Bassil aux jeunes de Baabda au sein du «Courant» : notre présence est forte auprès des jeunes malgré les campagnes de «harcèlement» et notre objectif est un État qui préserve le peuple libanais
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=Le président du Courant patriotique libre, le député Gebran Bassil, a souligné que le Courant patriotique libre était seul entre 1990 et 2005 et que ses partisans ne pouvaient pas se réunir comme c'est le cas aujourdBassil aux jeunes de Baabda au sein du «Courant» : notre présence est forte auprès des jeunes malgré les campagnes de «harcèlement» et notre objectif est un État qui préserve le peuple libanais
=Le président du Courant patriotique libre, le député Gebran Bassil, a souligné que le Courant patriotique libre était seul entre 1990 et 2005 et que ses partisans ne pouvaient pas se réunir comme c'est le cas aujourd'hui, ajoutant : «Après la guerre de libération, nous étions seuls, mais nous n'avons pas désespéré et nous n'avons pas dit que l'armée syrienne ne quitterait pas le Liban. Au contraire, nous étions convaincus qu'elle partirait, et c'est ce qui s'est passé.»Lors d'un dîner organisé pour les jeunes du district de Baabda, en présence du vice-président du Courant chargé des affaires administratives, Ghassan El-Khoury, de l'ingénieur Fadi Abou Rahal, du coordinateur du district de Baabda, Fadi Nasr, et des membres du district, Bassil s'est adressé aux étudiants et aux jeunes présents, les exhortant à ne pas avoir peur. Il a déclaré : «Ils essaient de nous faire vivre dans l'illusion à cause des campagnes, du »lavage de cerveau« et du harcèlement dont nous avons été victimes, ce qui a créé une situation malsaine, alors que notre présence parmi les jeunes et les étudiants reste forte».Bassil a souligné la nécessité de «retrouver confiance en nous», expliquant : «Je connais les préoccupations des jeunes d'aujourd'hui et ils ne connaîtront la valeur du Liban que lorsqu'ils le quitteront pour s'exiler à l'étranger», appelant à «ne pas perdre de temps sans s'engager dans l'amour du Liban et réaliser à quel point la terre libanaise est importante pour vous et à quel point votre attachement à elle est fort, car ce que vous vivez au Liban, vous ne le trouverez dans aucun autre pays, quelles que soient les difficultés qu'il rencontre». Il a ajouté : «Ce que je dis aujourd'hui est le fruit d'une expérience personnelle que j'ai acquise lors de mes voyages à l'étranger. Les Libanais expatriés n'ont qu'un seul souhait : retourner au Liban. Pour que ce souhait se réalise, il faut qu'il y ait un État».Bassil a conclu en disant : «L'objectif du Courant patriotique libre est d'avoir un État qui protège l'être humain, lui accorde ses droits et préserve sa dignité afin qu'il puisse vivre dans des conditions décentes et dignes. Nous ne disons pas que nous voulons la réforme pour la forme, mais parce que nous la voulons vraiment. Nous avons constaté que sans État, où va le pays et à quel point il sera difficile de trouver des opportunités d'emploi.»











