissant à Sétif, n’y est pour rien. Venus pour assister à un match de football, les supporte
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ES Sétif : Pyromanes en short

Suivie par une affluence des grands jours, l’affiche ESS-USMA a été émaillée par de gravissimes incidents. Le public, qui a défié le froid sibérien sévissant à Sétif, n’y est pour rien. Venus pour assister à un match de football, les supporters des deux clubs subissent l’affligeant spectacle de pyromanes en shorts. A quelques minutes de la fin du premier half, le latéral gauche usmiste Abdellaoui voit rouge. Le catcheur ne reconnaît pas son tort. Il ne quitte pas aussi facilement l’arène. Le «néo-international» se fait «supplier» pour rejoindre les vestiaires. Malgré leur infériorité numérique, les gars de Soustara gèrent à leur guise. Irréprochable tout au long d’une partie marquée par le «forfait» du champion sortant, le directeur de jeu est pris à partie par des Usmistes en furie. Afin de masquer sa grossière bourde ayant amené le but égalisateur de l’Entente, Zemmamouche demande à ses partenaires de quitter le terrain. Par un tel comportement, le gardien usmiste, qui a chauffé à blanc ses partenaires et certains occupants du banc des remplaçants, a failli mettre le feu aux poudres. Par de tels comportements, le joueur écorne son image. Pour avoir osé valider un but entaché d’une faute ou non, Abid Charef et son assistant sont molestés, malmenés,  brutalisés par les «justiciers» des stades. Les gravissimes images ont été vues par les présents et des millions de téléspectateurs outrés, sans doute, par ces déchaînements injustifiés et condamnables à la fois. Craignant de perdre dans l’affaire, les faux professionnels font du directeur du jeu (un élément de l’équation), un bouc émissaire. Ayant beaucoup de choses à perdre dans l’affaire eux aussi,  les coachs tombent dans le «piège» de pyromanes déchaînés. Gavé pourtant par un scénario des plus affligeants, le 12e homme ne met pas son grain de sel, heureusement. Connaisseur, le public a compris qu’Abid Charef, pointé injustement du doigt, n’est en rien responsable de la victoire des uns et du cuisant échec des autres. N’en déplaise au coach ententiste ayant la tête ailleurs. A la fin du triste feuilleton, les vestiaires ont été transformés en ring de boxe par Aït Ouameur et des Usmistes qui se sont adonnés à un autre triste spectacle. Les instances d’un football aux abois ne doivent pas passer sous silence le déchaînement de ces pyromanes en shorts.  

Coupe d’Afrique des clubs : Un tirage clément pour les Algériens

Les quatre formations algériennes, engagées pour l’édition 2018 des deux compétitions africaines interclubs (Ligue des champions et Coupe de la CAF), connaissent leurs adversaires des tours préliminaires et des 16es de finale, à l’issue du tirage a
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Coupe d’Afrique des clubs : Un tirage clément pour les Algériens

Les quatre formations algériennes, engagées pour l’édition 2018 des deux compétitions africaines interclubs (Ligue des champions et Coupe de la CAF), connaissent leurs adversaires des tours préliminaires et des 16es de finale, à l’issue du tirage au sort effectué hier matin au Caire. Ainsi, en Ligue des champions, le champion d’Algérie en titre, l’Entente de Sétif, est bien loti pour son retour dans la compétition africaine après avoir purgé sa suspension, en héritant de la modeste formation centrafricaine de l’Olympique Real Bangui, avec un match aller prévu à Sétif. L’ESS qui ne devrait pas avoir de mal à se qualifier, affrontera en 16es de finale de cette Coupe de la CAF le vainqueur de la double confrontation El Tahadi (Libye)-Aduana Stars (Ghana), avec cette fois-ci une joute retour à Sétif. L’autre représentant de l’Algérie dans cette Ligue des champions, le Mouloudia d’Alger, pour sa part, entamera la compétition avec un déplacement au Congo pour y affronter l’AS Otoho lors du tour préliminaire. En cas de qualification en 16es de finale, le Doyen affrontera, en déplacement toujours, le vainqueur du match qui opposera les Nigérians du MFM à un club malien qui reste à désigner. En Coupe de la CAF, le détenteur de la coupe d’Algérie, le CR Belouizdad, affrontera en déplacement lors du tour préliminaire le vainqueur de la coupe du Mali, qui sera connu incessamment, sachant que la finale opposera l’AC Joliba au Stade malien. En cas de qualification, le Chabab accueillera les Zambiens du Nkana, exemptés du tour préliminaire. Exempté a été lui aussi le second représentant de l’Algérie, en l’occurrence l’USMA, qui affrontera en 16es de finale le vainqueur de la double confrontation Manga Sport (Gabon) - AS Maniema (RD Congo), avec une joute retour à Alger.

Les huit ateliers présentent leurs recommandations

Le symposium sur le renouveau du football algérien organisé par la Fédération algérienne de football (FAF), parrainé par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, s’est achevé hier au Centre international des conférences (CIC) Abdela
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Les huit ateliers présentent leurs recommandations

Le symposium sur le renouveau du football algérien organisé par la Fédération algérienne de football (FAF), parrainé par le président de la République, M. Abdelaziz Bouteflika, s’est achevé hier au Centre international des conférences (CIC) Abdelatif Rahal. La seconde et dernière journée du symposium a démarré avec la présentation de communications en plénière suivies d’un débat. Le panel de communicants était formé de Mohamed Goufi, Yacine Benhamza et Abdelkrim Medouar, respectivement spécialiste en économie du sport, président de la Ligue régionale de Saida et président de la SSPA/ASO Chlef. Le premier a abordé le chapitre de la gestion des clubs professionnels, état des lieux et perspectives. Mohamed Gouti, qui maîtrise parfaitement les aspects liés au professionnalisme sur le plan financier et économique, a axé son intervention sur les moyens et les politiques à mettre en place afin de donner un nouveau souffle au professionnalisme en formulant plusieurs propositions pour renflouer les caisses des clubs professionnels via le sponsoring et l’actionnariat populaire (des supporters qui achèteraient des actions pour accompagner le club dans la difficile situation qu’ils traversent). Yacine Benhamza a fait un état des lieux, qui est peu reluisant du football amateur en donnant quelques chiffres sur le nombre de clubs, de licenciés, de rencontres programmées chaque week-end. Il a survolé les problèmes qui freinent le football amateur, qui, il faut le dire, ne sont pas l’apanage des ligues, comme la faiblesse des subventions, les frais d’engagement exorbitants, les sanctions financières qui saignent les clubs, le système de compétition qui ne répond plus aux exigences de l’heure, les dépassements, le non-respect des règlements, le chapitre de la moralisation, la notion de bénévolat qui apparemment reste l’apanage des seuls dirigeants de clubs. De son côté Abdelkrim Medouar a dressé un tableau sans concession du professionnalisme en déclarant «7 ans, barakat !» en faisant allusion à la vie du professionnalisme en Algérie. Il a dit : «Les acteurs n’ont pas été associés à la création du professionnalisme», tout en réitérant ses remerciements à l’Etat qui, a-t-il indiqué, «a donné tous les moyens au départ du professionnalisme».  Après l’intervention du panel, un riche débat s’en est suivi. Des questions ont été posées, des propositions ont été faites afin d’enrichir les débats. Dans l’après-midi il y a eu lecture des recommandations-résolutions des 8 ateliers qui ont planché sur les thèmes arrêtés. L’atelier 1  (formation et développement) a présenté 31 recommandations. L’atelier 2 (football amateur) a fait lecture des 19 recommandations arrêtées par les membres de l’atelier. L’atelier 3 (professionnalisme, financement, sponsoring et droits TV) a présenté 18 recommandations. L’atelier 4 (arbitrage) a présenté une dizaine de recommandations. L’atelier 5 (moralisation du football et lutte contre la violence) 18 recommandations; l’atelier 6 (problématique des infrastructures) a retenu 12 recommandations. L’atelier 7 (réformes juridiques) a présenté une douzaine de recommandations toutes aussi intéressantes les unes que les autres et enfin l’atelier 8 (médecine du football et lutte antidopage) a clôturé la séance avec la lecture de plusieurs recommandations. Les travaux de la seconde journée se sont clôturés après la conférence de presse animée par le président de la fédération, Kheiredine Zetchi, et le dîner offert par le ministre de la Jeunesse et des Sports El Hadi Ould Ali, en l’honneur des participants au symposium.  

ESS 1- USMA 2 : Le duo Zemma-Meftah dans ses «œuvres»

Foulant  le périmètre vert avec un mental d’acier, les Algérois entrent dans le vif du sujet, affichent leurs intentions, trouvent le chemin des filets au bout de cinq petites minutes  de jeu. Profitant d’une mauvaise relance, les tuniques rouges a
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ESS 1- USMA 2 : Le duo Zemma-Meftah dans ses «œuvres»

Foulant  le périmètre vert avec un mental d’acier, les Algérois entrent dans le vif du sujet, affichent leurs intentions, trouvent le chemin des filets au bout de cinq petites minutes  de jeu. Profitant d’une mauvaise relance, les tuniques rouges amorcent un contre rapide,  matérialisé par cet opportuniste de Derfalou refroidissant d’un coup le chaudron plein comme un œuf. L’ouverture du score a hypnotisé les Noir et Blanc éprouvant du mal à transpercer le milieu d’une formation en forme et bien organisée. Le nul concédé à Omar Hamadi a sans doute  galvanisé les partenaires de Benmoussa décidés à récupérer des points et à se racheter aux yeux de leur public présent au 8 Mai1945 où l’aigle noir s’est inscrit aux abonnés absents, tout au long du premier Half géré comme il se doit par des visiteurs évoluant à leur aise. Manquant d’inspiration, les Noir et Blanc qui se sont distingués par des approximations et d’innombrables déchets leur collant à la peau, après 14 rounds n’ont pas inquiété leurs adversaires payant cash leur excès d’agressivité. A cause d’un jeu dur, Abdellaoui ayant écopé d’un premier jaune à la 14e minute est prié (42’) de quitter l’«arène» obligeant son équipe à disputer la seconde période en infériorité numérique. L’expulsion du défenseur oblige le coach usmiste à revoir son schéma, qui incorpore dès lors Benmoussa, un défenseur à la place du remuant Yaya. Et c’est contre le cours du jeu que Benayad (53’) profite d’une sortie hasardeuse du gardien usmiste pour remettre les pendules à l’heure, au grand dam des joueurs de l’USMA, plus particulièrement Zemmamouche et Meftah auteurs de mauvais comportements envers les officiels qui avaient accordé un but limpide. Désolant spectacle offert par des Usmistes incontrôlables trouvant la parade pour corser l’addition (75’) par Chafai ponctuant de la tête le coup franc bien botté par ce joker de Benmoussa.  

Résiliation du contrat de Khoualed

La direction des Rouge et Noir a annoncé qu’elle a résilié le contrat du défenseur Nacereddine Khoualed, «sur demande de ce dernier». Le joueur de 31 ans veut apparemment terminer sa carrière dans un pays du Golfe. Certaines sources évoquent des con
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Résiliation du contrat de Khoualed

La direction des Rouge et Noir a annoncé qu’elle a résilié le contrat du défenseur Nacereddine Khoualed, «sur demande de ce dernier». Le joueur de 31 ans veut apparemment terminer sa carrière dans un pays du Golfe. Certaines sources évoquent des contacts avec un club d’Arabie Saoudite. Du côté de l’USMA, on estime qu’au vu de ce qu’il a donné pour le club, depuis son arrivé en 2006, la direction ne pouvait lui refuser cette demande. Une collation en son honneur est même prévue dans les tout prochains jours. Il faut signaler, en dernier lieu, que le joueur était de moins en moins utilisé ces derniers temps.

Riches débats et feuille de route pour l’avenir

Le symposium sur le renouveau du football algérien s’est ouvert hier au Centre international des conférences (CIC) au Club des Pins en présence de personnalités du football et d’invités venus participer à ce rendez-vous important pour l’avenir du
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Riches débats et feuille de route pour l’avenir

Le symposium sur le renouveau du football algérien s’est ouvert hier au Centre international des conférences (CIC) au Club des Pins en présence de personnalités du football et d’invités venus participer à ce rendez-vous important pour l’avenir du football. Pour la circonstance, la FAF a mis les petits plats dans les grands. L’organisation, lors du premier jour du symposium, qui durera deux jours, était à la hauteur des défis que représente ce type de rencontre pour faire l’évaluation de la situation et dégager des propositions à même de redresser la situation. Le parrainage du symposium par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a donné toute sa solennité à l’événement qui a été ouvert par le ministre de la Jeunesse et des Sports, El Hadi Ould Ali, qui, dans son allocution, a souligné toute l’importance que revêt le symposium pour le football algérien. Lui succédant à la tribune, le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheireddine Zetchi, n’a pas manqué de faire le lien entre cette rencontre et la date du 11 Décembre qui a marqué un tournant dans la lutte de Libération nationale. Le président a indiqué que «le football algérien vit une situation difficile et aujourd’hui nous sommes ici réunis pour trouver des solutions et apporter des réponses qui lui permettront de retrouver son lustre d’antan». Il y a eu ensuite la projection d’un reportage de 6 minutes sur le football algérien à travers de multiples étapes de son histoire. La suite de la matinée et l’après-midi ont été consacrés aux travaux d’ateliers. Les organisateurs ont arrêté 8 ateliers comme suit. Atelier 1 : formation et développement avec comme modérateur Abdelkader Yaiche et rapporteur Lamine Kezzim. Atelier 2, football amateur, modérateur Ali Baamar, rapporteur Ali Malek. Atelier 3, professionnalisme, financement, sponsoring et droits TV, modérateur Yacine Ould Moussa, rapporteur, Said Boukhari. Atelier 4 arbitrage, modérateur Salim Oussaci, rapporteur Mohamed Sandid. Atelier 5, moralisation du football et lutte contre la violence, modérateur Mustapha Khiati, rapporteur Fayçal Haffaf. Atelier 6 : problématique des infrastructures, modérateur Rachid Zeroual, rapporteur Djamel Belbekri. Atelier 7 : réformes juridiques et relations avec les médias et les institutions. Modérateur, Abdelhamid Berchiche, rapporteur, Kamel Benmesbah. Atelier 8 , médecine du football et lutte antidopage, modérateur, Rachid Hanifi, rapporteur Dr Kamel Touati. Les débats en ateliers ont été de qualité et très instructifs grâce aux interventions et contributions des participants. Chaque participant a fait part de son analyse de la situation dans les différents domaines et sujets inscrits à l’ordre du jour, ou la feuille de route, de cette première journée. Au programme de la seconde journée (aujourd’hui), il y aura la présentation des communications et plénières et un débat tout de suite après. Mohamed Goufi, Abdelkrim Medouar et Yacine Benhamza se succéderont à la tribune pour s’exprimer. L’après-midi, les rapporteurs donneront lecture des recommandations formulées par les membres qui ont fait partie des ateliers. Le symposium sera clôturé par une cérémonie d’hommages à des hommes qui ont beaucopup donné au football, à l’instar de Said Amara, Abdelkader Drif, l’ancien arbitre international Benghezzal et Amar Azzouz.

Une histoire de comptabilité

La rencontre d’aujourd’hui entre l’ES Sétif et l’USM Alger, programmée à 17h au stade du 8 Mai 1945 (Sétif), dans le cadre de la mise à jour de la 8e journée du championnat n’est pas spéciale certes, mais elle revêt une grande importance pou
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Une histoire de comptabilité

La rencontre d’aujourd’hui entre l’ES Sétif et l’USM Alger, programmée à 17h au stade du 8 Mai 1945 (Sétif), dans le cadre de la mise à jour de la 8e journée du championnat n’est pas spéciale certes, mais elle revêt une grande importance pour les deux équipes. Une victoire contre l’USMA propulserait l’ESS à la 2e place, à quatre longueurs du champion d’hiver, le CSC, auteur d’un excellent parcours durant la phase aller. Dans le cas contraire, les Algérois qui ont été accrochés par une vaillante formation de la JSK reviendraient à un point des Sétifiens disposant pour l’heure de 24 points. A cause de cette comptabilité qui vaudra son pesant d’or en mai prochain, les deux formations ne fouleront pas la pelouse du 8 Mai 1945 pour le partage des points qui n’arrangerait en fin de compte personne. L’affiche sera à la fois délicate et difficile pour les deux formations sous forte pression. Face au DRBT, le champion sortant avait retrouvé le sourire et le chemin des filets. L’issue du derby lui a permis de rester collé aux deux conducteurs du peloton. Néanmoins, la réception du voisin n’a pas été rose sur toute la ligne. Puisque des ailes de l’Aigle noir ont été fortement abîmées. Ainsi, les Badrane, Aiboud et Amokrane, des électrons importants dans la machine, ont été touchés par la foudre. Le syndrome des blessures n’avait pas épargné Nessakh, Heddouche, Djabou et Rébiai, qui seront de la partie mais fortement diminués. Par ailleurs, Madoui, qui voudrait bien cocher le nom de l’ES Sahel dans sa carte de visite, attend un geste de Hamar, obligé d’augmenter son coach. La mise à jour du championnat intervient donc dans une conjoncture particulière pour les Ententistes. Lesquels n’ont pas le droit à l’erreur s’ils veulent accentuer la pression sur les deux fuyards du critérium. En revenant à la question du nouveau gazon qui fait couler de l’encre, encore et toujours, l’on apprend de la bouche même du Directeur de la jeunesse et des sports (DJS) Aziz Tahir, que le nouveau tartan de dernière génération arrivera au port d’Alger dans les prochains jours. Sa pose dépendra du calendrier de l’ESS et des conditions climatiques qui ne sont pas du tout favorables ces jours-ci à Aïn El Fouara, où le thermomètre est au plus bas.  

Ça va cogner avec Real-PSG et Chelsea-Barça !

Deux finales avant l’heure ! Avec les chocs Real Madrid-PSG et Chelsea-Barcelone, au moins deux prétendants déclarés à la victoire finale vont passer à la trappe dès le stade des 8es de finale, après un tirage au sort sans pitié effectué hier à Ny
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Ça va cogner avec Real-PSG et Chelsea-Barça !

Deux finales avant l’heure ! Avec les chocs Real Madrid-PSG et Chelsea-Barcelone, au moins deux prétendants déclarés à la victoire finale vont passer à la trappe dès le stade des 8es de finale, après un tirage au sort sans pitié effectué hier à Nyon (Suisse). Les 8es de finale, qui se disputeront les 13-14 et 20-21 février (matches aller) et les 6-7 et 13-14 mars (matches retour), vont donc livrer deux affiches de gala, une entre le double tenant du titre madrilène et la meilleure attaque parisienne de la compétition, et une autre entre le Barça de Lionel Messi et le dernier club anglais sacré en C1. Malheur au vaincu ! Les autres favoris ont eu davantage de réussite : Juventus-Tottenham, Bâle-Manchester City, Porto-Liverpool, Séville-Manchester United, Shakhtar-AS Rome, et Besiktas-Bayern. Le PSG «prêt» selon Maxwell L’épouvantail à éviter, le Real Madrid de Zidane et Cristiano Ronaldo, est donc tombé sur l’ambitieux club français. Les Madrilènes, mal en point(s) en Liga mais toujours redoutables en C1, visent un triplé historique, tandis que le PSG des Qataris, dopé par le recrutement record de Neymar et Kylian Mbappé (plus de 400 M euros, bonus compris), espère enfin passer le cap des quarts de finale. Dans le sillage d’un «CR7» devenu le premier joueur à marquer lors des six matches de poules d’une édition de Ligue des champions, et toujours aussi vorace malgré le gain d’un 5e Ballon d’or, les Merengue risquent d’offrir un visage plus conforme à leur niveau lors de la deuxième partie de saison. De là à être   ultra-favori de cette double confrontation ? «Cela aurait pu être (une finale) au vu du potentiel des deux équipes. C’est la loi des tirages, la chance y joue un rôle et l’une des deux équipes va être éliminée dès les 8es. Nous considérons que c’est un peu tôt parce que tous les deux, nous sommes des candidats à la victoire finale», a lâché Emilio Butragueno, directeur des relations institutionnelles du Real Madrid. Car dans le même temps, sous l’impulsion du trident Mbappé-Cavani-Neymar, les joueurs d’Unai Emery ont impressionné l’Europe entière en inscrivant 25 buts en six matches de poule, un record. Et malgré une défaite à Munich (3-1), le club parisien a su terminer 1er de son groupe. «Chaque saison, les Parisiens recrutent des joueurs de très haut niveau et ils sont de plus en plus forts. Ils ont réussi une phase de groupe quasi parfaite et ils ont un fort potentiel avec Neymar et (Kylian) Mbappé», a admis Butragueno. Tirage heureux pour les clubs anglais Mis à part Chelsea et Tottenham, qui héritent respectivement de Barcelone (champion d’Europe en 2015) et de la Juventus (finaliste 2017 et 2015), les autres représentants de Premier League ont bénéficié d’un tirage heureux. La règle stipulant qu’aucune équipe ne peut affronter une autre formation issue du même championnat ou de son groupe à ce stade, leur a été favorable : Manchester United et Manchester City seront opposés respectivement à Bâle et Séville, tandis que Liverpool jouera contre Porto. «Pour les clubs anglais, ça reste à voir si c’est plus facile, après quelques années où le rendement aurait pu être meilleur pour eux», a toutefois tempéré Xabi Alonso, l’ancien milieu des Reds. Si Chelsea sait comment éliminer le Barça, à l’image de l’exploit réalisé en demies en 2012, les Spurs pourront s’accrocher à une statistique en défaveur des coéquipiers de Gianluigi Buffon. La Juve a été sortie lors de ses cinq dernières confrontations face à une équipe anglaise en phase à élimination directe en compétition européenne, selon le statisticien Opta. Du côté du Bayern Munich, ce sera un adversaire qualifié à ce stade pour la première fois de la C1 nouvelle formule : Besiktas. Si l’armada bavaroise s’avance en favori logique, le club turc apparaît   toutefois comme un tirage piège avec ses bonnes individualités (Pepe, Quaresma, Babel, Talisca, Tosun) et son ambiance de feu à domicile.

Annulation du match face aux Emirats arabes unis

Le match devant opposer l’équipe nationale des joueurs locaux aux Emirats arabes unis, le 23 décembre prochain, à Dubaï, a été annulé. Selon une source proche de la Fédération algérienne de football (FAF), la Fédération émiratie a adressé un c
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Annulation du match face aux Emirats arabes unis

Le match devant opposer l’équipe nationale des joueurs locaux aux Emirats arabes unis, le 23 décembre prochain, à Dubaï, a été annulé. Selon une source proche de la Fédération algérienne de football (FAF), la Fédération émiratie a adressé un courrier à l’instance fédérale algérienne dans lequel elle lui demande de choisir une autre date pour organiser cette empoignade. L’annulation de ce rendez-vous amical est due à la décision des Emiratis de prendre part à la Coupe du Golfe qui aura lieu finalement au Koweït et non au Qatar. La Fédération émiratie avait décidé dans un premier temps de boycotter cet événement en raison des différends existants avec Doha, dans le cadre du blocus imposé par l’Arabie Saoudite à ce pays. D’où la programmation de cette rencontre amicale avec l’Algérie. Sauf que la Fifa a levé mercredi dernier sa sanction, en vigueur depuis 2015, contre le Koweït. A partir de là, ce pays est devenu habilité à organiser des événements footballistiques. Par conséquent, le comité d’organisation de ce tournoi a annoncé, avant-hier, le «retour» de la 23e édition vers le Koweït. Les Emirats arabes unis ont décidé alors d’y participer. Il faut noter que la FAF avait rendu publique, dans la soirée de samedi, la liste des 21 joueurs convoqués par le sélectionneur national, Rabah Madjer, pour un stage qui aura lieu du 17 au 23 décembre au Centre technique national de Sidi Moussa. Le regroupement est bien évidemment maintenu, même si l’équipe ne jouera pas de match amical finalement. L’USM Alger est le club le plus représenté avec six joueurs, suivi du CS Constantine et de l’ES Sétif, avec quatre éléments chacun. Plusieurs de ces joueurs avaient été appelés lors du dernier rendez-vous des Verts.  

Les chancres du football

Le mensonge a beau prendre l’ascenseur, la vérité le rattrape toujours, même en empruntant les escaliers. Après des mois de vacarme sur les prétendus dépassements réglementaires commis par le président de la Fédération algérienne de football (FAF
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Les chancres du football

Le mensonge a beau prendre l’ascenseur, la vérité le rattrape toujours, même en empruntant les escaliers. Après des mois de vacarme sur les prétendus dépassements réglementaires commis par le président de la Fédération algérienne de football (FAF), Kheireddine Zetchi, est venu enfin le calme pour rétablir des vérités par des preuves matérielles (lois, textes et règlements) que des chancres cherchent à masquer par l’agitation, le mensonge, le bavardage et l’indigence des propos. Depuis l’été dernier, une campagne haineuse, sauvage et sans proportion avec des décisions du bureau fédéral est menée contre le président de la fédération et «un journaliste connu sur la place et ami du président de la FAF», comme des chancres se plaisent à qualifier leur confrère qui est accusé de collusion avec l’homme qui dirige la fédération et qui aurait fait bénéficier son «ami» d’un passe-droit en décrétant le maintien de son club de cœur en ligue interrégions. Ces porte-voix et porte-plumes ont enfourché leurs chevaux pour une cause perdue d’avance, car elle n’est pas fondée du tout. La transgression et la violation des règlements généraux sont antérieures à l’arrivée de la nouvelle équipe dirigeante à la tête de la fédération. Que de clubs et d’officiels ont été injustement sanctionnés, lésés, écartés de toute activité liée au football sans que cela fasse réagir ces chantres de la légalité et du respect de la loi. Pas un écrit, ni déclaration, ni contestation, ni montée au créneau contre les multiples et dépassements répétés commis par ceux qui ont instauré un ordre qui est en train de s’effondrer pièce par pièce. Où étaient-ils ces chancres, lorsque la fédération et quelques-uns de ses démembrements (les ligues) transgressaient allégrement les règlements sans qu’une seule voix s’élève pour dénoncer la situation ? L’élection du président de la Ligue interrégions (LIRF) est entachée d’une grave irrégularité et violation des textes qui régissent les élections dans les structures sportives et du football. Pas un mot de la part des chancres. Pourtant, il y a eu usurpation de qualité et de fonction par ceux qui ont réalisé le coup de force avec la complicité (agissante) de tous ceux qui ont été les témoins de ce scandale. Les chancres n’ont pas soufflé mot du reste, comme lorsque des clubs et officiels du football amateur ont subi la loi du plus fort. Leurs inspirateurs au sujet des lois et textes évoluent en terrain conquis. Ils s’appuient sur l’aridité de l’esprit de connaissance des lois des chancres pour leur faire avaler toutes sortes de couleuvres. Tout le semblant d’édifice réglementaire qu’ils répètent et reproduisent comme argumentaire pour attaquer, diffamer est bâti sur du vent et du sable. Mais eux, ils l’ignorent. Tout l’édifice réglementaire du football est nul et non avenu. Pour en être convaincu, il suffit de parcourir l’article 23 des statuts de la FAF, compétences de l’assemblée générale qui précise à l’alinéa 1 : «L’assemblée générale en tant qu’autorité suprême et légiférante de la FAF a les compétences suivantes : adopter les règlements généraux de la fédération qui lui sont soumis par le bureau fédéral… adopter les systèmes de compétions arrêtés qui lui sont soumis par le bureau fédéral…» Quand pareille chose s’est produite ? Depuis quand l’assemblée générale n’a pas été saisie sur des propositions et changements des règlements généraux ? Il faut remonter à loin pour trouver la trace de l’adoption des règlements par l’assemblée générale. L’ancien bureau fédéral légiférait par ordonnance, comme si l’assemblée générale n’existait pas. Avant de parler de légalité, il faut d’abord la rétablir et nettoyer les écuries d’Augias de la bouse et des chancres qui y ont trouvé refuge dans ce qui est en fin de compte leur refuge naturel.

Nos effectifs d’arbitres «souffrent-ils» d’abondance ou de carence ?

Sur quelle base de données se hasarde-t-on à déclarer que le segment vital de notre football, qu’est l’arbitrage, souffre d’abondance ou de carence ? Si c’est à la lumière de l’exploitation des feuilles de match des catégories jeunes, particu
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Nos effectifs d’arbitres «souffrent-ils» d’abondance ou de carence ?

Sur quelle base de données se hasarde-t-on à déclarer que le segment vital de notre football, qu’est l’arbitrage, souffre d’abondance ou de carence ? Si c’est à la lumière de l’exploitation des feuilles de match des catégories jeunes, particulièrement de l’Algérie profonde, où on remarque l’absence des arbitres «officiellement» désignés ou au meilleur des cas un seul arbitre est désigné pour les différentes tranches d’âge. Seulement, à ce moment-là, où on peut affirmer que nos effectifs d’ar-bitres accusent une carence péna-lisante pour beaucoup de paramètres liés à la formation continue des jeunes joueurs en matière d’apprentissage des lois du jeu, que l’on néglige et qu’on retrouve plus tard objet d’innombrables litiges. Maintenant, si c’est suite aux conclusions de la réunion tenue dernièrement à la CFA avec les DTRA (directeurs techniques des régions d’arbitrage) et leurs multiples griefs consignés et énumérés en rapport à l’inutilisation d’une bonne partie de leurs arbitres (pourtant titrés), là on peut affirmer, sans risque de se tromper, que notre arbitrage «souffre» de surplus, synonyme d’abon-dance, au point où certaines valeurs (sûres) ont déserté la corporation au motif d’inutilisation, lequel est assimilé à un harcèlement mental dans le milieu arbitral, et surtout d’indifférence. A-t-on une carte des besoins concernant l’Algérie et ses différents coins ? A-t-on planifié pour un recrutement, au niveau des wilayas, d’abord quantifié pour ensuite l’amener à être qualifié ? Ces dernières années, et dans le seul souci de populisme, juste pour satisfaire certaines ligues de connivence et en intelligence de conformisme, on s’est attelé à un mécanisme (infernal et irréfléchi) de promotion d’arbitres, pour se retrouver en situation de saturation d’effectifs dans les différents grades, et cela en dépit de plusieurs mises en garde. Les effectifs d’arbitres doivent s’agrandir à partir des ligues de wilaya, car c’est là, et pas ailleurs, où doit se faire le recrutement de base et la formation à partir de la première case. Depuis quelques années, fait étrange, ce n’est plus leur challenge. La formation d’un nouvel arbitre coûte et dérange !

ES Sétif : Madoui en route vers l’ESS… tunisienne

L’entraîneur en chef du onze sétifien, Kheirredine Madoui,  a, à l’issue de la rencontre ayant opposé vendredi  son équipe au DRB Tadjenanet, émis le vœu de quitter la barre technique du club. Ce ne sont pas les résultats techniques du champio
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ES Sétif : Madoui en route vers l’ESS… tunisienne

L’entraîneur en chef du onze sétifien, Kheirredine Madoui,  a, à l’issue de la rencontre ayant opposé vendredi  son équipe au DRB Tadjenanet, émis le vœu de quitter la barre technique du club. Ce ne sont pas les résultats techniques du champion sortant qui sont à l’origine de ce probable divorce, puisque l’Aigle noir sétifien occupe la 3e place avec en sus  un match en retard. Selon un membre de la direction, c’est l’alléchante offre du club tunisien, l’Etoile Sportive du Sahel (ESS), qui vient de se séparer de son coach Hubert Velud, ayant drivé le club phare de Ain Fouara, qui a poussé Madoui à jeter l’éponge. «On doit se mettre dans la position de Madoui qui attend la régularisation de cinq mois de salaires non perçus. La différence entre  un salaire de 1,5 million de dinars et  une mensualité de 20 à 25 000 euros est de taille. Le challenge sportif de Sousse qui est en contact avancé avec Kheirredine ne laisse pas indifférent tout coach ambitieux», souligne sous le sceau de l’anonymat notre interlocuteur. Le président du club, Hacen Hamar, qui n’a pas jugé utile de répondre à nos sollicitations, a été le moins que l’on puisse dire, pris au dépourvu. Celui-ci s’oppose, nous dit-on, au départ précipité de son coach qui ne l’aurait pas avisé. Pour le numéro un du club, Madoui est lié à l’ES Sétif jusqu’en 2020. Devant la position de l’un et de l’autre, un bras de fer va sans doute envenimer les relations entre les deux hommes. Convoité par de nombreux clubs, notamment le MCA et l’USMA, qui lui ont proposé des ponts d’or, Djahnit percevant mensuellement 3 millions de dinars,  vient de rempiler pour 18 mois supplémentaires. Il met ainsi fin aux spéculations des uns et aux enchères des autres. Emargeant mensuellement pour 4 millions de dinars, Djabou qui attend apparemment la régularisation de quatre mois de salaires, va sans doute emboiter le pas à Djahnit. Notons à toutes fins utiles que le club phare de Ain Fouara traverse une grave crise financière. Le désengagement de son sponsor majeur Djezzy dont le contrat expire fin décembre courant, n’arrange pas les choses.

USMA : Hamdi satisfait malgré le nul

L’USM Alger  a reculé à la 6e place du classement, avec 20 points, après le nul concédé à domicile avant-hier face à la JS Kabylie (0 – 0) pour le compte de la 14e journée. Les Rouge et Noir se sont créé  beaucoup d’occasions durant cette
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USMA : Hamdi satisfait malgré le nul

L’USM Alger  a reculé à la 6e place du classement, avec 20 points, après le nul concédé à domicile avant-hier face à la JS Kabylie (0 – 0) pour le compte de la 14e journée. Les Rouge et Noir se sont créé  beaucoup d’occasions durant cette rencontre, notamment en première période, sans parvenir toutefois à ouvrir la marque. Les Canaris doivent le point ramené de Bologhine beaucoup plus à leur gardien Asselah, auteur d’un excellent match. L’entraîneur du club, Miloud Hamdi, s’est toutefois montré satisfait de ce point eu égard, d’après lui, à la cadence de deux matchs par semaine auquelle est soumis le club ces derniers temps. Il faut dire que l’USMA fait face à un calendrier infernal entre la programmation des journées restantes de cette fin de  phase aller et les rencontres de mise à jour du calendrier. Pour la semaine prochaine, l’équipe de Soustara devra disputer en déplacement mardi le match retard face à l’ES Sétif, avant d’aller à Blida, durant le week-end, pour jouer face à l’USMB la rencontre de la 15e journée. Selon Hamdi, il n’est nullement facile de «maintenir le rythme en un laps de temps très court». Le coach a également évoqué l’arbitrage en estimant que l’expulsion de Benguit était «sévère». Le joueur avait écopé, à la 80’, d’un second carton jaune, pour simulation à l’intérieur de la surface, synonyme d’expulsion. Celui-ci sera donc absent, mardi prochain, face à Sétif. Le staff sera dans l’obligation, à cet effet, de procéder à d’autres changements. Lors de cette empoignade face à la JSK, Hamdi avait procédé à deux changements dans le onze entrant par rapport au groupe qui avait été incorporé face à Biskra (2 – 0). Chafai et Koudri ont remplacé respectivement Khoualed et Beldjillali. La tâche des Usmistes sera ainsi très compliquée  mardi face à l’Entente, qui voudrait bien, à cette occasion, prendre la deuxième place du classement. En cas de victoire, les Rouge et Noir «regrimperont» à la 4e place. 

Forum des athlètes : Le triste constat des champions algériens

Le 2e Forum national des athlètes algériens organisé par le Comité olympique et sportif algérien (COA), qui s’est tenu hier à Zéralda, a réuni d’anciens sportifs algériens qui ont honoré l’Algérie sur le plan mondial, à l’image de Nourredi
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Forum des athlètes : Le triste constat des champions algériens

Le 2e Forum national des athlètes algériens organisé par le Comité olympique et sportif algérien (COA), qui s’est tenu hier à Zéralda, a réuni d’anciens sportifs algériens qui ont honoré l’Algérie sur le plan mondial, à l’image de Nourredine Morceli, Hassiba Boulmerka, Abderrahmane Hammad, Ali Seidi Sief, Soraya Haddad, Mohamed Allalou, Larbi Bourada ou Mohamed Flissi. Les anciennes personnalités sportives étaient également au rendez-vous, à l’image de Mustapha Larfaoui et de Mohamed Yamani, pour ne citer que ceux-là. Prenant la parole, Berraf a affirmé que ce forum est une opportunité pour réunir les athlètes algériens qui ont porté haut les couleurs de l’Algérie. «Ce deuxième forum a réuni d’importantes personnalités sportives morales, ce qui est une fierté pour moi et pour l’ensemble du staff qui compose le management du Comité olympique et sportif algérien. Il est clair que les athlètes font partie du mouvement olympique. Combien de joie et de peine nous avons vécues ensemble au cours de notre vie. Une vie que nous avons dédiée au sport et à la jeunesse. Nos sincères vœux sont à transmettre à ceux dont la mission est d’apporter aide et assistance en direction des jeunes qui aspirent à l’excellence», a-t-il déclaré. A cet effet, la séance matinale a été consacrée «aux droits et devoirs des athlètes», «devoirs et rôles de l’entourage» ainsi que «le dispositif de reconversion mis en place par les pouvoirs publics». A ce sujet, Ali Fergani, ancien footballeur de l’EN et président de l’Amicale des anciens internationaux de football (AAIF), a déploré le fait que «beaucoup de footballeurs ne peuvent pas subvenir à leurs besoins». «C’est triste ce qui arrive dans l’après-carrière des anciens footballeurs. Il faut protéger les sportifs afin qu’ils vivent dignement. Ce n’est pas normal que les footballeurs touchent des millions alors qu’ils ne s’acquittent pas des cotisations sociales. II faut appliquer la loi pour que les footballeurs aient une pension de retraite après leur fin de carrière. Des équipes professionnelles comme par exemple le MC Alger ne possèdent même pas une installation sportive», a déclaré Fergani. La championne olympique algérienne du 1500m, Hassiba Boulmerka, est allée dans le même sens. «C’est grave et désolant d’entendre que les anciens sportifs vivent dans la précarité. Malheureusement, ces conditions poussent les athlètes à recourir à l’Ansej. Les champions du monde et olympiques doivent avoir un statut particulier, à l’instar des hauts cadres de l’Etat. Si j’ai atteint le haut niveau, ce n’est pas en me préparant en Algérie, mais en m’entraînant en Italie», a-t-elle indiqué. Le boxeur Mohamed Flissi, qui poursuit toujours sa carrière, a fustigé les responsables de la Fédération algérienne de boxe (FAB) qui, d’après lui, ne lui expriment aucune considération. «Comme si je n’existais pas, aucune considération ni facilité pour préparer les compétitions internationales. Cela dure depuis 5 ans», dira-t-il. La judokate Soraya Haddad, médaillée de bronze aux JO de Pékin, a emboité le pas aux autres athlètes, actuels et anciens : «Heureusement que j’ai décroché un diplôme qui m’a permis d’avoir un salaire, sinon j’aurais vécu la même situation». En dernier lieu, l’ancien karatéka de l’EN, Yacine Arab, s’est dit étonné de l’absence du ministre de la Jeunesse et des Sports Ould Ali El Hadi. «Le ministre ou les représentants du MJS auraient pu être présents pour écouter la triste réalité des sportifs algériens», assène-t-il. A noter qu’en marge de ce forum, l’ancien champion olympique du 1500 m, Nouredine Morsli, a reçu l’Ordre du Mérite olympique qui lui a été décerné par le COA.

CSC 1 - USMB 1 : Les Vert et Noir champions d’hiver

Le choc des extrêmes entre le leader et la lanterne rouge du championnat n’a pas, comme le veut la logique, tourné à l’avantage du premier, les jeunots de Sebaâ ayant réussi à accrocher dans son antre de Hamlaoui un CSC méconnaissable. Ce sont le
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CSC 1 - USMB 1 : Les Vert et Noir champions d’hiver

Le choc des extrêmes entre le leader et la lanterne rouge du championnat n’a pas, comme le veut la logique, tourné à l’avantage du premier, les jeunots de Sebaâ ayant réussi à accrocher dans son antre de Hamlaoui un CSC méconnaissable. Ce sont les visiteurs qui ouvrent les hostilités en tout début de première période, quand Frioui, idéalement servi par Ghacha, a mis le feu dans la surface clubiste (2’). Fidèles à leur habitude, les camarades de Bencherifa commenceront leur match lentement, et ce n’est qu’au quart d’heure de jeu qu’ils arriveront à porter le danger devant la cage gardée par le réserviste Bouttaga. Ce dernier devra d’ailleurs montrer toute l’étendue de son talent devant Abid à la 13’, et surtout à la 26’, lorsque l’avant-centre constantinois, bénéficiant d’une passe millimétrée de Zerara, tente dos au but un lob de la tête, mais verra son ballon miraculeusement détourné en corner. C’est ce même corner qui sera à l’origine de l’unique but du CSC : Belkhir joue rapidement en direction de Aroussi, ce dernier centre sur le vétéran Rebih (34 ans) lequel, idéalement placé, bat, au prix d’une phénoménale détente verticale, le tout jeune gardien blidéen, de quatorze ans son cadet. Le CSC ratera l’occasion de corser l’addition à la 45’, lorsque la frappe de Belkheir, qui s’est replacé à droite, trouve le poteau droit de Boutagga. Au retour des vestiaires, les locaux n’arriveront pas à retrouver leur rythme, et c’est tout naturellement que les gars de la Mitidja remettront les pendules à l’heure, et ce, par l’intermédiaire de l’axial Aouamri qui, sur un corner botté par Si Ammar, monte plus haut que tout le monde et crucifie Rahmani (72’). Ce but aura le mérite de réveiller les poulains d’Abdelkader Amrani, mais péchant par excès de précipitation, aussi bien le remplaçant Cissé (75’, 84’, 89’) que Zerara (90 +2’) n’arriveront pas à sortir de la nasse blidéenne. Une contre-performance à méditer, mais qui n’empêche pas le club du Vieux Rocher de terminer champion d’hiver.